En quête de laine...

Alisia se promenait au hasard dans les rues commercial de la capital d'Ellandy, elle cherchait une boutique d'arme pour acheter une nouvelle dague qui remplacera celle qu'elle avait perdue la veille pendant un entrainement de lancé.

Par préférence, la femme évitait les rues trop bondées, qui par ce temps ensoleiller ne manquaient pas, elle portait comme toujours son armure de cuir, sa cape rouge et son épée dans le dos, mais elle essayait malgré tout de ne pas trop se faire remarquer. Elle voulait aussi allez chez un apothicaire, s'intéressant a un poison spécial venant de certain organe de la fleur appeler: La datura, toxique et dangereuse, elle contenait des propriétés toxique pouvant aller jusqu'a tuer. Elle voulait donc confirmer ce qu'elle avait apprit et essayer de savoir si il exister un remède. Possédant une petite sacoche, rembourrer et remplie de petite fioles qui contenait toutes un antidote a un certain poison, elle avait par exemple, une toute petite fiole de contrepoison faisant effet seulement contre le Myrcis mais elle en avait malheureusement que une seul dose pour une personne. Etant incapable de crée quoique ce soit comme antidote, elle préférait donc avoir le plus de contrepoison disponible avec elle pour une situation d'urgence bien que ceci n'était jamais arrivé, on n'était jamais trop prudent dans la vie.

Au bout d’un moment ne trouvant toujours pas une boutique d’arme, elle arriva au bout d’une ruelle bouchée par un attroupement, passant rapidement à coter cherchant un passage facile.

Vraiment, elle n'aimait pas la ville, il y a trop de monde et il est toujours difficile de trouver ce que l'on cherche, mais la en l'occurrence elle n'avait pas vraiment le choix. Tout à coup, un jeune homme qui devait avoir un peux moins de 20 ans surgit de la foule et la fit tomber. La mercenaire ne si attendant absolument pas tomba lourdement sur le sol, se releva lentement et regarda froidement le jeune qui l’avait fait tomber: Jeune, des vêtements ample, un pantalon long en coton et une longue cape a capuchon sur le dos. Il avait l'air innocent mais Alisia avait apprit à ne pas se fier aux apparences souvent trompeuse.

Ouille... Décidément, le jeune garçon n'avait une nouvelle fois fait preuve d'aucune attention pour causer la chute d'une seconde personne dans la même ville... Celieno commençait peu à peu à devenir adepte du mal causer involontairement à autrui. Cependant, cette fois-ci, il y eut une différence par rapport à la précédente, étant donné qu'il ne subit aucun dommage et qu'il tenait encore parfaitement sur ses deux pieds... contrairement à sa victime. Celle-ci s'était toutefois relevée avant même que Celieno ait pu réaliser quoique ce soit -et éventuellement proposer son aide-, et dévoilait présentement son visage au jeune homme en le fixant d'un regard atone qui montrait une certaine sévérité capable d'apeurer les plus couards; d'autant plus avec une cicatrice si visible qui accentuait facilement le rigorisme de ses yeux. Non apeuré, Celieno analysait les traits faciaux qui entouraient ces deux billes glaciales fixées sur lui et constatait aisément qu'il avait mis au sol une femme plus âgée que ses dix-huit ans et qui avait de toute évidence laissé s'écouler les vingt années derrière elle depuis un bon moment.
Outre son faciès, Celieno put constater le port d'une armure qui attisa un peu son attention, le jeune homme n'ayant que rarement vu des femmes se vêtir de la sorte puisque, à Alsaria, non loin de son ancienne demeure, elles étaient majoritairement confinées au sein des habitations pour administrer les biens de leurs maris et pour s'occuper d'autres activités non négligeables d'importances qui s'éloignaient néanmoins du besoin du port de l'armure. Quelle importance, se dit-il intérieurement... Elle pouvait autant se mouvoir que se vêtir ou que se comporter comme elle le désirait... Cette pensée lui fit presque oublier qu'une réaction paraissait attendue de sa part, dans la mesure où les yeux de la femme n'étaient vraisemblablement pas enclins à s'ôter de lui...

Ainsi, toujours inexpressif, Celieno rénova son visage en une expression presque crédule quand il se mit finalement en tête qu'il était temps d'opter pour un agissement qui pourrait au moins satisfaire la femme qu'il avait involontairement mis au sol. Ayant en tête de ne pas s'attirer la colère d'une femme en armure, le jeune homme de dix-huit ans se gratta niaisement une partie de sa masse capillaire, ferma fermement un oeil et fit une grimace proche de la moue avec ses lèvres... Une bonne mixture à son goût pour représenter le visage typique d'un benêt ayant commis une énième idiotie contre sa volonté. Subséquemment, il parla pour essayer amoindrir la vraisemblable mauvaise humeur qui s'étaler sur lui...

-Oh ! Je vous présente mes excuses ! Désolé, désolé, je ne sais pas quoi vous dire ... Je n'ai pas fait attention, j'ai haussé stupidement le pas sans faire attention aux personnes qui m'entouraient... Veuillez, je vous prie, accepter mes excuses... S'il vous plaît... exagéra le jeune homme, tout en paraissant crédible et en dosant confortablement la tonalité de sa voix.
-Si je peux faire quoi que ce soit pour vous... Vous lavez, si vous êtes sales, par exemple proposa stupidement Celieno, je pourrais vous dédommager de ce que j'ai pu commettre... Encore, je m'excuse !

Le jeune homme l’observa d’un regard sans expression, s’attardant surtour sur son armure, il ne devait pas être habitué a voir une femme en armure, plusieur seconde était passé lorsqu’il commenca à avoir un geste, une expression dison proche de crédule, se grattant la tête et faisant une grimace, il avait l’air d’un benêt qui ne fait pas attention et qui fait souvent des bétise du genre faire tomber des gens par terre. Enfin il commenca a parler.

-"Oh ! Je vous présente mes excuses ! Désolé, désolé, je ne sais pas quoi vous dire ... Je n'ai pas fait attention, j'ai haussé stupidement le pas sans faire attention aux personnes qui m'entouraient... Veuillez, je vous prie, accepter mes excuses... S'il vous plaît..."

Il avait l’air sincére mais on pouvait sentir qu’il doser munitieusement son ton de voix pour être crédible, accentuant la méfiance de la femme enver lui, sentant de plus en plus quelque chose de bizarre chez cette étrange personne au vêtement trop grand, qui était visiblement choisi comme sa d’ailleur.

«-Si je peux faire quoi que ce soit pour vous... Vous lavez, si vous êtes sales, par exemple, je pourrais vous dédommager de ce que j'ai pu commettre... Encore, je m'excuse !»

*Me laver, pensa t’elle, et puis quoi encore!*

vraiment ce gamin était bizarre, proposer des chose pareil!

*Quoi que, en y repensant, il pourrait effectivement faire quelque chose pour moi!*

Continuant de réfléchir a ce qu’elle devait faire, devait t’elle réagir devant sa stupidité? ou bien devait elle effectivement lui demander l’aide dont elle avait besoin?

" Quoi que se soit? n’importe quoi? tu ferai n’importe quoi?"

Elle dit sa avec un sourir moqueur, proche du rictus, regardant les yeux moqueur le jeune garçon qui ne savait pas a priori qu’il ne fallait jamais dire de telle chose, ce qui risque de se faire embarquer n’importe ou juste a cause d’une pareil phrase, pathétique.

Lorsqu'elle rompit son silence et se mit finalement à parler suite à une fine période qui devait probablement la plonger dans la réflexion, le jeune garçon fut rassuré et pensait déjà que rien ne pouvait lui arriver de conséquent... excepté une éventuelle lourde perte de temps. De toute évidence, il avait été très prévenant et jugeait son erreur peut-être un peu trop conséquente pour agir de la sorte. Une banale excuse aurait été probablement suffisante et, dans l'éventualité que oui, Celieno aurait pu paisiblement continuer sa route sans s'attarder davantage sur cette femme portant l'armure. En somme, il y avait des chances pour qu'il se doive d'octroyer une certaine durée de son temps à celle qui venait de devenir son interlocutrice... Celle-ci s'attarda intelligemment ou, qui sait, avec une profonde ingénuité sur le fait qu'il était enclin à faire ce qu'elle désirait pour se faire pardonner. Avec attention, Celieno scruta intensément, comme s'il se mettait soudainement à sonder, le sourire sardonique et répondit en conséquence; dans la même filiation.

-Oui, bien sûr, tout ce que vous désirez dans la mesure où je peux le réaliser... c'est-à-dire... pas grand chose en fait finit-il par conclure après quelques temps d'arrêts, en observant d'un air ahuri le ciel qui commençait peu à peu à s'azurer, pour montrer une part de réflexion paraissant sincère et niaise mais définitivement narquoise. Son manque de franchise s'effritait sûrement, bien qu'il conservait une expression et un timbre proche de l'ingénuité.
-Ah, mais oui, je peux vous laver comme je vous l'ai dit ! Après cette chute, vous devez être un peu salie; en témoigne ces quelques tâches de souillures qui abîment votre si jolie cape rougeoyante qui nantissait votre démarche si fière et conquérante ! Et, je vous l'assure, je suis loin d'être mauvais dans cet exercice, vous ne serez pas déçu.

Seul un petit sourire qu'il jugea médisant lui fit réagir d'une manière totalement différente de ce qu'il voulait montrer de prime abord. Ah, la, la... Fausser en manipulant les nigauds était d'une vilenie perfide et, ceci, Celieno n'était pas enclin à le subir, d'autant plus qu'il ne prisait pas le fait que l'on tire parti de ses fausses prodigalités quand il était question d'user de son temps...

Le jeune homme la scruta, et vit probablement son sourir qu’elle laissait délibérément apparaître, elle trouvez cela plutôt amusant de le faire marcher, esperant qu’il allez tomber dans le piege elle attendit patiament sa réponse. Elle savait, rien cas l’apparence de cet personne que ce n’était pas un citoyen ordinaire, ces vetements qui cacher une ceinture avec probablement des armes du genre poignard ou dague. Elle fini par plonger sa main dans sa petite sacoche, vérifiant tout de même que aucun petit pot en bois qu’elle avait fabriquer elle même n’était casser. Elle les inspecta toute, mais au même moment il parla:

"-Oui, bien sûr, tout ce que vous désirez dans la mesure où je peux le réaliser... c'est-à-dire... pas grand chose en fait ."

*Pas grand chose? il veut plutôt dire rien du tout!* pensa t’elle, elle faillit lui faire la remarque a haute voie mais jugea que ce n’était pas vraiment le moment pour sa, elle l’écouta tout en continuant de vérifier ses petite fiole.

"-Ah, mais oui, je peux vous laver comme je vous l'ai dit ! Après cette chute, vous devez être un peu salie; en témoigne ces quelques tâches de souillures qui abîment votre si jolie cape rougeoyante qui nantissait votre démarche si fière et conquérante ! Et, je vous l'assure, je suis loin d'être mauvais dans cet exercice, vous ne serez pas déçu."

*Il est sérieux la?* N’appréciant pas vraiment la remarque sur ses vêtement qu’elle apprécier malgré leurs état, mais au même moment, elle découvrit un fiole casser, elle sortie un morceau de bois de sa sacoche, et son regard se durcit. Elle regarda froidement le jeune homme et recommença a regarder son morceau de bois, cherchant encore elle en trouva un autre avec marquer dessu: laurier-rose. Un poison extrément dangereuux donnant la mort rapidement, elle est extrémement toxique, la séve peut notament être utiliser pour enduir les poignard et tuer sa victime même si il n’a que une éraflure.
Les yeux de la jeune femme devenait de plus en plus glacial, elle les fixa droit dans les yeux du jeune homme a l’air innocent qui avait briser cet fiole plutôt précieuse.

"- mmmm Bravo, j’espère que vous ête fiere, tu sais combien vaut ce liquide?"

Plutôt en colère, si sa continué comme cela elle aller devoir se trouver une auberge pour passer la nuit et elle detestait cela.

" tu compte faire quoi pour réparer sa?"