Un amour Interdit

Ellandy...Un pays bien étrange pour le Chevalier de la Reine d'Alsaria. Suivie par une trentaine d'homme ,Arthas stoppa son cheval au haut d'une colline, l'on pouvait voir un magnifique paysage d'hiver, les alentour recouvertes de neige. L'homme admira le panorama qui s'offrait à lui, il se souvient de sa décision. Après la nuit qu'il avait passer avec Violette, Arthas n'avait cessait d'être tourmenter par sa vision, il se rappelait la douceur de sa peau, son parfum, le son de sa voix, Il ne dormait presque plus. Le Chevalier avait alors ordonner un matin de chercher toutes les information sur le Duché de la Violette et surtout l'emplacement de ce dernier. Il dût attendre deux semaines avant que ses serviteurs ne revienne pour lui dire tout se qu'ils avaient apprit, à sa grande joie ils l'informèrent du lieu ou vivait celle qui avait maintenant la place la plus importante dans son cœur. Mais, comme si le sort s'acharnait sur lui, une lettre de la Reine lui parvint le jour suivant. Dans cette lettre, on lui demandait de participer à l'offensive contre les Dinakiens. Cruelle dilemme pour notre Chevalier qui était partager entre son amour et son devoir, après avoir réfléchit et peser le pour et le contre. Arthas trancha, il ordonna que le gros de ses hommes part immédiatement au front rejoindre le reste de l'armer, mais qu'il ne serait pas des leurs, prétextant une affaire urgente en Ellandy, le Chevalier informa la Reine qu'il ne pourrait pas participer au première bataille.

Arthas prit donc le chemin du Duché, abandonnant ses hommes sur le front, cela peut parraitre égoïste, mais il était près à tout pour la revoir une dernière fois. Son voyage avait durée plusieurs mois, mais cela n'avait pas d'importance pour lui .Le convois continua son chemin, traversant le village, laissant derrière eux, des traces dans la neige sans défaut. Une fois arrivait au Châteaux, Arthas se présenta et attendit quand le laisse entré. Un nuage sortant régulièrement devant son visage. Rythme par sa respiration.

La Dame d'Ephélias avait regagné ses terres il y a peu, après une longue et éprouvante chevauchée au Royaume de la Reine Alina. La compagnie d'Uriel d'Apremont et de ses comparses avait été tout à fait chaleureuse, hélas, elle n'obtient pas l'aide escompté.

A son retour en Yarkol, Merkus était toujours au front et elle n'avait pas la moindre idée de sa victoire ou non. L'hiver qui était fort rigoureux cette année empêchait la circulation normale des informations. L'accueil par les siens fut plus qu'encourageant, elle restait confiante sur la direction prochaine de ses affaires marchandes et de son fief. Une femme n'était pas très bien vue dans l'univers machiste des hommes, des seigneurs et maîtres. Etant la seule descendante encore vivante et détenant le précieux parchemin lui rendant son bien, cacheté et signé par la main même du Duc de la Violette, elle prenait donc les rennes d'un nouvel avenir.

Les premiers jours en tant que Dame et donneur d'ordres furent assez houleux, elle manquait de tactique, de fermeté et de connaissances en matière politique. Fort heureusement, son conseiller la guidait dans ses moindres démarches, Violette fit donc ses premiers pas dans sa haute fonction. A cela s'ajoutait une petite remise à niveau sur l'armement et sur les troupes de quelques soldats dont elle disposait pour la sécurité de la forteresse d'Hachton. Puis se fut au tour des cours sur l'agriculture et l'élevage, la forge, la tenue de l'auberge, de la géographie aussi. Il fallait se faire connaitre et reconnaitre comme maîtresse des lieux par ses voisins, Merkus étant absent, elle devrait se faire valoir par ses propres moyens. Quelques réceptions, des ententes, des alliés mais aussi des gens qu'elle préféra mettre dans la catégorie de peu fréquentable ou à éviter totalement.

Dame Ephelias prenait donc ses aises en son domaine, comme une femme de grande beauté à la poigne de fer masculine. La jeunesse était encore présente mais point d'amour dans sa vie pour le moment, à par un souvenir d'adolescente, alors qu'il ne voyait plus en elle l'amour passé et si partagé. Pas qu'elle n'avait pas eu d'amourettes, elle avait retrouvé sa liberté depuis plusieurs mois grâce à l'aide d'un preux chevalier, Arthas de Menethil. Étrange et brève histoire qui eut toutefois son lot de battements de paupières, de caresses et d'affections.

Quelle ne fut pas alors sa surprise quand on lui annonça la venue d'un chevalier étranger, toute bannière au vent, un alsarien à ne pas douter à sa vêture et sa prestance. Violette par chance était dans la basse cour, entrain de manier le fer d'une épée pour en juger de sa solidité. En tant que Dame et unique maîtresse des lieux, elle se voyait confier la forge de l'armement pour équiper ses vaillants soldats. Ainsi donc, elle ne mit que peu de temps avant d'annoncer ses ordres de laisser entrer le chevalier et son escorte dans l'enceinte d'Hachton. Un peu perplexe, se pouvait-il qu'il s'agisse d'Arthas? Que ferait-il ici? Etait-ce pour elle qu'il avait parcouru tout ce chemin? Ou pour se trouver un abri avant de rejoindre les troupes en amont, se heurtant encore et toujours au géant Dinakien.

Elle resta en arrière alors que la herse se relevait et que les massives portes de bois s'ouvraient pour laisser entrer.....elle joint ses deux paumes sur sa bouche

"Arthas"souffla t-elle avant de sortir de sa léthargie apparente de stupéfaction pour rejoindre sa monture, telle une épouse au retour de son aimé.
Elle leva les yeux sur la silhouette encore en selle, attrapant la bride de son étalon pour stopper la bête.

"Que faites-vous en mes terres seigneur de Menethil?" demanda t-elle avec courtoisie "Allez-vous rester quelques temps ou n'êtes-vous que de passage?"

Il valait mieux savoir avant de faire préparer d'éventuelles chambres et victuailles de bienvenue pour reposer le maître et sa suite du voyage qui devait sans doute avoir été très long à l'état de crasse et de poussière qui trônaient sur les armures de métal et de cuir des pauvres hommes aux fesses tannées de journées à cheval.

Elle sourit heureuse, ses prunelles d'un vert de jade se rivant dans ceux du chevalier, cela faisait longtemps, il avait conserver cette stature et ce même visage, beau et viril.

Enveloppait dans un épais manteau de fourrure, le Chevalier attendait patiemment que les portes s'ouvre, son escorte admirant le paysage ou bien parlant entre eux. Arthas était un peu tendu, il ne l'avait pas revu depuis plusieurs mois et maintenant qu'elle avait retrouvait ces droits, il était très heureux pour elle, pourtant un doute s'installa dans son cœur. Et si la femme l'avait oublier? Et si elle avait trouver un autre? L'aimait elle encore? Et lui? Son amour était-il réelle? Toutes ces questions tira au Chevalier quelque sueur froide, une soudaine envi de partir lui pris, il aurait voulu se trouvait ailleurs. Arthas chassa ses idées noirs, il devait plutôt se réjouir de la voir, de la toucher, de ne plus être hanter par elle la nuit.

Après un moment d'attente, qui semblait durée une éternité pour le Chevalier, les portes finir par s'ouvrir. Arthas attendit qu'elles soient complétement ouverte pour entrée, suivit de ses hommes. Le premier réflexe du Chevalier fût de lever les yeux vers le batiment, une impressionnante structure se trouvait devant lui, alors qu'il était entrain de détaillait la complexité du château, un bruits de course ramena son regard vers la cours. Son cœur accéléra en voyant Violette arrivait vers lui, elle stoppa son cheval et porta son regard vers lui.

"Que faites-vous en mes terres seigneur de Menethil?Allez-vous rester quelques temps ou n'êtes-vous que de passage?"

Arthas prit le temps de descendre de son cheval avant de dire une fois proche d'elle.

-Je pense rester un moment en votre compagnie, madame. J'espère que notre présence ne vous dérange pas.

Il aurait voulu la prendre dans ses bras, sentir son odeur, sa peau contre lui, mais il se contint, à grande peine. Il n'avait pas envi de la déranger et encore moins que des yeux indiscret les vois. Le sourire que lui offrit la jeune femme le fit fondre, il prit discrètement sa main et lui dit à voix basse.

-Vous m'avez manquer, je devenait fou sans votre présence.

Il s'écarta ensuite et lui fît une révérence, les hommes commençant à leurs tours à descendre de leurs montures. Attendent une réponse de la par de la Maitresse des lieux.

(rectification, elle est à pieds)

Violette était surprise mais heureuse également d'avoir un peu de compagnie masculine, après tout un homme de son envergure était appréciable pour son savoir et ses connaissances. Riche pioche, il pourrait sans doute lui être d'une grande aide dans son apprentissage de maîtresse de fief.

Ainsi donc, le seigneur de Ménéthil comptait rester quelques jours au domaine d'Hachton, elle réfléchit une petite minute. La bâtisse principale était encore en cours de restauration, les dégâts encourus lors de la grande bataille Dinakienne, il y a de cela plusieurs années, étaient bien visibles, pouvait-elle accueillir autant d'hommes? Penchant légèrement la tête sur le coté, elle nota qu'il y avait un peu près une cinquantaine de soldats.

"Pfiou, vous êtes nombreux, c'est que mon château est un peu en mauvais état, je ne pourrai tous vous accueillir sous ce toit. Par contre, au village de Heims, la moitié de votre suite trouvera le logis et le couvert, mon seigneur"

Un peu gênée, elle se tourna légèrement et bien plus encore quand il ajouta ses derniers mots, elle en rougit. Préférant couper court à une mise à jour de sentiments, peut être trop prématurés, elle décida de remonter vers le donjon.

"Veuillez me suivre, je vais demander à ce qu'on vous prépare une chambre et des quartiers pour vos soldats"

La Dame le laissa s'installer tranquillement, alors qu'elle s'affairait à faire préparer un dîner au moins digne du rang de son invité. Plusieurs pièces de l'imposante demeure cosy étaient encore en chantier et de ce fait impraticable pour y festoyer. Ils devraient manger dans la cuisine, heureusement que celle-ci était vaste et chaleureuse.
Violette avait eu de grands projets pour la salle à manger justement et faisait venir des tapis d'Alsaria pour décorer les murs de la grande pièce dont la charpente se faisait doucement.

L'hiver n'était pas vraiment une bonne période pour engager des travaux, mais l'incendie qui avait suivi le massacre, avait été fatal pour les boiseries et même si Merkus avait veillé sur la sécurité du domaine, il n'avait pas débuté de travaux, pourquoi faire après tout?
Elle n'était plus, il n'y avait donc aucune raison, Hachton était tombée et avec la cité fortifiée, ses rêves d'une vie à deux.

Violette se perdit en contemplation devant son miroir alors qu'elle se préparait pour le festin...façon de dire, il n'y avait que du gibier chassé dans la matinée et un ragout, l'or lui manquant pour le moment, attendant les récoltes des semis sur ses terres pour faire fructifier son nom et ses recettes. Il fallait que l'investissement de la reconstruction du domaine soit amortie et elle ne voulait abuser de la position d'aucun homme pour renflouer ses caisses.

Qu'allait-elle faire d'Arthas? Pouvait-elle se permettre de l'aimer? Lui était libre de ses sentiments, et elle avait le souvenir de ne pas lui avoir caché le fait qu'elle était la promise du Duc de la Violette. Etait-ce toujours d'actualité? Beaucoup de questions sans grandes réponses, elle se retrouvait acculée, entre un désir de bonheur, qu'elle méritait bien et son devoir.
Que pouvait-elle, si son amant avait été si froid envers elle lors de leur dernière rencontre et s'il avait préféré guerroyer pour ses terres plus que pour sa future épouse? Il avait ses raisons, mais être rejetée de la sorte, faisait mal. Alors que le chevalier était si dévoué, si tendre, il lui offrirait sans doute une belle vie et de beaux enfants.

Il n'y avait rien de plus à ajouter, elle se trouvait à un tournant de sa vie et dans la balance, Arthas avait plus de poids, il lui avait rendu sa liberté contre Ilan et l'avait suivi au delà des montagnes pour la retrouver, Merkus resterait un souvenir qu'elle chérirait toute sa vie. Elle descendit donc consciente de ce choix, vers la cuisine pour rejoindre son invité et profiter pleinement de sa présence. Un peu honteuse de ce qu'elle lui présentait comme maigre pitance, elle l'emmena ensuite au calme et dans l'intimité de la bibliothèque. Léo Ephelias était un grand littéraire et Dieu sait par quel miracle, elle fut épargnée des flammes pour commencer et des pillages. Un feu crépitant dans l'âtre renvoyait une lumière tamisée, douce aux prunelles et une chaleur capitonnée.

"Je crois que vous aimez lire mon seigneur" engagea t-elle tout en s'arrêtant au milieu des rayonnages, glissant ses doigts sur les reliures.

Elle était très jolie, envoutante même, était-ce une coïncidence?

Arthas et ses hommes attendirent un moment, la réponse de la Maitresse des lieux. Elle fini par pencher la tête sur le côté pour comptait le nombre d'homme qu'elle devrait héberger. Arthas eu un petit rire nerveux en l'entendant, c'est vrai qu'ils étaient nombre, même si la plupart des hommes étaient partir au front, ces qui étaient rester avec lui fessait partit de sa garde rapprocher pour la plupart, les autres étaient venu plus pour échapper un moment à la guerre que par réel nécessiter de protéger leur Maitre. Qui était capable de se défendre seul! Violette le fît remarquait qu'elle ne pouvait pas héberger autant de monde et que la moitié devrait trouver refuge dans la ville en contre-bas. Le Chevalier s'inclina devant elle et la remercia de bien vouloir accepter leurs présence en ces lieux. Elle l'invita ensuite à la suivre, il se retourna vers son lieutenant et lui dit.

-Que la moitié des hommes descend en ville et s'installe dans l'auberge la plus proche, dit au gérant qu'Arthas de Menethil le paiera lors de son départ.

L'homme se mit au garde à vous et alla donner ces ordres aux autres soldats. Comme l'avait demandait dame Ephelias, la moitié des hommes reprirent la route pour aller s'installer dans l'auberge de la ville, les autres suivirent les serviteurs vers leurs nouvelles chambres. Arthas venait de prendre possession de sa nouvelle chambre,seul, un lit au fond contre le mur, un bureau à droite,une cheminer sur la gauche et une fenêtre qui donner une magnifique vision du paysage et de la ville. Il s'approcha du lit et entreprit de se dévêtir, enlevant armure et vêtement, notre chère Chevalier décida qu'un bon bain par se temps glacial, lui ferait du bien. Une fois son bain près il s'y installa et poussa un soupir de bonheur en sentant la chaleur de l'eau lui dégourdir les muscles.

Arthas resta une dizaine de minutes à se prélassait dans le bain, profitant des joies simples de la vie. Malgré son air détendu, notre Chevalier était un peu dans la lune en se moment, il était venu ici,défient toute logique, son honneur lui criait de partir tout de suite à la guerre, de rejoindre le front et de combattre pour le pays qu'il avait jurait de défendre. Son cœur lui, lui supplier de rester ici, avec la femme qu'il aimait, d'oublier cette guerre et de rester avec la personne qui était maintenant plus importante que sa propre vie. Notre homme poussa un soupir de lassitude, toutes ces choses le perturbait, et même s'il le cachait, son corps lui ne mentait pas. Il fini par sortir de son bain et se vêtit d'habit un peu plus approprier à la demeure.

Il s'approcha ensuite de la fenêtre et admira le paysage, le château était encore en châtier. Arthas avait entendu l'histoire qui s'était dérouler ici, il ne fût donc pas très surprit par les travaux qui était en cour un peu partout. Notre preux Chevalier aurait bien voulut voir Violette, mais décida qu'il ne devait pas s'imposer de la sorte, elle était maintenant une dame de haut rang, il devait la respecter, elle devait surement avoir beaucoup à faire. Il s'approcha de ses affaires et en sortit son livre de loi de l'Ordre de la lune d'argent, il ne le quittait jamais, il caressa la couverture du bout des doigts, cela devait faire une éternité qu'il ne l'avait pas ouvert. C'est donc avec une pointe de nostalgie qu'il s'assit sur un fauteuil pour s'immergeait dans sa lecture, oubliant ainsi, le temps d'un instant, ses problèmes.

Arthas fût tirait de sa lecture par l'arrivait imprévu d'un serviteur, celui-ci lui dit que le diner était servit et qu'il était inviter à rejoindre la Maitresse des lieux dans la cuisine. Arthas referma son imposant livre et le posa sur le bureau, il suivit ensuite l'homme qui le guida vers la salle ou devait se passer le dîner. Le Chevalier s'installa et attendit que Violette sois là pour commençait à manger, malgré le peu de choix qu'il y avait sur la table, Arthas se régaler, il n'avait pas manger autant depuis son départ de son Fief. Une fois le repars terminer, et ses hommes retournaient dans leur appartements, la Dame amena notre Homme vers une bibliothèque, le Seigneur ne peut retenir sa stupéfaction en voyant le nombre de livres qui était entreposer ici. Une douce chaleur était diffusait par le feu de la cheminer, la lumière donnait à cette salle une atmosphère presque...magique... Arthas était entrain de contemplait l'ange qui se trouvait en face de lui quand celle-ci lui dit, de sa voix cristalline.

"Je crois que vous aimez lire mon seigneur"

Il ne sus quoi dire, son esprit encore troubler par la simple vue de cette femme, cette femme qui avait réussit à lui montré le bonheur et l'amour. Notre Chevalier avala difficilement sa salive et dit en s'approchant un peu de Violette.

-Oui, mais je doit dire que votre bibliothèque contient beaucoup d'ouvrage et je crois que je n'aurai pas la joie de les lires.

Il s'approcha encore un peu de Violette, lui prenant les mains il plongea son regard dans ces yeux d'émeraude, le sentiment qu'il ressentait à se moment était impossible à exprimer avec de simple mots. Il admira les courbe de son visage, de ces lèvres, doucement il approcha son visage de celui de Violette, ses lèvres allons chercher les siennes. Ses mains se posèrent sur son dos et l'attira contre lui. Il stoppa son visage à quelque millimètre de ceux de la dame et murmura.

-Je vous aime...

Puis il l'embrassa.Il avait fait un choix, il espérait de tout son être que ce n'était pas une impasse...

Profitant du baisé, Arthas sentit son cœur s'accélérait au contact du corps de Violette contre lui, laissant ses émotions l'envahir, la guerre et tout le reste étaient soudainement devenu fade et sans grand intérêt. Toutes ces choses qui se bousculait en lui, serait-ce cela l'amour? Plusieurs questions s'installèrent dans sa tête, mais pour l'instant, le Chevalier n'y pensait pas trop. Profitant de cette instant magique avec celle qui avait réussit à le rendre heureux. Respirant son odeur, la douceur de sa peau, ses lèvres. Ils restèrent un moment ainsi puis Violette rompit le baiser, doucement elle lui prit la main. Il se laissa entrainait dans l'âtre. Il y avait quelque divans , de quoi se désaltérait et de la boisson. Le Seigneur s'installa sur un divan et fût surprit lorsque Violette lui déposa un livre entre les mains, il regarda la couverture et put y lire "La poésie de l'amour". Se fût non sans une pointe de surprise qu'il regarda sa dulcinée s'assoir en face de lui, à même le sol. Il était un peu perturbait, il n'avait pas beaucoup d'expérience dans le domaine de la poésie, les rares fois qu'il s'était lancer dans les domaines qui nécessitait de la voix, était lorsqu'il donnait des ordre sur le champ de bataille. Le regarde que portait la demoiselle sur lui, le rendit le sourire et il commença la lecture.

Fessant de son mieux pour que sa lecture sois fluide et correcte, Arthas n'avait pas vu le temps passer, le simple fait d'être avec la femme qu'il aimait le rendait heureux. Il se dit que si l'amour pouvait vous tuer, le Chevalier serait surement déjà mort depuis longtemps. Complétement absorbait par sa lecture, il n'avait pas remarquer que la Dame des lieux c'était rapprocher de lui. Soudains, elle lui prit le livre des mains, ne sachant comment réagir, Arthas resta la sans bougeait. Son visage devin soudainement rouge en voyant Violette se blottir contre lui. Elle lui proposa à boire et il accepta, encore perturber par l'arrivait inattendu de la femme sur ses cuisses. Il bu quelques gorger du breuvage, c'est vrai qu'il avait soif, il avait parler pendant un long moment sans s'arrêter. La jeune femme vint ensuite lui prendre les lèvres, le gout fruité se mélangeant à leurs baisé passionner. Passant ses mains derrière son dos pour mieux la sentir, la serrant contre lui, il la voulait, la désirait, il mourait pour elle.

Arthas ouvrit les yeux, réveillait par les bruits inhabituelle dans le château. Se levant, il remarqua que Violette n'était plus dans le lit, se rappelant se qui s'était passer un peu plus tôt, le Chevalier sourit dans l'obscurité de la chambre, il était tellement heureux qu'il l'aurait crier. Il quitta le lit et s'habilla, une lumière par la fenêtre attira son attention, lorsqu'il s'approcha de celle-ci, il fut surprit en voyant plusieurs soldat d'Ellendy ici. Sortant de la chambre, Arthas ne savait pas si il devait retrouvait Violette ou se mêler d'affaires qui ne le concernerait pas. Il se balada dans le château, ses hommes s'étaient réveiller a cause de toutes l'excitation qui avait envahie le Palai. Ils lui demandèrent si il savait quelque chose, le Chevalier leurs dit qu'il ne savait pas plus qu'eux. La tension avait monté d'un cran, le Seigneur avait l'impression que quelque chose d'important se passer, il décida de se baladait dans les couloirs.


(pas super :/)

Violette était perturbée, que dire à son Seigneur, il n'avait pas eu sa missive, donc il ne savait pas qu'elle s'était rendue en Alsaria pour lui. Il était si froid, si distant, elle ne reconnaissait plus le Merkus de son enfance, ils étaient devenus deux étrangers. Elle prit place tout de même sur un des fauteuils.

- Je suis allée en Alsaria rencontrer le comte d'Apremont pour vous mon seigneur, pour qu'il vous vienne en aide dans cette bataille contre les forces Dinakiennes. Hélas les choses n'ont pas été aussi fructueuses que je l'aurai espéré.

C'était bien vrai, elle préféra passer le sujet pour venir à des évènements plus concrets. L'observant se repaitre en silence. Pour le moment, elle ne pensait pas à Arthas, elle ne vit pas l'heure défiler non plus et l'idée qu'il soit réveillé et déambule dans les couloirs ne lui effleura pas l'esprit. Simplement, elle sentait sa peine grandir dans son cœur, alors que le Duc restait si insensible en sa présence.

- Il existe une guerre à mener...oui, je pense que je ne dois plus attendre sur votre amour dit-elle dépitée et déçue.

* Violette que croyais-tu? Finalement n'est-ce pas mieux ainsi? Ne l'as-tu pas toi même trompé cette nuit avec le seigneur de Menethil?*

Parfois la conscience était dur, la vérité bien encore plus à entendre et à accepter. La Dame se pencha légèrement pour déposer une de ses mains tremblante sur celle de son Maître. Elle voulait être sûr, connaitre ses sentiments, du moins les vestiges, de ceux qu'il pouvait encore ressentir à son égard. Faire une croix sur lui, alors qu'elle avait tant espéré, elle n'y parvenait pas et elle s'en voulait d'avoir ainsi profité d'Arthas.

- Alors, je ne suis plus rien à vos yeux?

Elle avait la gorge serrée, ses prunelles d'un vert éclatant le contempler, un air suppliant, c'était une fin pour le commencement d'une nouvelle histoire?

Dans les couloirs, le majordome croisa le Seigneur invité de la Dame, répondant aux questions de ce dernier qui devait sans doute mourir de faim quant à l'heure tardive, un petit déjeuner aurait été bienvenu.

- Monseigneur, la Dame est en entretien avec notre cher Duc qui s'en revient de guerre, je puis vous conduire dans la cuisine pour vous servir quelques mets délicieux pour vous requinquer. Elle ne sera pas longue.

Il entreprit de l'accompagner pour éviter qu'il ne s'égare, même si la demeure n'était pas aussi vaste que celle du chevalier, les pièces en chantier pouvaient s'avérer dangereuses.

Arthas était installer dans la cuisine, mangeant seul, il avait l'impression d'être dans un château abandonnait. Pas un bruit, il poussa un soupir de lassitude, il n'était pas habituer à un telle silence, l'atmosphère autour de lui était lourde. Depuis l'arrivait du Duc, le chevalier n'arrêtait pas de se triturait la tête, il avait bien essayait de pensait à autre chose, mais son 'intuition de guerrier' lui disait qu'il y avait peut-être un problème sur le front. C'est dans cette esprit qu'il termina son repas, il resta un moment assit, le regard dans le vide.Arthas fini par quittait la salle pour aller se balader un peu dans les couloirs du Château, il salua quelque un de ses hommes qui étaient sur le qui-vive avec l'arrivait des soldats du Duc. le Chevalier se mit à pensait à Violette, elle devait être contente de revoir celle qu'elle aime non? Alors pourquoi avait-il si mal au cœur? Portant sa main sur sa poitrine, plusieurs question restait sans réponse pour l'instant et cela agaçait notre Arthas. Sans vraiment sont rendre compte, le Seigneur Arthas se trouva en face d'une porte et entendit la voix de Violette, il s'approcha et écouta un moment. Il était curieux et s'était un défaut. Il allait partir quand des bruits de pas le surprit, avant même qu'il est le temps de réagir, la porte venait de s'ouvrir.


(Minable je sais :/ )

La Dame n'obtient aucune réponse de celui qui fut un jour lointain son amant, sa destiné, un avenir fructueux et sans fin.
Elle perdait son temps avec cet homme qui n'avait plus rien de celui qu'il était autrefois, son visage était soucieux et fermé, il n'avait que de pensées pour cette guerre et rien d'autre. Il fallait se rendre à l'évidence qu'elle n'était plus rien à ses yeux.

Alors que Violette ouvrit la porte, tirant le battant vers soi, elle tomba nez à nez avec....

- Arthas?!

Stupéfaite de le voir à quelques mètres d'elle, avait-il tout entendu? Elle qui se lamentait dans l'espoir de reconquérir un amour passé. Elle rougit violemment, honteuse d'ainsi se faire valoir par deux hommes. Elle ne valait guère mieux que Merkus, elle jouait sur deux fronts.
Portant sa main à sa bouche, en signe de malaise, la Dame se dandina quelque peu.

- Vous vouliez vous entretenir avec le Duc de la Violette je suppose, finit-elle par déclarer, cédant place nette pour le laisser entrer.

Évidemment, elle ne songeait pas qu'il était peut être venu pour elle, pensant qu'un domestique était allé le prévenir de la venue du Seigneur des lieux. Les yeux toujours bas, observant ses pieds bien plus que le regard de son invité, elle hésita un instant, la porte encore ouverte et la poignée dans sa main moite.

- Dois-je vous laisser pour mieux converser?

Les femmes n'étaient pas vraiment admises en Conseil de guerre, pourtant elle était chez elle, en son fief et il n'y avait pas de mâle pour le représenter, de ce fait, elle était donc chef de la maisonnée. C'est pourquoi, elle posa tout de même la question.

Violette attendit donc la réponse, tout en contemplant celui qui fut et celui qui était à présent son amant de couche, qu'adviendrait-il de l'avenir?

[HRP: Je pensais que Merkus répondrait, le temps étant passé, je l'ai donc fait à sa place...]

Quel ne fut pas la surprise du Chevalier lorsque la porte s'ouvrit pour y découvrir celle qui fessait chaviré son cœur depuis quelque mois maintenant. Notre Seigneur resta un moment pétrifié par cette vision, non seulement il ne s'attendait pas à tombé sur elle mais il avait l'impression de passé pour un mauvais curieux qui venait de se faire prendre sur le fait, se qui était faux...d'un point de vue. Enfin en se moment plusieurs émotions et pensé traversait l'esprit d'Arthas à une vitesse folle, les secondes semblaient duré des années. La dame semblait toute aussi surprise que lui, elle dit son nom et ils restèrent tout les deux immobiles, chaqu'un refusant de bougé de peur de faire une faute. Finalement se fut Violette qui se reprit la première en plaçant sa main sur sa bouche comme si celle-ci venait de dire une insulte ou un mot interdit, essayant de retrouvait un peu de contenance elle lui demanda s'il était venu pour le duc, elle se dégagea pour lui laissé la place. Mais notre Chevalier lui ne savait pas trop quoi faire, il avait l'impression d'être perdu entre son amour et son devoir, s'était comme s'il devait faire un choix entre les deux là tout de suite.

-Oui, je suis venu...pour lui parlé.

Bien sur il aurai préférait être avec sa dame, mais ses devoirs étaient aussi importent, il ne devait pas les négligé. Il murmura cependant à l'intention de Violette.

-Mais j'aurai voulu vous parlez aussi, mais plus tard si cela ne vous dérange pas.

Arthas aurai voulu portait sa main sur le visage de celle-ci comme pour la calmé, mais se retint, il ne voulait pas montré cette preuve d'affection au duc, il sentait que cela aurai surement des conséquence plus tard. Alors qu'il entra, notre seigneur dans un souffle lui annonça ses quelques mots.

-Je t'aime.

Il continua ensuite sa marche vers le Duc. S'installant sur un des fauteuils, notre homme répondit à la question de la dame des lieux.

-Je n'y vois pas d'inconvégniant, mais peut-être que cela vous dérange Duc?

Tournant son regarde vers celui-ci notre Arthas attendit sa réponse, sans rien dire n'y pensé.