Un assassin dans la ville [suite de ma présentation]

Le soleil de midi éclairait la ville, Hach se tenait sur le toit encore sur le choc de ce qu'il venait de voir.

*Nina... c'était Nina... j'ai failli tuer ma mère*

Hach n'arrivait pas en y croire. Durant 6 ans, il avait appris à tuer, il avait appris à aimer tuer, toujours sous son principe strict : éliminer celui qui peux l'identifier qui qu'il soit roi ou pauvre... et là, il avait épargné quelqu'un qui avait vue son visage d'assassin... que faire...

Il regarda à nouveau l'endroit où il avait laissé Nina mais elle n'était plus là. Alors il descendit et repris sa démarche de moine.

*Qu'es ce que je vais faire* pensa-t-il en marchant main jointe et tête basse sans regarder devant lui, chose qu'il n'aurait pas fait en temps normal.

Hach marchait distraitement mains jointe et tête basse, autour de lui rien n'existait plus, il lui semblait que le temps avait disparut , que le sol et les maisons autour de lui n'étaient plu...

*Pourquoi as-t-il fallu que ça arrive? Cette femme aurait pu être n'importe qui mais non il a fallu que je tombe sur Nina...ma mère*

Mais soudain il fût percuté par quelqu'un ou quelque chose, cela le tira de sa méditation. Il releva la tête et observa la personne qui venait de le percuté.
Il s'agissait d'un jeune homme plus petit que lui, mais Hach savait qu'il ne fallait pas sous estimé un potentiel adversaire. Potentiel adversaire, c'était ainsi qu'il estimé cet inconnu, comme tout les inconnues d'ailleur, il était habituer à toujours être sur le qui vive et à se méfier de tout le monde.

Il garda quand même en tête qu'il était dans la peau d'un moine. Il s'adressa alors à cet inconnu de manière douce comme un vrai moine le ferait.

"Hé bien mon fils? Qui te fait fuir ainsi? As tu croisé le chemin du démon?" Plaisanta-t-il à la manière d'un moine.

Hach ne s'attendait pas à faire rire l'inconnu lorsqu'il lui lança sa blague mais il n'imaginait pas qu'une demoiselle répondit à sa place.

« Peut-être le cherche-t-il ? »

Enchéri-t-elle continuant sur le même trais d'humour, mais le jeune homme dit quand à lui

"Oui je le cherche, il m'apporteras peut être un peux de danger et d'émotion dans cette vie si monotone."

Quel réponse étonnante, lui ne semblait pas plaisanter du tout.

« Et bonjour mon père » Ajouta la jeune fille

"Frère ... je ne suis pas prêtre mon enfant, je suis moine, et les moines on les appel "frère" " Puis il baissa les yeux sur le jeune homme et pose sa main sur sa tête "hé bien mon ami, il semblerait que tu t'égare, le démon n'apporte que tristesse et malheur"

Des phrases idiote dont il n'y croyait pas la moitié de ce qu'il disait. Cependant il était obligé de jouer le jeu. Si ces deux là découvrait qu'il n'était pas vraiment moine et qu'ils voyaient son visage, il serait obligé de les tuer. Il ne pouvait pas prendre ce risque en pleine journée à découvert.

Il s'adressa enfin à la jeune fille.

"Bonjour jeune fille"

La vie, pleine d’aléas, remplie de situation en tout genre et plus cocasse les unes, que les autres. Elle était ainsi faite que les êtres qui bougent un minimum ne s’ennuyaient jamais. A leur grand bonheur dans les premiers temps mais au fur et à mesure cela devenait à leur grand malheur, petit à petit, la griserie de l’action faisait place à l’exaspération voir même au franc raz le bol. Les pauvres êtres qui ne se décidaient pas à prendre un appuie stable dans la vie finissait par se faire engouffrer dans ce tourbillon chaotique aux allures chatoyante.
C’était amusant de voir l’humanité chercher l’amusement avec toutes sortes de chose voir même le plus souvent, en cherchant la mort d’un peu trop près. C’était une constatation, faite sans étonnement et même sans joie, sentir que la vie ne tenait qu’a un fil et que les gens en jouait si follement, comme si ils cherchaient a combler un manque, simplement pour se sentir vivre. Besoin inexorable, insatiable et surtout incompréhensible.
Mais pour l’heure les trois protagonistes se trouvaient dans la ronde de la vie, dans une situation cocasse pour certain, embarrassante pour d’autres, ou encore une échappatoire aux tourments de l’esprit pour les autres. Trois versions de scène pour trois êtres tout aussi disparate et différent que l’était les gens présent.
A sa boutade, Mélora aura pour réponse une réplique fait du tac o tac. Le jeune homme qui était a peine plus haut qu’elle semblait avoir très mal pris les dires la poupée.


"Oui je le cherche, il m’apportera peut être un peux de danger et d'émotion dans cette vie si monotone."

"Frère ... je ne suis pas prêtre mon enfant, je suis moine, et les moines on les appels "frère" "

Oh, la cuisante brûlure de la gêne. Elle mordait ses entrailles, ses joues, en bouffées de chaleur qui ne faisait que d’ajouter à son état perturbée. Elle avait horreur de ce genre de situation. Et quand on n’est pas bien renseigner sur un sujet on fait inévitablement des fautes, la preuve en était par cette situation. Elle s’appuiera contre le mur à côté duquel elle se trouvait, trouvant refuge dans les ombres de celui-ci.

"Hé bien mon ami, il semblerait que tu t'égare, le démon n'apporte que tristesse et malheur"

"Bonjour jeune fille"

« Pardonnez moi mon Pèr…Frère, j’ai fauté par ignorance. »Et rajoutant comme si de rien n’était, enchainant comme si c’était dans la logique de sa phrase précédente « Chien qui aboie ne mord pas »


Regard en coin, pétillant de malice, à l’encontre du jeune, boutade qui était plus gentille que méchante, montrant juste qu’elle ne s’était pas faite désarçonné par la hargne sous jasant que c’est propos cachaient.Et par ces répliques elle cachait sa gène passagère, qui était retombée aussi vite qu’elle était venue. Espérons pour elle qu’elle n’avait pas été trop vue par les deux autres personnes.

« Certain voudrait avoir un peu de monotonie, ce n’est pas en cherchant le diable que l’ennuie te fuiras »

Répliquera t’elle un brin plus sérieuse dans sa manière d’agir, mais ce n’est pas pour ça qu’elle faisait sa moralisatrice. Loin de là, elle mettait juste les pendules à l’heure.
Toujours appuyée tranquillement contre son mur la toute jeune femme, observait dans la mi-obscurité de la ruelle, ces deux étranges protagonistes. Cette tranquillité relative qui régnait dans ce lieu était de courte durée, car comme prouvé que c’était une mauvaise idée pour de simple passant comme eux de s’aventurer dans ce genre d’endroit.

Un homme se mouvait dans ces ombres, pas trainant, chancelant, être plein comme une outre d’un liquide qui n’était certainement pas de l’eau. Corps qui s’affalent essayant de trouver un moyen pour se retenir, ce moyen sera, au grand malheur de cette dernière, Mélora. Pression qui s’exerce sur son épaule, poids qui se fait lourd trop lourd pour elle. Cri de surprise qui s’élève, d’un mouvement de l’épaule elle s’extraira à cette présence des plus désagréables, suivit d’un bond en avant pour s’enfuir au plus loin de ce pauvre type. Après cet abandon l’homme se laissa tomber comme une masse sur le sol, endormit, cuvant son vin en faisant des ronflements des plus sonores.
Par ce bond Mélora, se retrouva près de deux autres, ayant légèrement cogné le moine. Elle s’excusa confuse, ses joues reprenant une légère teinte rosée, beaucoup plus discrète que la fois précédente pourtant.

« Pardonnez moi mon Pè…Frère… J’y arriverais un jour décidément… »

Sur ses lèvres vermeilles apparaitra un sourire plus que dépité.

« Certain voudrait avoir un peu de monotonie, ce n’est pas en cherchant le diable que l’ennuie te fuiras »

Ces dernières paroles sortirent de la bouche de la jeune inconnue interpelèrent Hach, c'était une perche lancée pour affirmé son rôle de moine. Il la saisi donc et ajouta...

"Certes tu ne fuira pas l'ennuie en cherchant le diable, mais tu les trouveront, car c'est tout ce que le diable t'apportera mon garçon, des ennuis"

"Avec la vie que je mène il faudrait déjà que l’ennui me rattrape, non c'est plutôt cette ville que je trouve ennuyante."

Avait rétorqué le jeune homme, mais soudain comme effrayée la jeune demoiselle se précipita hors de la ruelle sombre et vint se cogné à Hach. Décidément c'était la journée, tout le monde se cognait à lui, de plus ce dernier choque avait percuté ses poignard dissimulé sous sa robe les faisant cliqueté.

*Ça deviens dangereux... si elle devine que ce sont des poignards je risque gros... un moine qui porte des armes...*


Lorsqu'il avait choisi un habit de moine pour se camouflé, il n'avait jamais pensé que quelqu'un pourrait le touché, on ne touche pas un moine normalement... de plus, Hach n'avait pas le corps gras et bedonnant des moines et ces deux là avaient dû d'en rendre compte en percutant son ventre solide et tendu.

Elle s’excusa confuse, ses joues reprenant une légère teinte rosée, beaucoup plus discrète que la fois précédente pourtant.

« Pardonnez moi mon Pè…Frère… J’y arriverais un jour décidément… »

Sur ses lèvres vermeilles apparaitra un sourire plus que dépité.
*Quel jolie sourire* pensa-t-il puis il secoua la tête, ce n'était pas le moment, un moine ne peut être troublé par la beauté féminine. Ce geste passera espéra-t-il comme si il secouait la tête pour reprendre ses esprit du choque.

"Ce n'est rien mon enfant" le rassura-t-elle amusé qu'elle ne puisse s'empêcher de dire "mon père".
Il se dirigea vers le clochard qui avait effrayer Mélo, mais alors qu'il s'accroupit pour l'assisté le jeune garçon pris la parole.

"Ce n'est qu'un ivrogne et pas dangereux... Je lui ai cassé le poignet tout a l'heur avant de vous croiser..."

Hach se retourna sur le garçon et aperçu sur son visage un fin sourire qui caressait ses lèvres et son regard impertinent plongée dans ceux de la femme. Il se tourna alors vers le moine qui l'observait.

*Ce garçon m'a l'air dangereux... ou déranger... pourquoi cassé le poignet d'un homme? Si il dérange autant l'éliminer... cassé le poignet es cruel*

En pensant ces paroles, Hach se demanda si lui même n'était pas déranger aussi, il demanda à Gani

"Pourquoi avoir brisé le poignet de ce pauvre homme?"

Il se tourna a nouveau vers le vieillard qui semblait complètement ivre et inconscient et les seuls réponse qui vinrent de la bouche du jeune homme furent

"Pour en revenir au sujet de tout a l'heur mon frère, je ne pense pas que le démon sois si terrible que cela... Tout animal, une fois dompter, devient inoffensif."

Intérieurement Hach sourit

*Si tu savais... * pensa-t-il

"Tout animal dompté fait semblant d'être inoffensif, mais fais le souffrir... tourne lui le dos et il te tuera..."

Mais Hach devenait imprudent, cela n'était pas des paroles sage d'un homme d'église. Très vite alors, avant que la situation ne l'échappe il se redressa et se tourna vers la demoiselle qui semblait plus réceptive à la gentillesse d'un homme d'église et lui demanda.

"Pourriez vous venir m'aider? Nous ne devrions pas laissé cet homme comme ça allongé dans le rue au milieu des ras le poignet cassé. Nous devrions le porté chez un guerrisseur."

Quel poisse, Hach n'aurait jamais dû sortir de sa cachette ce matin, d'abord Nina, et puis ces deux là et maintenant ce clochard qu'il devait aider... il le tuerait pour se venger ça c'est sure, il ne perdait rien pour attendre ce vieille ivrogne!

Cliquetis métallique qui retentit dans le semi-silence qui avait suivit son cri, même Mélora qui n’était pas une adepte des armes en tout genre savait reconnaitre un bruit de ce type. Si cela était des quelque pièces, le tintement aurait été plus musicale. Si le moine avait un couteau pour se défendre en cas de besoin ça n’aurait pas fait de bruit car il n’y aurait pas eu répercutions possible. Et là, c’était le son d’arme qui s’entre choquent. De plus son corps avait si elle avait bien sentit l’aspect sec et nerveux d’un homme d’action. Les muscles toujours en alerte prêt à intervenir en cas de besoin.Mais cela pouvait être un pure hasard, la vie est ainsi faite qu’un homme peut se reconvertir en cour de route…


"Ce n'est rien mon enfant"

Elle aura un haussement de sourcil interrogateur quand elle le verra secouer son visage. Plus que surprise par ce geste qui n’était pas celui d’un moine avec une tranquillité d’esprit a toute épreuve. Ça commençait a faire beaucoup pour un simple et innocent moine....Mais elle ne releva pas encore, Mélora répondit tout de même d’une voix très légère un remerciement. Murmure plein de douceur.


« Merci mon …. »


Ne terminant pas sa phrase, préférant abandonner la partie elle sentait qu’elle allait redire un mon père…

"Tout animal dompté fait semblant d'être inoffensif, mais fais le souffrir... tourne lui le dos et il te tuera..."

"Votre commentaire sent le vécus... Mon frère..."

Oh oui le « moine » devenait imprudent, pas dutout le genre de parole d’illuminé et parabole toujours plus positive les unes que les autres. Cela était les paroles d’un être qui avait vécu et souffert, ce n’était pas un de ces gros bonnets de membre de l’église qui vivaient aux dépend des gens du peuple, tout en croyant naïvement qu’ils avaient réponses a toute les questions et que leur paroles était la science infuse. Elle observa le moine attentivement, regard perçant que voilà mais elle maintenait toujours une retenue, marque de respect envers les êtres humains selon elle. Main qui s’égare dans ses boucles gestes automatique, signe qu’elle réfléchissait. Le moindre geste de celui-ci sera analysé, puis lorsqu’il fera son avancée près du blessé son attention retomba.

"Ce n'est qu'un ivrogne et pas dangereux... Je lui ai cassé le poignet tout a l'heur avant de vous croiser..."


"Pourriez-vous venir m'aider? Nous ne devrions pas laissé cet homme comme ça allongé dans la rue au milieu des rats le poignet cassé. Nous devrions le porté chez un guérisseur."


« On devrait surtout trouver un endroit tranquille pour que je puisse voir exactement ce qu’il a. Il faut bien rattraper les bêtises des autres, j’en ai l’habitude»


Lâcha la jeune fille dans un automatisme digne d’un automate, ou alors de ces personne rodée a faire quelque chose et qui réponde par pure réflexe. Même si il n’en avait pas l’envie, pour l’heure c’est ce que ressentait Mélora même si ce pauvre bougre méritait du soin, il lui avait fait une belle peur.
En tout cas, elle joignit le geste à la parole malgré le peut d’envie qu’elle avait d’être charitable, elle revint sur ses pas revenant auprès de l’homme, du moine ou le présumé moine. Pliant les genoux elle s’agenouillera auprès de cet homme, son regard l’observant attentivement, cherchant autre chose qu’un abus de boisson ou encore un poignet cassé, car vu dans l’état qu’il est, il a pu fortement se faire d’autre blessure. L’ennuie c’est que vu la saleté qui le recouvrait, il était presque impossible de voir quoi que ce soit, la clarté aidant encore moins la jeune fille. Pour ne pas être gêné par ses boucles elle avait prit une lanière de cuir et avait relevé ses cheveux en une natte haute. Libérant son doux profil et laissant voir sa nuque. Plus libre ainsi, elle n’avait pas à faire attention a où ils allaient trainés.


« Tsss comment on peut soigner quelqu’un dans un état aussi défroqué, et ou une blessure peut se cacher sous la crasse »


Laissa-t-elle échappé par frustration de ne pas arrivé à voir quelque chose de concret malgré le faite qu’elle avait de bon yeux. Habituée a tout ce qui concernait le soin, mais pas encore pour ce type de cas. Elle n’avait pas assez de pratique en ville pour savoir bien analyser comme il faut. Dans les bois tout est beaucoup plus saint. Les choses n’étaient pas dissimulées comme tout ici dans cette ville.


«Il faut qu’on trouve un coin plus convenable que cette ruelle, là ou il y a du soleil et de quoi trouver de l’eau »


Ca y est, elle embarquait les deux hommes. Qu’il soit d’accord ou pas c’était son affaire il devrait passer par les volontés de cette petite bonne femme. Tout dans son attitude montrait qu’elle était guérisseuse même si elle l’avait pas dis clairement, ses actes parlaient pour elle.
Se redressant lestement, elle essuyât ses mains comme elle pouvait, autant le plus gros de la crasse. Son regard avait perdu une partie de sa douceur habituel, plus métallique, plus tranchant. Moment passager ou elle laissait voir ses véritables émotions. Trop préoccupé par l’homme que pour penser à jouer un rôle qu’elle c’était donné d’accomplir.

"Votre commentaire sent le vécus... Mon frère..."

Hach décida d'ignorer cette dernière remarque. Après tout il n'y a que les fautifs qui se justifie.

« On devrait surtout trouver un endroit tranquille pour que je puisse voir exactement ce qu’il a. Il faut bien rattraper les bêtises des autres, j’en ai l’habitude»

Repris la demoiselle. Visiblement elle semblait ne pas beaucoup apprécié le jeune garçon se dis Hach. Se connaissais-t-il d'avant?

« Tsss comment on peut soigner quelqu’un dans un état aussi défroqué, et ou une blessure peut se cacher sous la crasse »

Ah les femmes, elles se plaignent toute toujours à ce que disent les autres hommes et celle-ci avait l'air d'en être un sacré bou.

«Il faut qu’on trouve un coin plus convenable que cette ruelle, là ou il y a du soleil et de quoi trouver de l’eau »

Elle avait l'air de savoir ce qu'elle faisait avec ses aire de "pas y toucher".

*Elle est peut être soigneuse... en tous cas elle est belle... *

Pour ne pas être gêné par ses boucles elle avait prit une lanière de cuir et avait relevé ses cheveux en une natte haute. Libérant son doux profil et laissant voir sa nuque. Plus libre ainsi, elle n’avait pas à faire attention a où ils allaient trainés.
Ces gestes fascinait Hach, le troublait...
Il n'avait pas l'habitude de côtoyer la gente féminine. Sa nourrisse, Nina, c'est la seul femme qu'il avait jamais vraiment côtoyer, en général quand il croisait une femme c'était pour la tuer prendre ce qu'il a à prendre et partir mais l'espace d'un instant il vît Nina à la place de Mélora lorsqu'elle attacha ses cheveux, comme une image superposé...
Cette journée était décidément troublante.

Mais la situation devenait dangereuse, il lui semblait que ces deux là se méfiait de lui, peut-être même qu'ils pensaient qu'il n'était pas moine. Mais Hach avait tout prévu.

"Emmenons le à l'abbaye mes enfants, mes frères et moi même lui donnerons la pitance et le gîte."

Comment allaient réagir les deux inconnue? Après tout Hach se mettait en danger en allant à l'abbaye si il n'était pas vraiment moine.

Les répliques de la jeune fille amusait Hach

« Un homme peut-être juste assommé, ce n’est pas dur vous savez…Un bon coup placé derrière la nuque suffit largement a neutraliser une personne un bon moment. Même moi qui suis une empotée au combat le sait»

Cette fille respirait la paix, la non violence, ou du moins le moins possible....

"Non... Cet homme est ivre et peux être dangereux si une arme ou quelque chose qui pourrais servir d'arme lui tombe sous la main... Il sera impossible de protéger tout les moines se trouvant là bas... Il faut un endroit plus calme..."

Hach tiqua dans l'ombre de sa capuche

"Baliverne, il n'y a pas d'arme dans une abbaye ni rien qui puissent s'y apparenté, de plus cet homme es un vieillard sans force regardez le ils n'a pas dû manger un repas correcte depuis des siècles, il est saoul et il va certainement se réveillé avec une "geul de bois" carabiné et il a le poignet cassé... que voulez vous qu'il fasse au milieu de mes frères? Et puis vous semblez être un combattant a guéri pas vrai?"
Avait provoqué Hach sur un ton de défi voulant faire comprendre : - Si tu es assez fort pour cassé son poignet tu réussira bien à le maitrisé -

« En tout cas faite ce que vous voulez je ne reste pas plus longtemps ici, je vous attends dans l’allée principale ! »

La jeune fille semblait en avoir assez de ces discutions steril, il fallait agir tout de suite et prendre une décision.
Hach couru après la jeune fille, il la rattrapa et posa sa main sur son épaule droite, un contacte à la fois léger et appuyer.

"Attendez ne partez pas ainsi!!" Avait il crié en courant, mais lorsqu'il avait touché la demoiselle il susurra doucement "Vous n'allez pas me laissé avec ce type? Aidez moi à porté cet homme... lui ne m'aidera, je suis sure qu'il préférerait qu'on laisse ce vieillard pour mort dans la rue"
Hach se permettait de parler de la sorte car il savait que la distance qui les séparaient de l'homme était suffisante pour qu'il n'entende pas ce qu'il chuchotait.

"N'importe quoi peux servir d'arme, un simple chandelier pourrais tuer... Mais mon frère... Pourquoi prenez vous un ton si... provoquant... Cela n'est pas digne d'un homme d'église... Restez calme voyons."

Ce garçon agaçait Hach, et ce dernier était en train de s'imaginer en train d'enfoncer sa lame dans la gorge de ce provocateur.

"Dans l'ordre des moines il est dis que les règles monastique sont celle ci : Richesse et objet de valeur tu ne portera pas, femme tu ne fécondera pas et vie tu n'ôtera pas... il n'a jamais été stipulé que nous devions gardé notre flegme et notre calme en toute circonstance, nous avons le droit comme tout être humain de perdre patience ou de nous énerver. "

Puis Hach courut vers la jeune fille et posa sa main sur son épaule

« Qu’est-ce… Qu’est-ce que ?! »

La jeune fille venait de s'exclamer comme surprise ou tiré subitement de ses pensées.

« Eu… D’a… D’accord…Vous avez raison…. Mais je pense que l’option du monastère est à supprimer. Il doit être à l’extérieur de la ville, donc trop loin. »

Visiblement oui, elle venait d'être tirée de ses pensées ou de ses rêves.
Pourquoi ces deux là voulaient absolument évité le monastère? Où voulaient-ils amené ce vielle homme dont après tout Hach n'en avait que faire?

*Maudit déguisement de moine * pensa-t-il

"Dans ce cas je propose que vous alliez chercher vos outils et vos ongue de soins, notre amie ci présent et moi même emmènerons le vielle homme dans l'auberge qui se trouve au bou de la rue là bas, vous retrouverez la chambre en demandant à l'aubergiste la chambre du frére Dézanje. "

"Dans l'ordre des moines il est dis que les règles monastique sont celle ci : Richesse et objet de valeur tu ne porteras pas, femme tu ne féconderas pas et vie tu n’ôteras pas... il n'a jamais été stipulé que nous devions garder notre flegme et notre calme en toute circonstance, nous avons le droit comme tout être humain de perdre patience ou de nous énerver. "

Secondes qui passent, adaptation qui s’installent dernières paroles qui feront tilt dans l’esprit de la jeune fille. Et plus précisément certaines en particulières où plutôt la tournure qu’avait utilisé le cher petit moine. « Femme tu ne féconderas pas »….
Esprit qui dérivera, visage qui essayait de garder son impassibilité ou son air joyeux habituel, mais ce sera chose perdue. Lèvre inférieur qui se fit emprisonner sous l’étau de ses dents blanche, tout en essayant tant bien que mal de garder une certaine forme de sérieux. Corps qui sera agité de léger soubresaut qui seront bien vite accompagné d’un doux rire, rire cristallin qui s’évadent de ses lèvres vermeilles pour quérir le vent dans une douce dance mélodieuse et envoutante.
Entre deux éclats de rire elle parviendra à laisser échapper une partie du pourquoi de son rire.


« Ainsi, si l’on suit vos dires si vous ne fécondé pas, vous pouvez culbuter a tout va ! Ou encore soulever quelques jupons. »


Paroles qui pouvaient s’avérer fort choquante pour un pauvre moine, mais le point de vue était défendable il avait fait une ouverture… Sourire en coin du côté de la belle, elle s’était enfin calmée mais pour l’heure elle était rayonnante



"Vous voyer? En plus du fait que vos frères seraient en danger! Votre monastère serait trop loin! Votre idée ne peux donc pas être mise en œuvre!"

"Dans ce cas je propose que vous alliez chercher vos outils et vos onguents de soins, notre ami ci présent et moi même emmènerons le vielle homme dans l'auberge qui se trouve au bout de la rue là bas, vous retrouverez la chambre en demandant à l'aubergiste la chambre du Frère Dézanje. "


« D’accord mon Père je vous rejoindrais…. »



D’un bond la donzelle s’élancera dans la ruelle, une puis deux foulées et la voila qui s’éloigne d’une allure vif et agile. Filant se procurer deux, trois choses qui lui seront utile. Et en particulier pas mal de désinfectant et un bon savon ! Venant de loin ils pourront entendre une exclamation.



« Et mince j’ai encore dit mon père »


Puis elle disparu, tel une ombre retournant parmi ses comparses.

Hach était encore amusé de constaté avec quel difficulté la jeune fille avait du mal à se familiariser au titre de "frère".

Elle s'éloigna et le laissa avec cet inconnu qui avait blessé ce vieillard.

"Je suggère que l'on transporte cet homme à l'aide de quelque chose..."

Hach balaya les alentours du regard. La rue était déserte, c'est vrai que depuis tou ce temps personne n'était encore passé et bien heureusement parce que, comment expliqué de manière rassurante la scène qui se jouait là.
Après un instant d'observation Hach aperçu une vielle table en bois de bonne taille qui devais sans doute être posé là pour être jetée.

"Là bas!!"

Hach se précipita vers la table, il l'observa... elle était belle, bien sculpté mais deux pieds avait été brisée et elle ne tenait plus sur ses quatre pieds. Il la releva et brisa un à un les 4 pieds, puis il apporta la tablette à coté du vieillard.

"Mettons le dessus" Dit-il à Gani

Après que le vielle homme fût mis sur la tablette, Hach se posta de manière à avoir la tablette devant lui et il suggéra à Gani de prendre la tablette dans son dos pour la tiré.

"Emmenons le à une auberge la plus proche, connaissez vous les environs?"