Délivrance... Et imprévus. [PV Zareck]

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Fanya regarda l'horizon d'un air songeur. Alors, enfin, cette forêt qui l'avait abritée durant cinq ans, enfin, elle pouvait la retrouver. Elle n'était pas partie longtemps, et pourtant, qu'est ce qu'elle s'était sentie mal loin de "son" monde. Enfin, pas vraiment le siens. Elle sourit, en pensant que, ce soir, peut-être, elle pourrait de nouveau dormir sur son manteaux, l'odeur humide de la terre lui emplissant les narines, avec le doux bruit du vent dans les feuillages pour seule berceuse. Combien de fois avait-elle arpenté ces bois? Elle ne comptait plus. Elle sourit de nouveau, et se mit à courir, laissant derrière elle l'immense cité et son impression de claustrophobie qu'elle lui avait donnée. Jamais la jeune fille n'avait connue pareille ivresse, même avec les plus forts ou les plus doux alcools. Jamais elle ne s'était sentie si libre. Un fois à la lisière des bois, le pépiement des oiseaux et le bruit furtif d'un cerf ou d'un renard sous les feuilles la fit rire, de ce rire cristallin et merveilleux qu'elle avait eut étant enfant. Elle se mit à tournoyer, le visage face à la haute voûte des arbres. Elle ne se lassait décidément jamais de faire ca. Se laissant tomber sur le sol, des larmes de soulagement et d'émotion sur les joues, le souffle court, elle ferma les yeux et écoutait les milliers de bruit qui lui parvenaient. Dans un souffle de vent, elle murmura

"Welcome Home, Fanya."

Personne n'était la pour le lui dire, mais, après tout qu'importe. Elle en avait plus que marre des gens de la cité, de la compagnie. Non, la solitude était sa meilleure amie. Un grondement se fit entendre... La pluie arrivait. En temps normal, Fanya se serait mise à courir pour trouver un abris, mais elle était si bien, au milieu des éléments qui semblaient se déchainer, allongée sur la mousse, qu'elle partit une nouvelle fois en éclats de rires en regardant le ciel qui s'assombrissait. Un éclair déchira le ciel. Les gouttes de pluie commencèrent à tomber sur le visage désormais calme et détendu de Fanya. Elle sourit, vraiment, sincèrement depuis bien longtemps. Elle avait abandonné de nouveau ses armes, quoique, cette fois, elle avait sur elle un coutelas de chasseur, au cas où. Elle avait aussi changé ses vêtements: à la place de son ancienne chemise de coton usée mais trop voyante, elle portait une tunique vert foncée, brodée aux manches d'un marron bois. Son vieux pantalon, elle l'avait troqué contre un autre, plus résistant, mais plus souple aussi. Et son éternel manteau ne la quittait pas, bien sûr.

Elle ne savait pas combien de temps elle resta allongée sur le sol de la forêt, son manteau sous une pierre, et ses vêtements trempés. Mais elle était bien sous cette pluie fraiche.

Invité

L'adrénaline plein les veines, le cœur battants a tout rompre, l'esprit rêveur des aventures qu'il allait vivre, Zareck marchait a bonne allure !
Cela faisait 2 jours depuis sont départ de chez sont père et Zareck ne se lassait pas de découvrir tout ces endroits qu'il n’avait jamais vus, s'émerveillant de tout ces paysages qu'il ne connaissait pas, s'arrêtant de temps a autre pour profiter un peu plus longtemps d'une chose ou une autre, dormant a la belle étoile et chassant avec bonne humeur lorsque la faim se faisait sentir !

Alors que Zareck marchait tranquillement dans les bois, il entendit un bruit étrange. Intrigué, il chercha à découvrir sont origine!
Dépassant quelque arbre, il arriva enfin à distinguer ce qui produisait ce son !
Devant lui une jolie jeune femme était en extase pour il ne savait qu'elle raison. Surprit devant son comportement, il la vit se laissé tomber sur un sol de mousse et il entendit a nouveau ce son qui l'intriguait. En la voyant, il fini par comprendre que c'était la jeune femme qui riait, tout simplement !
Habitué au rire guttural de sont père et n'ayant jamais rencontré personne d'autre à part quelque amis garde chasse de son père qui passaient rarement, il n'avait jamais entendu d’autres rires.
Entendant l'orage se manifester et la voyant resté allongée, il se lança à sa rencontre, ne voulant laisser passer une occasion de rencontrer une nouvelle personne !

Il se pencha au dessus de l’inconnue et, ne sachant par quoi commencer, il dit tout simplement :
- Bonjour !

Invité

Fanya sursauta en entendant la voix d'un jeune homme l'interpeller. C'était bien la dernière chose à laquelle elle s'était attendue dans une forêt: faire des rencontres. Elle détailla le nouvel arrivant. Jeune, pas beaucoup plus qu'elle, et très enfantin - il semblait en tout cas. Elle lui aurait donné 18 ans, peut-être 19, à vue de nez. Mais elle savait qu'il valait mieux éviter de se fier aux apparences - elle en était une preuve vivante: douce en apparence, mais aussi froide et dangereuse que la glace. Elle secoua la tête, et ses cheveux aux reflets flamboyants vinrent se plaquer contre son visage et sa nuque. Lorsqu'elle prit la parole, sa voix était méfiante et tranchante comme une dague d'assassin.

"Bonjour. Que faites vous ici?"

Elle prit conscience que ce n'était pas "sa" forêt. Elle avait l'impression que l'univers s'écroulait. Mais ici, l'atmosphère était différente... Familière. C'était une impression tellement étrange: ne plus se sentir chez soit dans un endroit qui, durant cinq longues années fut votre maison. Elle s'assit à l'abri d'un rocher, tirant le jeune homme sous la pierre avec elle. La peau de la jeune fille était étonnamment chaude par rapport à la pluie glacée qui tombait. Celle de jeune homme en revanche faisant penser à un glaçon.

"Bon, je suppose que vous voulez attendre que la pluie finisse?"

Il n'y avait pas d'animosité dans le ton de Fanya, au contraire. Elle était plutôt rieuse, s'étonnant elle même. Ses yeux bleu-verts fixaient intensément le jeune homme. Elle détourna le regard et sortit son lourd manteau de son sac. Il tenait chaud, mine de rien. Elle sourit, repensant à son frère. Une pensée lui traversa l'esprit.

"Vous avez froid?"

Invité

Le rocher sous lequel ils s’étaient abrités formait un abri assez spacieux où l'on pouvait s'allonger sans problème. Face à eux, les arbres se faisaient fouetter par le vent de cet orage imprévu.
La pluie forte et les éclaires zébrant le ciel, Zareck comprit que l'orage n'allait pas s'arrêter avant un bon petit moment et qu'ils allaient rester à l'abri sous cet arbre durant quelques heures au moins, et le jeune homme se réjoui à l'idée de pouvoir discuter avec cette inconnue tranquillement.

- Froid ? Oui en effet on peut dire ça. Dit-il grelottant. Et surtout trempé jusqu'aux os !

Il enleva sa veste détrempée et l'étendit à coté de lui ainsi que son arc mais garda ses armes à porté de main, ne sachant à quoi s'attendre avec cette jeune fille!
Il en profita pour la détailler un peut discrètement, intrigué par cette tenue si extravagante, néanmoins fasciné par son visage si délicat, ainsi que ses yeux bleus magnifiques.
Il enleva aussi sa tunique et l'essora autant qu'il put avant de la remettre.

- J'aurais du prendre ce fichu manteau finalement, même si il pèse une tonne.
Ronchonna-t-il pour lui même.

Intimidé par la présence féminine près de lui, Zareck était mal a l'aise, et tenta quand même d'en savoir plus sur elle !

- Je suis désolé je ne me suis pas présenté : je m'appelle Zareck. Est ce que je peux savoir comment vous vous appelez ? Dit-il timidement, tout en essayant de déchiffrer les réactions de celle-ci.

Edit Uriel : Le nombre de ligne réglementaire n'est pas atteint. Étoffe moi tout ça, s'il te plait ;)
Edit Uriel 2 : c'est tout bon, le rp peut reprendre ;)

Invité

Le jeune homme répondit qu'en effet, il avait froid. Fanya sourit. La pluie était en effet plutot froide, mais tellement vivifiante par rapport à toutes ces semaines passées dans l'air putride et sec de la ville. Essorant sa chemise, il ronchonna quelque chose à propos d'un manteau. La jeune fille était contente d'avoir le sien. Ramenant ses genoux contre sa poitrine, elle resta songeuse un moment. Bien sûr, elle regrettait la ville sous certains points: regarder la pluie tomber et être au sec, par exemple. Dormir sans être réveillée en sursauts par des cris d'animaux, loups, renards... Mais dans la forêt, la peur des coupes gorges disparaissait... Elle se sentait simplement chez elle, bien. Oui, malgré son enfance dans les maisons de chaumes, sa véritable maison, son chez-soi, c'était ici. Sous la voute des arbres. De nouveau, le jeune homme la tira de ses pensées. Il se présenta. Le fixant intensément, elle lui sourit.

Fanya Ungo, ravie. Hum... Dites moi, je vais peut-être vous paraitre curieuse, mais... que faites vous, seul dans cette forêt?

Elle même se remémorait pourquoi elle était revenue... La peur nouvelle de cette ville, l'envie de retrouver son élément. Et sa solitude. Fanya avait soudain envi de pleurer. Pourquoi, elle ne saurait le dire. Mais les larmes venaient, inévitables. Elle détourna le regard, et laissa les perles couler sur ses joues, lentes, tristes. Peut-être la pluie lui donnait-elle envi de pleurer, si tragique, et merveilleuse en même temps. Le bruit étouffé des gouttes sur les feuilles... Fanya compris: elle ne se sentait pas triste. Non. Soulagée était un terme plus exact. Elle était soulagée de pouvoir rester de nouveau elle-même. Sans faux-semblant, sans paraitre... Elle sourit. Impression étrange que de sourire en pleurant. Elle essuya d'un geste vif les dernières traces de larmes, bien que ses yeux restent rouges. Elle laissa échapper un rire en pensant à la tête qu'elle devait faire.

Invité

- Fanya, Fanya Ungo ... je trouve ça très jolie. Dit Zareck plus pour lui même que pour elle.

Ce rappelant qu'elle lui avait demander ce qu'il faisait là, dans cette forêt, tout seul il ne pût s'empêcher de sourire ce rappelant la raison. Mais dès qu'il vit les larme perler délicatement sur les joue de Fanya son sourire s'effaça très vite, ne sachant quoi faire il patienta de voir comment la suite allé arrivé et fut d'ailleurs tout aussi étonné de la voir sourire puis s'essuyer les yeux et enfin de l'entendre rire.

<< décidément j'ai beaucoup à apprendre dans le comportement des gens de la ville parce que la je n'y comprend plus rien. >> pensa-t-il !

Finalement il ce décida tout simplement a lui expliqué la raison pour laquelle il fut ici sans faire de commentaire sur ce qu'il venais de ce passé !

- Mon père est garde chasse et ma élevé tout seul donc j'ai passé ma vie dans cette immense forêt. Commença-t-il. Il y a quelques jours de cela j'ai fêté ma vingtièmes années et j'ai décidé ce jour là de partir de chez moi pour découvrir le monde de mes propre yeux et je doit avoué que pour le moment je ne regrette en rien ma décision.
J'ai vue des paysages plus beau les un que les autres ainsi que quelques plantes que je n'avais pas u l'occasion de voir près de notre maison et puis ... Je fait vôtre rencontre, et à par mon père je n'ai pas u l'occasion de faire beaucoup de rencontre comme vous pouvez vous en douté ! Donc pour le moment je n'ai pas de but précis et je vais ou bon me semble quand l'envie m'en prend.

Ce rendent compte que ça faisait un moment qu'il parlai et raconté toute ça vie, le mis grandement mal à l'aise.

- Je suis navré de parler autant, ce n'ai pas très courtois de ma part. Puis-je vous demandez aussi ce qui vous amène dans cette forêt ?

Invité

Le jeune homme lui expliqua la raison de sa présence ici. Apparemment, il avait envi de découvrir le monde. Fanya trouvait cette explication valable. Pourquoi pas, après tout? Zareck avait une vingtaine d'années (elle se rendit compte de son erreur), il avait tout a fait le droit de "voler de ses propres ailes". Il lui demanda ce qu'elle faisait dans cet endroit.

Eh bien mon histoire est un peu plus compliquée que la votre jeune homme, et plus ennuyeuse aussi. La seule chose qui puisse vous intéresser et de savoir que j'ai passé cinq ans à vivre dans cette forêt dans un état pour le moins végétatif...

Beaucoup de souvenirs refirent surface... Son exil personnel, son frère. La façon dont il avait changé, le jeune homme qu'il était devenu... Elle aurait voulut se confier encore une fois, mais elle restait prudente. Que savait-elle du jeune homme, hormis son nom, son age et quelques mini bribes de son histoire personnelle. Pour peu, Fanya lui aurait demandé de tout lui raconter. Mais Zareck n'avait peut-être pas envi de se confier. Elle décida de changer de sujet. Elle avait fait le tour de la ville il y a peu, peut-être ses connaissances pourraient-elles lui servir.

Vous vous dirigez vers la ville? Qu'est-ce que vous en connaissez?

Elle espérait fortement que les similitudes de leurs histoires s'arrêteraient la. Elle n'avait pas envi de savoir ce jeune homme en danger dans une ville comme celle ci.

Invité

Fanya lui ayant dit quel avais vécu 5 ans dans cette forêt éveilla en lui une curiosité qu'il u du mal a contenir mais qu'il s'efforça de n'en rien paraitre voyant bien que c'est 5 années ne devais pas être des plus heureuses ...
il regarda l'orage battre sont pleins à quelques mètres devant lui avant que la jeune femme ne lui demande si il allait vers la ville et ce qu'il connaissait de la ville !

- Il y a une ville près d'ici ? Je ne savais pas il faut dire je ne sait rien du tout je n'ai ni carte ni indication. Dit-il, riant de sont ignorance.

Puis il ce rappela que sont père lui avait en effet parler d'une ville vers ces environs. En y repensent d'ailleurs sont père lui avait dit plein de chose a propos des villes, mais comme à son habitude il n'avait écouté que d'une oreille distraire pendant qu'il rêvé de ces futurs découvertes !

- En y repensant, en effet mon père m'avait parler d'une ville et il m'avait dit, il me semble, qu'il fallait ce méfié de chose ou d'autre, je ne sait plus vraiment. Puis il fit un grand sourire à Fanya. Je doit vous avouez que je n'ai pas une très bonne mémoire et que je n'écoute pas vraiment les gens quand il me parle si ça ne m'intéresse pas vraiment.
Il partie dans un grand rire franc en ce remémorant le nombre de fois où sont père avait désespéré devant la mémoire si sélective de Zareck.

Donc je vous le donne en mille, non je ne connais vraiment rien a cette ville, ni aucune d'ailleurs, vue que je suis jamais partie à plus de deux jours de marche de chez mon père.

Il réfléchit quelque minute, pesant le pour et le contre ne sachant quoi choisir. Devait-il allé visité cette ville ou suivre un des rares conseils qu'avait retenu Zareck de sont père "évite autant que possible les villes ce sont des coupes gorges assuré aux personnes qui n'ont jamais mit les pieds dans une grande ville de leur vie."

- J'aimerai bien visité une de ces villes en effet mais mon père ma conseillé de m'y restreindre au maximum, que me conseillez vous ? Demanda finalement Zareck à la jeune femme.

Invité

Zareck lui avoua qu'il n'avait pas vraiment de connaissances des alentours.

*Il n'est pas vraiment le seul, il faut dire...*

Que savait-elle vraiment de ces contrées? Elle n'avait jamais songé à partir à l'aventure, se terrant dans des coins sombres. Certes, elle connaissait la forêt comme sa poche, mais pourquoi n'était-elle jamais partie? Peut-être la peur de croiser son frère? C'était stupide comme excuse.
Elle sourit néanmoins.

Eh bien, un peu plus loin, vous arriverez en direction de la lisière. La ville est si immense qu'on la voit d'ici. Si je peux vous conseiller quelque chose, c'est d'éviter de passer la nuit dehors une fois la bas. Et encore, méfiez vous. Toute sortes de compagnies plus ou moins respectables y vivent: les marchands, les musiciens, mais aussi des assassins et des voleurs. Je...faisais partie de cette dernière "guilde".

Elle rougit. Le souvenir de Dante lui revint. Elle en arriva à se demander ce qu'il faisait maintenant. Elle secoua la tête. Pour elle, les souvenirs, même si inévitables, étaient synonymes de remords. Mieux valait les éviter. Elle se redressa.

Je peux vous conduire aux portes de la ville. Cependant, je n'y rentrerais pas. Sauf si vous avez beaucoup de temps devant vous et que vous ne voulez quitter ces bois. Et je voudrais vous demander une chose. Vous avez 20 ans. Je n'en ai que 28. Serait-ce possible de se tutoyer? J'ai l'impression de prendre un coup de vieux avec le "vous".

Elle sourit de nouveau. Sa phrase frôlait l'impertinence. Ou peut-être ses années (bien que peu nombreuses) dans le monde de la haute société faussait-elle son jugement? Elle ne se reconnaissait plus. Peut-être le fait de se sentir si étrange dans un élément qu'elle connaissait pourtant bien... Qui aurait pu prévoir ce qu'elle deviendrait? Elle n'avait rejoint la guilde des voleurs que dans le seul but d'échapper à un mariage arrangé. Mais si elle avait cédé. Si elle était restée? Que serait-elle aujourd'hui? Peut-être une femme au foyer, aimante et mère de famille depuis longtemps déjà... Depuis... Depuis une dizaine d'années, elle aurait une bande de marmots dont elle aurait du s'occuper. Mais elle avait choisit l'indépendance et la solitude.[i]

Invité

Après que Fanya lui est demander si ils pouvaient ce tutoyé Zareck ne pus retenir le soupir de soulagement !

- Alors là il n'y a pas de problème tu peut me tutoyé autant que tu le souhaite parce que depuis un moment je me demander comment te le demander moi même, comme je ne suis pas habitué de parlé à quelqu'un que je ne connais pas vraiment je ne savais pas comment m'y prendre. Dit-il en riant.

Puis il repensa à ce que lui avait dit Fanya à propos de la ville, les guildes , les marchands, les voleurs, les assassins ... une ville immense !

* Bon sang ! Moi qui est connu que ma maison et les bois et qui en plus a quelque problèmes à parler à une seul personne que je ne connais pas, comment je vais faire si je rentre seul dans cette ville ! Je ne vais pas m'en sortir ! Et avec la chance que j'ai je vais attiré tout les ennuis que l'on peut avoir, tous en même temps et dès mon arrivé ... *

il réfléchit encore a la question ce demandant si il été bien prudent d'allé tout seul dans la ville tout dessuite.

- Finalement, je vais attendre un peut avant de m'aventuré tout seul dans la ville ! et puis je ne suis pas pressé, je viens juste de commencé mon voyage. En plus j'aimerais resté encore un petit moment avec vous si vous êtes d'accord, ça me permettra d'en connaitre un peut plus sur la région.
Dit-il avec un grand sourire. D'ailleurs, je voulais savoir, vous avez parler d'une guilde ... comment s'appelait-elle ... ah oui, la guilde des voleur si je ne me trompe pas vous en avez fait parti. Ça ma éveillé ma curiosité vous pouvez plus m'en parler ? Si ça ne vous dérange pas !

Il s'installa mieux, regarda vite fait l'orage qui battait toujours sont plein et ce retourna pour regarder les beaux yeux bleu de Fanya ce demandant ce qu'elle allait bien lui raconté !

» Zareck, l'apprenti chasseur