Zephrine le clohard...

Citation :

[HRP] veiller me pardonnée d'avance pour mon écriture médiocre (que se soit écris, ou expression)[/HRP]

Nom : aucun (raison orphelin)

Prénom : Zephrine
Âge : 20ans

Origine : Orphelin donc on ne sait pas ou il et né il a été trouver aux pieds des collines boisé d'Iséniandis.

Métier/rang social : apprenti mercenaire / aucun rang social (je ne sais pas si clochard est un rang =p)

Talents/aptitudes/défauts :
Tout jeune, il a été éduqué dans l’art du combat, de toutes les sortes qu’il soit, par un vieillard. Zephrine en connaît tous les secrets. C’est un gaucher, ce qui peut surprendre plus d’un guerrier. Son maître lui a enseigné comment tuer ou neutraliser de manière expéditive quiconque, qu’il soit humain ou animal. Il a essentiellement vécu en forêt, ne se rendant en ville que quelquefois pour payer les dettes de son maître ou vendre leurs récoltes. Il a un « don » assez particulier. Ayant vécu dans la forêt hostile, il a pu y développer une plus grande aptitude à utiliser ses cinq sens. Ils sont légèrement plus développés que la moyenne; il ne s'appelle pas pour autant « The Sentinelle ». Il peut "voir" dans le noir, distingué les formes et ci déplacer.

Ses défaut... il n'a confiance en personne. il ne parle à personne il n'a donc aucun ami et même aucune connaissance. Il est très susceptible, ce qui le met souvent dans des positions qui peut le placer dans des situations délicates.

Équipement et armement :

Équipement: Il porte pour équipement, une cotte de maille assez particulière, fabriquée par son maître. Ça particularité est pour facilité les mouvements, les articulations des bras sont faites de cuir, mais elle est dans un piteux état. Il porte par dessus celle-ci un maillot très abîmé et déchiré d'un peu partout; il a été rafistolé par des ficelles. Il porte au bras gauche une partie d'armure de chevalier qui lui couvre l'intégralité du bras. Il porte au bras droit un bracelet de cuir à double épaisseur qui débute au poignet et fini à l'articulation du coude. Pour finir, il a une longue cape déchirée sur le bas, avec un capuchon. Il porte en dernier lieu un long et fin tissu qui lui sert d'écharpe.

Armement: Il a pour armement Une épée de bois (renferment elle même une véritable épée). Un arc accompagné d'un carquois remplie de flèche. A la cheville une dague très fine. Au poignet dans la doublure de son bracelet des lames de métal servant de couteau de lancer.

Description physique :
Zephrine mesure 1.70m. Il est d'apparence normale ni maigre, ni énorme. Les épaules très larges, les muscles apparents sans pour autant passer dans l'excès. Il a un visage assez marqué pour son âge. Les yeux profonds, bleu foncé. Les arcades proéminentes les sourcils épais. Il a les gris-marron, long et tellement sales qu'ils forment d'épaisses mèches, ils son remplies de feuilles, de poussière et de brindilles. Nous pourrions en y regardant de plus près y voir quelques insectes circuler comme dans les broussailles d'une forêt. il a visage balafrée d'une griffe de loup , et par chance son œil fût épargné.


Caractère :
Zeph est de caractère solitaire. Cela ne signifie pas qu'il est totalement associable. Il et très obéit et serviable. Néanmoins il n'accepte pas d'obéir à tous le monde. Il obéis avec plaisir à son maître et comme il l'a promis à son maître aux Dominants Mercenaires. Il ne parle que très peut juste pour dire des choses utiles. Il ne sourit jamais. Il aime le silence, Il aime la nature et tous ses animaux. Il n'utilise sa main gauche que pour tuer. Et lorsque cela arrive on peut voir dans son regard quelques larmes. Pour lui toute vie est sacrée le bien ou le mal n'ont pas d'importance. Seule la vie compte, et il ne tuera que si cela est nécessaire: pour obéir, pour protégés ou pour se nourrir. Dernier détail, si il doit tuer, il versera quelques larmes une fois la personne tué.

Avant tout chose, je tiens à t'annoncer que je ne pourrais pas valider une fiche aussi mal rédigée. C'est un amas de fautes d'orthographe, de syntaxe, de grammaire. C'est vraiment écrit en phonétique, bilan la quasi-totalité des phrases perdent toutes leur sens.

Relis toi, avec un correcteur orthographique, un Bescherelle, et un bouquin de grammaire, s'il le faut, mais rend moi ça lisible, s'il te plait.

Merci d'avance

je m'en occupe mais comme tu la dis un correcteur d'orthographe ne corrige pas tous et je les déjà passer au correcteur d'orthographe pour se qui et des bouquin et autre j'en et aucun sur le sujet=) je vais essayer de faire le nécessaires mais je garantie rien je tant avait déjà parlée le jour de mon arriver

Si t'as pas de bouquin qui pourraient t'aider directement à corriger ces fautes, j'peux que te conseiller une chose : lire.
Lis des bouquins, des journaux, etc etc. Et aussi, mais je sais pas si tu le fais, faut pas écrire en sms ^^

Chapitre I : Rencontre

Il y a 18ans de cela. Un vieillard remontait les collines boisées d’Iséniandis en direction de sa cahute. A mi-chemin de là, au pied d’un arbre, il vit un panier. De là où il se trouvait, il pouvait entendre des pleurs en émaner. Il n’avait guère envie d’aller voir ce qui pouvait bien se trouver à l’intérieur mais, pris d’un élan de curiosité, le vieillard décida d’y pencher la tête. On pouvait apercevoir à l’intérieur de ce panier une couverture brodée, avec à l’intérieur, un jeune bambin, d’environ un an et demi. Pris d’un sentiment paternel en voyant les yeux du bambin, il le prit dans ses bras et lui hurla dessus, pour qu’il se taise. C’était un vieillard bien étrange… Une fois le bambin calmé, il le posa sur le sol, il se releva et le regarda de haut. Il le montra du doigt, il lui dit « Petit tu va devoir faire un choix ». Il recula de quelques pas, posa de chaque côté de lui quelque chose. Sur sa gauche un poignard, sur sa droite un lièvre mort, une pomme et du pain rassi. Il recula de nouveaux et s'essaya. Il le regarda, le bambin ne bougeait guère, il lui dit « Allez ! Bouge-toi ! J’ai encore de la route. » Le bambin rigolait en regardant ce vieillard, étrange, barbue jusqu’au nombril vêtit de vielle frusques usagées. Le vieil homme s’allongea près d’un arbre et ferma les yeux.

Quelques minutes plus tard, le bambin fît ‘’un petit bruit de bébé’’ le vieillard rouvrit les yeux et le vit avec son poignard dans les mains, il dit alors « Tu a de la chance je n’aurais pas aimé tuer un enfant si jeune. A partir de maintenant tu m’obéiras ! Tu suivras une formation et tu me succéderas chez les mercenaires ! Ou tu mourras…. . Bon et maintenant il te faut un prénom…. Tu t’appelleras Zephrine ! Ce prénom me fait penser à un forgeron qui aiguise la lame d’une épée. » Il plaça le bambin dans un bout de tissu ou il gardait son pain, puis l’attacha à son torse.

18ans plus tard, le jeune bambin autrefois abandonné, était maintenant devenu un jeune homme, fort, aux épaules larges, solides. Comme tous les jours, Zephrine, s’occupait des corvées du vieil homme : nettoyer la maison, entretenir le jardin, s’occuper du champ, s’occuper des animaux, s’entrainer au combat tandis, que l’après-midi était destiné à méditer et chasser.
Ce jour là, un jour à première vu comme les autres, son maître n’était pas rentré. Cela lui arrivait bien souvent, ce vieux pervers aimait passer ses soirées accompagné de jolies femmes et d’une bonne bouteille d’alcool. Pendant que Zephrine, lui, travaillait la terre, le vieillard travaillait du gosier. Il le retrouverait surement au Pub de la ville, comme chaque fois qu'il s'absente. Une fois les taches matinales terminées. Il décida de ne pas s’entrainer. Il partit chercher ce vieillard. Il prit sa cape, son écharpe. Il plaça son poignard dans sa botte gauche.
Il parti à toute allure jusqu'à la ville. Sur le chemin, il passa voir quelques pièges qu’il avait placé la vielle, destinés à un lièvre, ou un quelconque animal, bon à manger. Arrivé au sixième piège, par chance, il vit que quelque chose y était accroché, le file du collet remuant de partout. Il observa, délicatement, depuis un buisson, c’était un lièvre. Il s’approcha, tranquillement, pour l’effrayer le moins possible. Un animal trop nerveux à sa mort le rendait, moins tendre à la dégustation… il l’attrapa avec la main droite. Il le caressa pour le calmer, il marmonna quelques paroles, le tira par les oreilles et lui mit un coup du tranchant de la main gauche dans la nuque. Le lièvre mourut sur le coup. Il l’attacha par les pattes à sa ceinture et reprit sa route. Il ne lui resta plus qu’une petite heure pour atteindre la ville. Il n’était guère fatigué, il avait l’habitude de parcourir la forêt en courant, chaque jour, pour chasser son repas.
Arrivé aux portes de la ville, il vit une carriole, désertée par son cocher, mais apparemment habité par quelques donzelles qui s'écriaient à l’aide. On pouvait, apercevoir un loup qui grognait, au devant des portes de la carriole. Il devait chercher quelque chose pour se nourrir, et une légère odeur de nourriture se dégageait de cette carriole. C’est la seule raison qui pouvait pousser un loup à s’approcher si près de la ville. Zephrine s’approcha, doucement, le bras gauche placé devant son visage pour se protéger. Il s’approcha assez près du loup pour que celui-ci, détourne son attention de la carriole. Il prit avec la main droite, délicatement, le lapin qu’il avait attaché à sa ceinture. Il le jeta en direction du loup. Le loup s’en approcha, doucement, renifla, l’attrapa dans sa gueule et se sauva en courant. Sans s’occuper de la carriole, Zephrine, reprit sa route entrant dans la ville pour aller au pub où son maître avait pour habitude de se rendre. Il entra, se dirigea vers le bar sans poser aucune question, le barman lui dit ‘’à l’étage première chambre’’. Il monta à l’étage, ouvrit la porte, vit son maître mi-nu, une bouteille d’alcool à la main en plein sommeil. Il le rhabilla comme il pouvait, le mit sur ses épaules et sortit. Une fois descendu le barman l’interpela et lui dit ‘’Eh part pas comme ça! Ce vieux pochetron me doit pas mal d’argent ‘’ Zephrine répondit d’un air comme à son habitude méchant ‘’Ne redis, jamais! ça de mon maître! Ou tu le paieras de ta misérable vie! Tu sais qu’il ne paie jamais! Alors pourquoi tu l'as laissé faire ? Tu attends, et je te ramènerais ton argent! ‘’. Le barman pas très téméraire répondit d’un air apeuré ‘’c’est bon, c’est bon, j’attendrais que tu reviennes ’’ une fois sortie du pub deux gros balourds s’approchèrent de lui et dirent en tapant dans leurs mains:
- Eh! Toi! laisse ce vieillard ici! Il nous à cassé une bouteille hier. Il faut qu’il paie !
- Laissez-moi passer. répondit alors Zephrine sur un ton sec.
- Tu crois vraiment que tu va nous empêcher de garder le vieux ?
- Je ne veux pas me battre...
- On ne te demande pas si tu veux ! Nous on le désire c’est suffisant !
Zephrine, voyant qu’il n’avait pas d’autre choix, posa le vieil homme contre le mur du pub. L’un des deux hommes arriva en courant, le poing près à frapper au visage de Zephrine quand d’un coup, Zephrine, s'accroupit, se servant de sa jambe droite pour frapper les pieds de l’homme qui sans attendre s’écroula sur le sol, le visage dans la boue. Le second arriva alors et recommença la même chose, mais il se stoppa de peur de recevoir le même coup aux jambes que son ami. Zephrine se baissa, lui plaça un coup de poing sous la mâchoire. Puis avec son pied il lui cassa le genou gauche. Le premier homme se releva pour se venger quand une femme hurla.
- Assez !
L’homme se stoppa, pendant que son ami hurlait de douleur. Il demanda à la jeune femme « Pour quelle bonne raison devrais-je m’arrêter ? ». La femme jeta une bourse au pied de l’homme et lui dit.
- Partez avec votre ami tant qu'il est encore temps.
- Non! Je vais d’abord le venger. Dit-il en serrant les poings.
- Veux tu qu’il t’arrive le même sort, ou, préfères-tu partir avec une bourse pleine d’or?
L’homme peut téméraire partit avec la bourse d’or laissant son ami sur le sol, pendant qu'il suppliait son aide. Zephrine reprit son maître sur son dos et partit de la ville aussi vite qu’il y était entré, sans jamais regarder la jeune femme. Qui murmurait dans son dos ‘’On est quitte ‘’.