Journal de bord de Phyrahël Élèsdraëniel Lünhonasse

[J'me lance dans mon journal de bord. Vous pourrez trouver ici quelques pensées et récapitulatif de mon personnage. J'ajouterai ici aussi les quelques reflexion qu'il note dans ses livrets personnels.]

Depuis que suis arrivé à Dénaros et que j'ai quitté mes collines, il m'est parfois arrivé de me sentir seul. Je pense que ce sentiment est normale lorsqu'on arrive dans une ville où tout nous est inconnu, alors je ne m'en fait pas.
J'ai noté la bonté de coeur naturelle des habitants de la capitale. J'ai pu trouvé aisément un lieu où passé la nuit.
Oui, en ce moment je loue une chambre dans une auberge à un prix abordable. Sa clientèle est très diversifiée, des humains aux elfs, jusqu'au nains.
J'ai pu apercevoir des nobles et des chevaliers qui semblait apprécié cet endroit autant que s'il avait s'agit d'un établissement luxueux. Certe l'établissement n'est pas ostentoirement pauvre, il est sobre mais laisse trahir sa richesse par endroit (ses tableaux et tapisseries, ainsi que ses meubles).
Le service de chambre m'a été proposé mais j'ai poliment refusé. Étant nouveau, je n'ai pas encore trouvé un lieu ou je pourrai faire loué mes services de danseur épéiste ou barde, mais ca ne saurait tardé.
En attendant je visite un peu la ville, j'ai prévu de voir l'ensemble des grands quartiers de la ville.


Hier soir j'ai noté ceci dans mon livret, quelques temps plus tôt des bruit inaccoutumé se sont produit au rez-de-chaussé et m'ont tiré de mon sommeil:
Une auberge tranquille et assez bien fréquentée qui s'agite, des nobles qui se laissait trahir par la peur, un vagabond inconnu, et, et cet homme aux yeux verts qui semble sentir la présence des autres...

[Après avoir visiter quelque peu les principales rues populaires du commun des mortels, Phyrahël n'en a pas assez de faire le touriste ]

Après être rentré chez lui, suite à l'étrange rencontre avec une pythie qui lui fit froid de le dos, Phyrahël semblait encore sous le choc. Non pas qu'il eut réellement peur de ce qui s'était passé, mais ne pouvait s'empêché de repenser aux derniers mots prononcés par cette diseuse de bonne aventure.
Le regard nébuleux et voguant au gré d'une sombre émotion, Phyrahël semblait plus vieux que les vieux.
D'habitude rencontré des dingues était son fort. Il n'a jamais cessé d'en rencontré depuis sa plus tendre enfance.. Mais là! Là, c'était la cerise sur le gâteau.
Les paroles d'une femme d'un autre monde:

- Phyrahël!!! N'oublie pas, n'oublie pas qui tu es... Ne te laisse pas ronger par la violence et les joies de la vengeance. Pardonne à ces gens, mon fils.

De quoi refroidir le plus téméraire des terres-à-terre. Et en plus cette folle avait lu en lui comme dans un livre, et comble de tout, l'avait invité à repasser quand il voulait. Ce qui était étrange (bien qu'il devrait s'en réjouir), c'est qu'elle n'a même pas demandé son reste.
Une femme qui ne fait même pas payé un service.. Encore là une manière de désarçonné les gens.

- Non ça ne se passera pas comme ça, s'ordonna-til

En sommes, après avoir été "choqué" du monde d'en bas, celui des pauvres gens, avoir visité les rues marchandes et avoir rencontré une dingue sur patte prometteuse de bonne aventure étrange, il ne restait plus qu'un dernier grand quartier à visiter. Peut-être qu'une chose encore plus terrible lui glacerait les sangs.

- Mais quelle ville de dingue... Aussi charmante qu'elle est effrayante. dit-il

Que lui réservait donc les Quartiers Riches..?

La visite du Bois de Moniek...

Avoir vécu comme une sorte de sauvage, renoué avec l'essence même de Dame Nature, la Nymphe Diadeehu. Une vieille légende qui avait réussie à percuté le coeur de Phyrahël. Au point de s'émouvoir du destin de vulgaire morceaux de bois.

Les pluies diluviennes avaient faillit avoir bien trop souvent raison de son mental. Les brefs instant de découragement, il avait même chopé la crève. Un rhume.
Le bon côté est que 2mois passer en fôret avait lui avait appris beaucoup sur lui-même. Il avait finit par devenir végétarien presque. Il mangeait très peu de viande. Le simple fait de tuer un animal était ressenti comme une peine;le gibier... un goût de carnassier, dois-je dire.
Savoir, avoir pleinement l'esprit, par extraordinaire au courant que l'on vidait la vie de ce bois. La présence de l'influence humaine était dévastatrice.
Même si on avait ordonné la fin de la coupe de bois en Moniek, l'état restait triste. Les plus beaux arbres avaient dûs êtres coupé et transformé en meubles... Les grandes villes avaient toujours soifs, une soif insatiable. Un crime, crime contre l'existence.
Certaines variétés de plantes devait avoir disparûe.

Sur un hotel, au milieux de nul part, Phyrahël déposait des offrandes à la Nymphe, espérant qu'elle se réveille.

Bien que le monde change, bien que tout change, bien que les dégats s'estompaient à vue d'oeil, l'horreur infligée demeurait.

Se retrouver au milieux de la nature avait des vertus bénéfiques. Un sentiment accru du bien-être de son environnement et toutes formes de vie. Un respect...
Un idéal naturel, une harmonie, une utopie... une douce folie.

Mais bon, à force de rester couper du monde, on finit par devenir dingue. Un retour à l'auberge, en Alsaria lui ferait du bien, il était temps de changer les choses.

Au cours de lapsus forestier, Phyrahël s'était blesser, gagner quelques cicatrices. Une coupe de cheveux plus longue (légèrement), il avait fait quelque tresses. En poussant, ses cheveux avait pris une couleur légèrement violette.
Si avoir les cheveux bleus n'était pas de coutume, il est normale d'avoir les cheveux changeant de couleur. Il avait eu des amis qui quand ils avaient les cheveux court, était blonds, et quand ils poussaient devenaient blonds. Sans doute un phénomène similaire, après tout.

Phyrahël à rencontré sur le chemin, par hazar Isht Van Ezeckiel, un homme intéressant, quoique.. un peu effrayant.

Phyrahël en progita aussi pour acheter une armure sur les rues marchandes d'Alsaria.