Tosya
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Lorsque une ancienne légende ressurgit du passé...
 
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 Une flèche, un mort.

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MessageSujet: Une flèche, un mort.   Une flèche, un mort. Icon_minitimeVen 31 Juil 2009 - 0:48

La nuit venait de tomber dans le bois de Moniek, les chant des oiseaux avaient laisser place au bruit de la nuit, insectes et animaux nocturne ne tardèrent pas a sortir. Des les sentiers une ombre se déplace furtivement, un cavalier, mais le noir empêche les gens de voir les détails de son corps. Arc à la main, lui sembler chercher quelque chose, une lumière au loin attira son attention, il descendit de son cheval, l'attacha a un arbre et lui dit.

-Ne bouge pas d'ici Yakuru, d'accord?

Le cheval ne dit rien, mais Ashitaka savait qu'il l'avait comprit. il enleva sa cape ne gardant que son masque et partit dans la direction de la lumière. Arriver a une Vingtaine de mètres, Ashitaka s'arrêta derrière un buisson et regarda....c'était un feu de camp, trois hommes étaient assis autour. Ils parlaient, mais Ashitaka n'arrivait pas à les entendre, il resta un moment à les regardait puis un Quatrième apparu dans son champ de vision, un grand homme, surement le chef, il avait une cicatrice sur le dos, surement une blessure d'épée, son visage était parcouru par un débout de barbe, une musculature imposante, il portait un pantalon en soie noir et une chemise marron, son visage était dur et il avait des cheveux cour noir. Il portait une énorme hache a double tranchant et malgré la distance, Ashitaka n'eut aucun mal a l'entendre.

-Tas de larves! vous faite quoi à rester assis sans rien faire?! et qui surveille le camp pendant que vous buvait? Hein?!

L'un des hommes pointa une direction en disant que quelqu'un monter la garde près de la route. Ashitaka laissa le groupe continuer de boire et partit en direction du garde, il se trouvait à une dizaine de mètres du camp. Il était adosser a un arbre et semblait lutter contre le sommeille, il portait une épée courte, un pantalon miteux et une chemise couver de poussière. Ashitaka prit son arc,y plaça une flèche et bonda son arc, il fixer sa cible, sa respiration devint lente, il attendit un moment puis lâcha sa corde. La flèche partit a tout vitesse, invisible, il eu un sifflement puis le bruit sourd d'une flèche qui entre dans un corps et enfin le son de du corps tombant au sol. Ashitaka sortit de sa cachette et s'approcha du corps en essayant de ne pas faire de bruit, l'homme était mort une flèche dans le cœur, Ashitaka le ramena dans les buissons et retira sa flèche. Une fois sur que le corps était bien cacher Ashitaka retourna vers le camp, les Quatres hommes étaient autour du feu et buvaient de l'alcool, le chef n'était pas autant saoul que les autres hommes, il gardait une certaine lucidité. Ils avaient garder leurs armes a porter de mains, mais cela ne posa pas de problème à Ashitaka qui était maintenant cacher derrière un arbre à dix mètres. Il réfléchit un moment, il se demandait comment il pouvait faire pour les tuer sans qu'ils le trouve, après plusieurs minutes il fini par trouver, il décocha une flèche et tira de l'autre coter du camp, la flèche brisa une branche morte. Le bruit fit sursauter les bandits, ils prirent leurs armes en même temps et se mit en garde, là d'où sortait le sons, ils étaient devenu attentif au bruit et Ashitaka se tapa la tête en se disant que maintenant ils allaient être encore plus méfiant. Après plusieurs minutes a attendre, ils finirent par baisser leurs gardes, sauf le chef qui resta sur ces gardes avec sa hache à la main, Ashitaka profita de leurs relâchement pour bonder son arc et tiré une flèche qui alla se planter dans le dos d'un des hommes. Au crie de douleur de celui-ci les autre se retournèrent et se mit en garde face à Ashitaka qui n'était déjà plus là, il était partit a l'instant où la flèche avait toucher sa cible. Il était maintenant à cacher sur leurs gauche, il tira de nouveau et tua un autre homme, les deux survivant commencer à perdre patience et a lui crier de sortir de sa cacher si il était un homme, ce qui tira un sourire a Ashitaka, il n'avait pas l'intention de se montrait, il tenait trop à la vie. Le petit manège dura encore un moment mais cette fois les Hommes réussit a contré les flèches, soudains Ashitaka marcha sur une branche morte, se qui alerta les deux hommes qui foncèrent sur lui sans attendre. Paniquer Ashitaka couru vers la gauche pour les éviter, il décocha une flèche et toucha de justesse l'un d'eux ,mais pas sur un point vital, sur le haut de la cuisse, il poussa un crie et déposa un genoux à terre, il ne pouvait plus être utile au chef qui l'acheva de sang froid et cria.

-Misérable! Tu va voir! Je vais te découper en deux!

Il fait tourner sa hache dans tout les sens et la planta dans un tronc, à cette vision Ashitaka alla se cacher derrière un arbre et attendit, soudain il sentit une lame passer au juste à coter de lui, l'homme venait de donner un coup vertical pour couper un buisson, Ashitaka colla l'arbre et en fit le tour pour tirait sur son adversaire, il sortit une flèche, bonda son arc et pointa vers.....le vide?! Ashitaka regarda autour de lui, l'homme avait disparu, enfin c'est se qu'il croyait, deux seconde plus tard l'homme arriva sur lui par la droite. il lui donna un coup de hache qui blessa Ashitaka au bras gauche, mais heureusement la blessure ne sembler pas profonde. Ils continuèrent se petit jeu de cacher-cacher pendant plusieurs minutes puis Ashitaka fini par retourner dans le camp, il avait une coupure sur la joue et un bleu sur les cotes. Il sortit sa lame et attendit, l'homme se mit a rire , il n'était pas sortit de la forets et quand il parla sa voix résonna se qui empêcher Ashitaka de savoir ou il se trouver.

-Pauvre petit chose, tu te retrouve seul face a plus fort que toi!

Il sortit a tout vitesse du bois et fonca sur Ashitaka Hache lever, il l'abatis sur le sol?! Ashitaka avait rouler sur le coter et profiter de l'excet de confiance de son ennemi pour frapper. Il planta sa lame dans les cotes du bandits et fini par lui donner un coup dans les genoux pour qu'il perd l'équilibre. Pris au dépourvu l'homme tomba lourdement au sol en poussant un crie mélangeant rage et frustration.

-Petit avorton!! Tu va Voir...

Il ne peut terminer sa phrase, Ashitaka avait déjà retirait son arme et l'avait planter dans la gorge de l'homme. Il resta un moment sans bouger, puis retira la lame et l'essuya, il banda sa blessure au bras et commença a fouiller dans les affaires des bandits pour savoir si il ne trouverait pas quelque chose d'utile pour lui.

Après avoir pris tout se qui pouvait lui être utile, Ashitaka cacha les corps dans les bois et décida d'aller dormir un peu plus loin, il retourna chercher son cheval. Il chevaucha pendant une dizaines de minutes et s'arrêta près d'un rivière, l'eau s'écoulait sans bruit. L'endroit offrait une magnifique vu des étoiles et était couvert d'herbe humide, mais cela de dérangea pas Ashitaka qui décida d'installer son lit de camp, il posa son drap avec une boule de tissu comme cousin, puis il s'approcha de la rivière pour boire un peu, il bu de grand gorgea d'eau et se nettoya un peu et en profita pour enlever les saletés qui se trouver dans ces blessures. Il sourit en voyant Yakuru boire à son tour.

-C'est vrai...je t'avais oublier.

Il se leva et le caressa la crinière, puis il retourna vers son campement pour prendre son repas....enfin si l'on pouvait appeler sa comme ça, il chercha dans son sac un moment pour sortir un morceau de viande sécher. Il arracha un morceau et mâcha énergiquement, le gout n'était pas extra, mais au moins sa remplie l'estomac, une fois son 'repas' avaler, il s'étira longuement avant de s'allonger sur son lit pour contemplait la nuit étoiles. Son cheval s'approcha de lui pour broutait l'herbe, Ashitaka soupira et dit.

-Les temps sont dure hein Yakuru, les gens sont de plus en plus méfient avec les inconnues....Je me demande pourquoi les mercenaires n'intervienne pas.....

Il réfléchît en continuant à regardait les étoiles, puis fini par s'endormir.
Au lever du jours Ashitaka fût réveiller par les 'bisous' de son cheval, il fit la grimace en sentant les lèvres de son cheval sur son visage, il bougea les mains dans tout les sens en disant.


-Humm! Yakuru stop c'est bon je suis debout!

Le cheval arrêta et s'écarta, Ashitaka s'assit et passa ces mains sur son visage pour enlever la bave de son cheval et lui dit.


-Ah c'est malin! Et tu trouve sa drôle?

Son cheval poussa un gémissement de joie, Ashitaka lui lança un regard noirs puis fini par éclater de rire, il se leva et alla se laver dans la rivière. Elle était glacial! Il lui fallu plusieurs minutes pour s'habituer à la température, son cheval s'approcha de lui pour boire et Ashitaka décida de se venger en lançant de l'eau sur Yakuru qui surprit, poussa un crie plaintif. Ashitaka lui dit sur un ton moqueur.

-Vengeance très chére!

Le cheval ne répliqua pas et continua à boire une fois qu'Ashitaka eu fini sa petite 'Vengeance' personnelle. Le bain terminer, Ashitaka décida d'allumer un feu pour se sécher et profiter pour faire un peu de thé, il prit ses ustensiles pour le préparait, fit bouillir de l'eau et sortit de son sac les feuilles de thé. Plusieurs minutes plus tard, le thé avait était terminer, Ashitaka se servit un verre et bu quelques gorgées, écoutant la forets qui se réveillait petit à petit, un vent frai balaya le campement se qui fit frissonnait Ashitaka qui décida de s'habiller. Ses habits enfiler, il termina son thé et commença à ranger son campement, même si il n'y avait pas grand chose à ranger, il mit le tout sur son cheval. Avant de partir il remplit ses gourdes et vérifia si son feu était bien éteint. Une fois tout cela terminer il monta sur son cheval et le fit quitter l'endroit avec un claquement de langue, Yakuru partit au gallo et Ashitaka lui dit.

-Aller Yakuru ! Quittons cette forêt !

Bientôt les bruits de course du cheval disparut dans la forets, laissant la nature reprendre ces droits sur cette endroit.
La journée avait bien commencer, Ashitaka suivait un sentier en écoutant les oiseaux quand soudain un bruit dans les sentier devant lui, attira son attention, il prit son arc et banda son arc. Après plusieurs minutes en loup en sortit, il le regarda un moment puis fini par partir en courant comme effrayer par quelque chose, Ashitaka remarqua soudain qu'il n'y avait plus un bruit dans la forets. Intriguer, son cheval aussi commencer à avoir peur, commençant a humer l'air et a remuer dans tout les sens. Coup à coup un ours sortit de derrière un arbre et se mit a courir après ashitaka, prit par la panique son cheval partit au gallo! Mais l'ours était pratiquement sur eux, Ashitaka tira une flèche mais rata sa cible à cause des mouvement paniquer du son cheval, il comprit bien vite que la fuite était son seul moment de survit. Il prit les rêne et le dirigea dans la forets essayant de le fuir, mais combat dans une impasse, il était coincer et l'ours était déjà à coter d'eux.
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MessageSujet: Re: Une flèche, un mort.   Une flèche, un mort. Icon_minitimeSam 1 Aoû 2009 - 13:25

Le soleil se trouvait juste au-dessus de l'horizon, derrière un convois de marchandises qui faisait route en direction de la capitale du rayaume d'Alsaria. La caravane des commerçants provenait depuis la lointaine capitale d'Ellandy, Shyamal. On comptait en tout quatre chariots tirés chacun par deux chevaux attelés. Autour, des soldats en armure encadraient avec discipline tandis que des archers surveillaient les alentours, sur les chariots.

Dans la dernière caravane, un petit garçon au teint pâle et aux cheveux aussi noirs que l'ébène faisait une nouvelle fois de plus les comptes des produits qu'ils avaient, tenant dans sa petite main un parchemin et, dans l'autre, une plume. Il faisait le tour du chariot, notant ce qu'il y avait marqué sur les différents contenaires que ses parents avaient fait entreposés sur le véhicule.

Quand il arriva soudainement à noter le nom d'une caisse portant l'inscription "peaux tannées", un bruit sourd provenant de l'intérieur le surprit. Par curiosité, il examina de plus près la caisse et distingua de petits trous. Pourquoi donc quelqu'un aurait-il creusé quelques trous sur une caisse qui n'était rempli que de matières textiles ? A moins que...
L'enfant alla rapidement vers son père qui conduisait les chevaux. Il lui expliqua que quelque chose ou quelqu'un pouvait être présent dans une des caisses de stockage de leur chariot. Aussitôt, son père laissa les rennes à sa femme assise à côté de lui et se laissa guider par son fils, prenant soin d'enjamber avec précaution sa précieuse marchandise.
Du doigt, le jeune garçon montra alors la caisse en question. Avec un soupir, le commerçant se baissa et regarda par les différents trous. Il ne vit rien à cause de l'obscurité : les chariots étaient couverts par une sorte de toile pour ne pas laisser les rayons brûlantes du Soleil. Il prit alors un pied de biche, ordonna à son fils de reculer et ouvrit le contenaire.

Un jeune homme aux cheveux blonds, vêtu de cuir et de tissu, portant une grande cape jaune comme le sable du désert à midi, roula soudain sur le plancher du chariot en sortant de sa cachette, entrainant avec lui les carrés de fourrure et d'autres peaux traitées d'animal. Toussant et s'appuyant sur un genou, le passager clandestin se releva avec douleur : l'espace qui manquait dans la caisse l'avait obligé à adopter une position des moins inconfortable malgré que les peaux étaient confortablement moelleuses. Enfin debout, il s'étira : visiblement, il venait de se réveiller. Pour conclure, il baîlla, les bras en l'air puis il regarda le sol et ramassa ce qui semblait être une épée rangée dans son fourreau qu'il raccrocha derrière son dos tandis qu'il semblait vérifier s'il avait tous ses effets sur lui.


Hey bien ! C'était pas aussi confortable que je le croyais. Pourtant j'ai bien choisi une bonne caisse... Aïe...

Furieux, le commerçant, qui pouvait avoir un peu moins l'âge de son père, l'avait tiré par l'oreille. Sa moustache de morse, frétillant en même temps que ses yeux qui s'étaient écarquillés d'un air de folie, donna un sentiment de pitié et de dégoût au blondinet qui fit la grimace (sous la douleur et sous la vue de cette moustache).

Qui ?!... Qui ?!! Qui êtes-vous ?!! Que faîtes-vous dans MA caravane ?!!

Oula ! Du calme, du calme !! Aïe Aïe ! Tirez pas si fort !

Nous n'acceptons... PAS... Les... Clandestins !

Mais je ne suis pas un clandestin ! Je suis un passager !

L'inconnu avait beau protester et prétendre qu'il faisait parti du voyage, le marchand avertit les gardes qui arrivèrent, arrachèrent le jeune homme hors du chariot et le jetèrent derrière eux, sur la route caillouteuse, dans la poussière, avant de reprendre la route avec la caravane qui s'éloigna rapidement, les bruits des roues s'effaçant au fur et à mesure que le convois pénétrait un petit bois non loin de là.

*Ouch... On m'a sorti deux fois aujourd'hui... Une fois de la caisse, une fois du chariot... Parfait !

Epoussetant ses vêtements, notre protagoniste, qui ne devait avoir qu'environ la vingtaine, jeta un oeil aux arbres qui lui faisaient face. Apparemment, il allait s'engager dans le bois de Moniek. Quoi qu'il en soit, il lui fallait atteindre Dénaros. Dommage que son plan ait été gaché par cet évènement; lui qui voulait faire route tranquillement.

Il parcourait à présent la route qui traversait cette ancienne végétation. La capitale ne sera plus qu'à quelques centaines de mètres dès qu'il sera de l'autre côté de ce bois. Déjà, la nuit commença à tomber et l'obscurité augmenta d'intensité quand il passa sous les arbres qui cachaient encore plus la lumière de l'astre flamboyant venant de l'horizon lointain, derrière, à l'ouest.


Au bout de trente minutes de marche, une lumière attira son attention. Il se déplaça rapidement mais furtivement jusqu'à un arbre et se cacha derrière avant de se pencher sur le côté pour examiner les environs. Assuré, il s'approcha un peu plus et ses pieds heurtèrent quelque chose et il faillit tomber à terre. D'un réflexe, il se dégagea sur le côté et regarda ce qui a bien failli le faire trébucher et aperçut le cadavre d'un des hommes en armure qui faisait parti du convois. Il se baissa et trouva des blessures par flèches. Flèches qui ont sans doute été retirées de son corps avec force. Il y avait, dans ce bois, des personnes qui guettaient des convois de marchandise et qui les prenaient par surprise en surgissant de nulle part. Mieux valait être prudent.

Ces pensées furent confirmées quand il trouva le corps d'un... homme qui ne paraissait pas être du tout un soldat de sécurité. Il portait des vêtements en cuir, miteux, et n'était pas très attirant. Sans doute était-ce un bandit ?
A peine eut-il cette conclusion que, lorsqu'il se releva, il eut droit à un spectacle des moins banal. Il y avait là un petit no man's land. Des soldats en armure par ici, des corps de brigands par là, du sang partout. La caravane avait sans doute été pise en embuscade mais les traces des roues sur la route de terre montraient bien que le convois avait réussi à passer au prix de la vie de plusieurs de ses gardes.

La faible lumière qu'il avait aperçue tout à l'heure grossisait à mesure qu'il s'approchait de l'endroit en question. Quand il arriva enfin, il distingua un feu de camp et un campement désert. Où étaient donc passés les campeurs ? Il les retrouva, après une fouille minutieuse, cachés dans des buissons. Il s'agissait de bandits. Tués par qui ? En resortant du campement, il sentit des empreintes de fer à cheval sur le sol, qui partaient d'un coin herbeux et qui s'engageaient ensuite sur la route. Ce pouvait-il qu'un cavalier soit passé par ici pour ensuite tous les tuer ? Peu importe, il n'avait plus à s'en faire de toute manière. D'ailleurs, il n'avait rien pu prendre dans le campement : tous les objets utiles avaient déjà été pillés.

Au bout de quelques minutes, le jeune homme aux yeux bleus trouva refuge sur un arbre et préféra passer la nuit ici plutôt que de se fatiguer dans une vie nocturne.

Le lendemain, il se leva de bonne heure, trouva sur sa route une rivière pour se laver et tenta ensuite de couper à travers champ (ou plutôt à travers bois) pour raccourcir son parcours. Quand il arriva ensuite sur une corniche qui donnait vue à une sorte de mini-falaise qui devait faire six ou sept mètres de hauteur, des sons de cheval au galop se firent entendre.

A peine s'est-il retourné pour voir ce qui se passait qu'il aperçut un cavalier sur sa monture aller droit sur le cul-de-sac. Derrière lui, un ours affamé le poursuivait, sans doute pour le manger.

Sans attendre, notre personnage projeta quelques shurikens qui se plantèrent juste en face de l'ours qui s'arrêta puis il laissa tomber deux couteaux sur l'archer (en effet, il portait un arc et un carquois à flèches).


*Voyons voir si tu peux t'en sortir avec ça...*


Dernière édition par Dante Kyoshai le Dim 2 Aoû 2009 - 13:44, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Une flèche, un mort.   Une flèche, un mort. Icon_minitimeDim 2 Aoû 2009 - 1:32

[HRP: bon vu qu'il ma dit de le poster je le poste xD pas venir me frappe! ]

Ashitaka était coincer, le seul chemin pour sortir était bloquer par un ours, il commençait à perdre son sang froid quand une pluie de shurikens alla se planter en face de l'ours qui stoppa sa course, Ashitaka regarda d'où pouvait provenir ces projectiles, mais il n'eut pas le temps car l'ours reprenait déjà sa course. Ashitaka tira sa lame et se jeta à terre pour se mettre entre l'ours et son cheval qui recula pour ne pas déranger son maitre. L'ours s'arrêta une nouvelle fois, il se trouver a 5 mètres d'Ashitaka, il le regarda un moment et fonça sur lui, mais Ashitaka était près il sauta sur le coter pour éviter la charge de l'animal, puis il se mit en garde, le combat au corps à corps n'était pas son fort et il devait faire attention. Après plusieurs minutes sans bouger l'ours se remit à l'attaque, il voulu donner un coup de griffe qui lui aurai arraché le bras d'Ashitaka, mais il réussit à amortir le choc avec le plat de sa lame, se qui lui permit de gardait son bras, mais il fit fut propulser sur le coter et termina la tête la premier au sol avec plusieurs petite coupure.

Ashitaka se leva précipitamment pour se remettre en garde, mais déjà l'ours était sur lui, l'écrasant de sa masse, il se retrouva vite en difficulté, entre morsures de l'animal et le fait de tout faire pour ne pas mourir étouffer Ashitaka devait trouver une solution! Sa lame était coincer sous l'une des pattes de l'ours, il regarda autour de lui et vit l'un des shurikens, il tendit la main pour saisir l'une d'elle et la planta dans le corps de l'animal qui poussa un crie de douleur avant de s'écarter. Ashitaka en profita pour se relever avec difficulté et reprendre son arme, il avait du mal à reprendre son souffle, mais au moins il n'était plus sur le point de se faire dévorait, pour le moment. L'ours poussa un gémissement essayant d'enlever l'arme planté dans ces cotes, il réussit, la blessure était superficielle, mais l'animal était encore plus en colère contre l'homme.

Ashitaka devait fuir et vite! Il n'était pas de taille contre l'ours, l'animal se trouver entre lui et sa monture, il devait réussir à arrivait jusque la et partir au plus vite, il réfléchit un moment, si il foncer tête baisser il était sur de revoir ces ancêtres plus vite que prévu. Il se dit qu'il devait au moins distraire l'ours pour courir vers son cheval, il décida le tout pour le tout, il prit son arme a deux mains et courut vers l'animal qui se mit lui aussi a charger. Ils étaient a 2 mètres quand Ashitaka changea sa trajectoire, tournant a tout vitesse sur la gauche, en évitant de justesse un coup de patte, l'ours essaya de stopper sa cours, mais sa vitesse et sa massage le vire déraper, se qui donna juste le temps a Ashitaka d'arrivait a son cheval, de jeter ces provisions vers l'animal et de partir au gallo! L'ours ne le poursuivit pas, il avait maintenant de quoi manger, Ashitaka continua pendant plusieurs minutes avant de s'arrêter pour être sur que l'ours ne le poursuivait plus, une fois rassurait il s'installa sous un arbre pour se remettre de ces émotions, assis en tailleur il regardait le foret.
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MessageSujet: Re: Une flèche, un mort.   Une flèche, un mort. Icon_minitimeLun 3 Aoû 2009 - 0:29

Le jeune homme aux cheveux blonds chercha un moyen de descendre mais il comprit qu'il lui faudrait du temps et que si jamais le cavalier se faisait attaquer, il ne pouvait que se faire blesser mortellement et mourir de ses blessures, qu'il soit mangé ou non après par l'ours. En tout cas, au bout d'une minute, il s'avérait que l'archer était plutôt chanceux bien qu'il laissa tomber ses provisions pour se débarrasser du plantigrade. Ayant enfin de quoi remplir sa panse, l'animal laissa tomber sa proie mouvante et fouilla les affaires du cavalier. Un bruit de chute se fit alors entendre et notre personnage à la cape de voyage fit une roulade pour moins subir la pesanteur. Il ramassa avec hâte les projectiles qu'il pouvait reprendre, sans quitter la bête des yeux puis il la contourna soigneusement, doucement, par derrière. L'ours ne sembla pas le prendre pour une menace trop importante ou pour un fardeau encombrant, si bien qu'il put s'en aller sans être poursuivi.

Il tenta de retrouver l'Alsarianien. Il suivit les empreintes de fer à cheval qui allait loin.. très loin. De toute manière, elles allaient dans la bonne direction, vers l'est.
Le Mercenaire continua sa route jusqu'à ce qu'il recroise l'homme de tout à l'heure, son cheval non loin de lui. Il était assis en tailleur, adossé à un arbre adjacent à la route. Esquissant un léger sourire, il s'approcha du cavalier. Celui-ci était plus petit que lui. A l'ombre, ses cheveux étaient noirs. Il portait une cape en paille et, en dessous, un kimono bleu avec un pantalon blanc ainsi que des chaussures en tissu solide. Comme couvre-chef, il avait une sorte de cagoule orange ou rouge. Pour finir, il avait l'air aussi jeune que le nouveau venu. Ce dernier lui fit un signe de tête, comme pour dire bonjour, et s'installa lourdement à côté de l'archer, en poussant un soupir de soulagement. Il resta silencieux cinq ou six secondes.


Hey bien, je peux dire que vous avez de la chance avec les ours...

Il avait parlé comme si cela était une vérité. Autour d'eux, le silence régnait à travers le bois de Moniek, et rien ne pouvait les menacer ici. La faune et la flore étaient certes bien composées mais l'apparition de l'Homme et ses actions sur cette végétation avait appris aux créatures de la forêt de se méfier de cette race ambitieuse et dotée d'intelligence.

Vous me devez un shuriken... Vous l'avez laissé accroché sur l'ours.

Il lui parlait comme s'ils se connaissaient depuis longtemps. Il n'en voulait guère à ce jeune homme d'avoir perdu un malheureux shuriken. Son ton était plutôt détendu, amusé. Après tout, s'il n'avait pas ralenti l'ours, peut-être qu'il serait mort non ?.. Ou bien s'en serait-il sorti tout de même.

Enfin bref, cette discussion risquait d'être intéressante...
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MessageSujet: Re: Une flèche, un mort.   Une flèche, un mort. Icon_minitimeLun 3 Aoû 2009 - 10:32

Ashitaka écoutait le bruit du vent dans les arbres, laissant son esprit vagabonder dans se calme, il s'était remit de ces émotions, quand un bruit le ramena à la réalité. Ashitaka vit un homme s'approcher de lui, il devait avoir le même age qu'Ashitaka, des yeux vert, des cheveux blond, il avait sur lui une grande cape de voyage orange, mais se qui marqua Ashitaka s'était le nombre de lames qui étaient accrocher sur l'inconnu. Part méfiance Ashitaka avait poser sa mains sur la poignée de son arme avec ces temps il valait mieux être prudent, mais il la relâcha vite en voyant que l'homme ne voulait pas se battre au contraire! Il le salua et s'installa à coter, se qui surprit Ashitaka, l'homme lui dit alors après avoir pousser un soupir.

Hey bien, je peux dire que vous avez de la chance avec les ours...

Ashitaka ne répondit pas car il était étonner par la phrase de l'inconnu. Il se disait que c'était peut-être lui qui l'avait aider, il aller lui poser la question quand l'homme lui dit.

Vous me devez un shuriken... Vous l'avez laissé accroché sur l'ours.


Ashitaka se retourna et lui dit.

-Je m'en excuse, je vous dédommagerait.

Il enleva son masque et dit.

-Je m'appelle Ashitaka Kyuushi, je vous remercie de m'avoir aider et je suis heureux de vous connaitre....mais quel est votre nom?

Il trouver que le jeune homme n'était pas un ennemis sinon il l'aurai déjà attaquer, il pouvait donc lui demandait son nom.
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MessageSujet: Re: Une flèche, un mort.   Une flèche, un mort. Icon_minitimeLun 3 Aoû 2009 - 13:48

Le jeune homme aux cheveux blonds se retint d'exprimer un rire. A la suite des paroles de son interlocuteur, il lui répondit d'une voix qui se voulait amicale.

Allons, ce n'était qu'un pauvre shuriken voyons. Je m'appelle Dante. Enchanté.

Ainsi donc, cet homme à la cagoule rouge s'appelait Ashitaka Kyuushi ? Ce n'était pas vrament un de ces prénoms courants qu'il entendait tous les jours. Quoi qu'il en soit, voyant le silence qui régnait ensuite, il demanda aussitôt où cet inconnu répondant du prénom d'Ashitaka allait se rendre prochainement.

Sinon, où comptez-vous vous rendre là, tout de suite ? Moi, je me rends à Alsaria.

Il valait mieux qu'il donne déjà sa propre information à son destinataire.

Quand son regard se porta sur la route en direction de Dénaros, il vit des traces parallèles. C'étaient des empreintes de fer à cheval et de roues. Apparemment, le convois de marchandises était passé par ici. Il était donc sur la bonne route. Ses yeux se tournèrent ensuite vers le cheval d'Ashitaka et il se dit intérieurement qu'une monture était plutôt utile. Il songea qu'il y repenserait un peu plus tard à l'idée de s'en procurer un.

Il repensa ensuite à ce qu'il allait faire à Alsaria. Peut-être allait-il faire un petit tour là-bas, en reconnaissance, pour récolter quelques informations sur la situation des civils et aussi sur la situation politique et militaire. Au moins, il espèrait ne pas faire chou blanc et s'égara dans ses pensées. Après tout, ce n'était pas ce que les Dominants attendaient de lui ? Mieux valait plus d'informations que pas assez.
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MessageSujet: Re: Une flèche, un mort.   Une flèche, un mort. Icon_minitimeLun 3 Aoû 2009 - 22:12

Ashitaka écouta la réponse, alors son sauveur s'appeler Dante, il essayerait de son souvenir, il s'étira les bras en poussant un soupir de soulagement, cela faisait plusieurs jours qu'il n'avait pas dormit dans un vrai lit et les économies des bandits qu'il a tuer hier lui serai très utile. Quand Dante lui demanda ou il avait l'intention d'aller, Ashitaka regarda un moment la route, la lisière de la forets n'était pas très loin, il devrait en sortir en fin de journée, si il galopait tout la journée. Il remarqua des traces de chariots surement un convois, le bois était très humaniser finalement, plus qu'il n'y parait. Dante se rendait à Alsaria...Ashitaka lui n'avait pas vraiment d'endroit ou aller, il visiter les terres et royaume pour le plaisir, mais l'idée de dormir dans une auberge se soir lui plaisait assez bien. Il lui dit

-Pour l'instant je n'est rien de prévu, je suis un simple chasseur, mais je doit dire que j'aimerais bien dormir dans un vrai lit se soir, pensez-vous qu'il y a une auberge après se bois? Je meurs d'envie de m'allonger sur autre chose que la terre et des cailloux et manger autre chose que de la viande sécher.

Il se rappela soudain qu'il n'avait plus de provision et qu'il devait racheter de quoi tenir une semaine de voyage. Il se dit qu'il pourrait payer un verre à son sauveur pour payer sa dette, il lui dit avec un sourire.


-Cela vous plairez d'aller avec moi à l'auberge la plus proche pour me faire pardonner le dérangement.

Il lui sourit et se leva, il remarqua que son inviter n'avait pas de monture, intriguer il lui dit qu'il pouvait monter avec lui, mais que a l'auberge leurs chemins devrons se séparait.
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MessageSujet: Re: Une flèche, un mort.   Une flèche, un mort. Icon_minitimeMar 4 Aoû 2009 - 12:09

Le bois de Moniek était finalement un lieu calme et paisible pour les Hommes malgré que des brigands pouvaient s'y réfugier. La belle végétation scintillait sous les rayons du Soleil et elle semblait refléter une belle lumière. Quelques oiseaux passèrent par ici ou par là tandis qu'un renard traversait le chemin d'un pas rapide sans tourner son regard vers les deux personnages.
S'apercevant qu'il n'avait encore rien mangé de bien consistant, il sentit en lui son estomac vibrer sans émettre un seul son; ce qui serait bien embarassant. Il allait devoir se trouver à manger, chasser le gibier, tout de suite. Cependant, alors qu'il avait cette pensée en tête, Ashitaka lui proposa de venir avec lui à l'auberge la plus proche. Dante lui renvoya son sourire et se leva, hochant la tête, d'un signe affirmatif.

C'est ainsi que les deux jeunes hommes prirent la direction de Dénaros. Dante éprouva une certaine satisfaction de sentir le frottement de l'air sur ses joues et de voir le décor défiler devant ses yeux. Etait-ce cela l'impression de vitesse sur un cheval rapide ? Le voyage allait sans doute être moins ennuyeux que d'habitude et ils allaient bien évidemment arriver plus vite que prévu à la première taverne qu'ils croiseront.

Ils sortirent enfin du bois, passant devant les derniers arbres de ce dernier, et le jeune homme aux cheveux blonds jeta un regard derrière lui, voyant cette forêt rapetisser à vue d'oeil et au fur et à mesure qu'ils s'éloignaient en direction de la capitale alsarianienne. Il se retourna ensuite vers les plaines qui s'offraient à eux et il aperçut au loin les hautes murailles et les hautes tours de Dénaros. Il allait bientôt arriver à destination et il était prêt à accomplir sa "mission" de Mercenaire.

Cependant, il se doutait qu'ils allaient arriver directement. Il y avait là une grande quantité de villages, d'hameaux et de cottages qui bordait la grande capitale. Il y avait donc probablement des auberges dans ces petits villages. Leur voyage n'était donc pas terminé mais Dante éprouvait une bonne envie de se reposer et de manger de la bonne nourriture afin de se remplir la panse et de retrouver ses forces.


[Fin du RP pour Dante]
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MessageSujet: Re: Une flèche, un mort.   Une flèche, un mort. Icon_minitime

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