Fregor Veronak

Nom : Veronak

Prénom : Fregor

Surnom : « Main de fer »

Âge : 37 ans

Origine : Dinak

Métier/rang social : Duc de Veronak

Talents/aptitudes/défauts :

Fregor est ce que l’on peut nommer un homme de commandement. Qu’est ce que cela veut-il dire ? Tout simplement que Fregor est un homme au charisme parfait, sachant parfaitement rassembler les hommes autour de lui ? Il donne un ordre, ses hommes s’exécutent immédiatement. Il possède un ton de voix tel qu’il est difficile de lui dire non, mais en plus de cela, Fregor est un guerrier hors-pair. Il sait battu pendant tant d’années qu’il connaît les moindres détails de l’art du combat, et beaucoup de jeunes nobles téméraires ont fait les frais de leur arrogance, rapidement remis à leur place par l’expérience et l’intelligence de Fregor. Très bon stratège, il sait tout aussi bien organiser son armée sur un champ de bataille, prenant compte du terrain, du temps, du morale et de bien d’autres facteurs. Maniant parfaitement l’art de l’éloquence, c’est ce qui fait de lui l’être charismatique que nous connaissons.

Cependant, il se révèle un bien piètre archer doublé d’une très mauvaise endurance. Il sait très bien se battre, et il se bat comme un lion, mais il ne saurai tenir un combat plus de quelques heures, au-delà, il tomberai de fatigue.

Equipement et armement :

Fregor possède une magnifique armure de plate, un objet unique, car c’est un héritage transmis de générations en générations au sein de sa famille. Cette armure a été témoin de nombreux conflits, et elle fut réparer maintes fois, avec à chaque fois de nouveaux ajouts, ce qui en fait une armure de très bonne facture et très perfectionné, car les plaques la formant sont reliées entre elles pars des mini-mailles métalliques doublé d’un cartilage en sève de chêne, ce qui permet une grande aisance de mouvements avec une légèreté parfaite.

Mais Fregor deux autres objets ayant appartenus à sa famille, il possède un écu de fer, et une épée longue. Sur l’écu nous pouvons distinguer une tête de lion, symbole des Veronak, et sur l’épée est inscrite la chose suivante :

« Des cendres des flammes je renais,
Des larmes des morts je tue,
Des âmes des damnés je me nourrirais,
Tel est mon dessin, et de ma main tu périras. »

Mais l’armement de Fregor est réputé pour une chose, oui, pour une chose que les Veronak ont caché précieusement, la confection de leur célèbre métal, constitué d’un alliage régulier de plusieurs métaux doublé de couches de souffre et de sève d’arbre, rendant les armes et armures plus résistantes et plus légères.



Fregor sur son cheval Reneveg et tous son armement de guerre.

Description physique :

Fregor est un homme de grande taille, bien taillé, aux muscles saillants et au teint hâlé. Malgré son âge, Fregor n’en est pas moins un homme charmant, car c’est en vieillissant qu’il devint plus beau. Son visage carré et son regard profond lui donne cet air charismatique qui fait que tous le respectent et lui obéissent. Ses yeux noirs comme la nuit lui donnent un air sévère, strict, vous avez l’impression qu’il vous fusille du regard. Tout est dans son regard. Dans ses yeux, nous voyons à quel point c’est un être de grande intelligence réfléchi. Digne de son rang, Fregor est un homme qui aime les belles choses, et est souvent habillé de beaux vêtements en soie, ou en dentelle. Ses cheveux noirs court lui donnent un air de visionnaire, mais cela lui permet aussi de ne pas avoir de problème au combat.

Très fier, Fregor a toujours cet air supérieur, il marche de manière droite, sûre, la tête haute, qui vous surplombe. Lorsqu’il n’est pas au combat, Fregor aime porter sa belle tunique noir avec sa cape rouge, ses nombreux bijoux étant visibles à ses doigts. Tout en lui fait référence au lion, sa majesté, sa force, son courage, son orgueil, tout est visible dans ses yeux et dans sa démarche. Tout ceci forme son charisme exceptionnel, le buste en avant, le regard perçant, vous ressentez le besoin de vous soumettre à lui, de lui obéir ; mais en même temps, vous avez peur, vous le craignez, car ses yeux vous dévisage, vous avez l’impression qu’il pénètre votre âme. Ce charisme ajouté à la grande beauté de Fregor en font un être séduisant, presque envoûtant, qui sait charme naturellement ce qui l’entoure. D’ailleurs, lors des combats, le style fluide, gracieux et si bestiale de Fregor ont séduit plusieurs adversaires, qui l’admiraient, relâchant leur garde, et étant à la merci de « Main de fer » .

Caractère :

Fregor est un être d’une intelligence remarquable, c’est ce qui est le plus visible chez lui ? Très instruit, il possède une très grande connaissance générale, il peut vous parler de n’importe quel sujet. C’est un homme avec qui parler devient attractif, son grand savoir en fait un homme sage, très réfléchis, qui saura vous conseiller. Très célèbre dans le monde de la cour, c’est un homme qui sait se faire apprécier, son charme naturel suffisait déjà, mais sa sagesse et sa culture accentue encore plus cette attraction. D’ailleurs, il n’est pas rare que d’autres nobles viennent lui demander conseil, mais Fregor est un homme qui ne parle pas à n’importe qui, seulement à ceux qu’il considère digne de lui, ce qui en fait un homme très fier, très orgueilleux.

Très raffiné, Fregor aime les belles choses, que ce soit les bijoux, les armes, les femmes ou les châteaux, du moment que c’est beau et que cela peut rendre jaloux les autres, Fregor le prendra. Vous ne le verrez jamais sans de beaux vêtements, et lors des combats, il aura toujours la plus belle des armures. J’en revins maintenant à ce qui le décrit le mieux, oui, Fregor est un homme très charismatique, et beaucoup le respectent, lui obéissent, car son sens de la déduction, son éloquence parfaite, son intelligence attirent autour de lui de nombreux personnages. Très fier, il se révèle aussi têtu, n’acceptant pas l’erreur, et il en vaut mieux pas lui dire qu’il a tord au risque de se le mettre à dos.

Son éloquence a su charmer de nombreuses personnes au sein de la cour, cependant, Fregor peut aussi se servir de ce dont pour manipuler les autres, et arriver à ses fins, car il est aussi un être très obstiné, très téméraire, qui est prêt à tout pour obtenir ce qu’il veut. Cela le rend dont aussi très strict, très sévère, car il aime l’organisation, la discipline, et quiconque ne respecteraient pas ses lois se verraient tué sur le champ, c’est pourquoi beaucoup l’appellent « Main de fer ». Personne n’osent le contredire, car tous savent qu’ils risquent d’y perdre la vie, néanmoins, cette dureté de la loi a quand même permis de considérablement baissé la criminalité en Veronak.

Histoire :

Chapitre 1 : Le duché de Veronak

Comment commencer son histoire sans parler du duché de Veronak ? Enfin, débutons…

Le duché de Veronak est un grand duché situé pas très loin de la ville d’Egwen. Etant un grand territoire, Veronak comprend une grande population, avec pour capitale Delenak, une ville cosmopolite, avec une grande population. Le duché de Veronak possède de nombreuses mines de fer, ce qui en fait un grand exportateur de cette matière, et permettant ainsi de fournir de bonnes armes à l’armée ducale. En bordure de mer, Le duché possède aussi un grand port, avec beaucoup de ressources en poissons.

Cependant, le duché possède très peu de ressources agricoles, ce qui le contraint à acheter ces produits à ses voisins. Le duché possède peu de villages, vois quasiment pas, car à la place nous trouvons quelques villes, mais de très grandes villes fortifiées. Cette organisation fut ordonnée par Regarl Veronak, afin de mieux contrôler la population, et avec le temps, les polices se développèrent, ce qui donna au duché de Veronak une réputation de duché sans presque aucune criminalité, mais avec un des lois peut-être trop stricte.

Mais jamais personne n’osa remettre en doute l’efficacité de ce système, et Fregor en est le parfait instigateur, car il le développa encore plus. Mais Veronak est réputé pour autres choses, c’est pour ses forces militaires. Possédant de nombreuses mines, le duché parvient aisément à équipé ses hommes, ce qui permit d’agrandir l’armée. S’appuyant sur de nombreuses écoles militaires, le duché accueille parfois des étrangers, mais les techniques peu orthodoxes d’entraînements font souvent des morts. Delenak, la capitale, est une ville d’art, de sciences, tout comme Fregor est un homme de culture. Mais Veronak n’est pas réputé pour ses paysages, car tous se ressemblent, avec leurs forêts, leurs lacs. En sortant des villes, vous en trouverez que quelques auberges par-ci par-là, mais surtout de nombreuses tours de guets, encore en services, vestiges des âges sombres du continent.

Car le duché est très vieux, datant d’un âge où les hommes s’entretuaient sauvagement, ce qui rend les gens de ces terres à al fois si belliqueux et si méfiant envers les étrangers.

Chapitre 2 : Enfance

Un soir d’hiver, toute la famille ducale s’était réunie au chevet de la duchesse Girenne Veronak, qui poussait de terribles hurlements. Elles étaient enceintes, et maintenant, elles venaient d’accoucher. Ce fut un soulagement pour tous, et l’on pouvait distinguer cette petite tête, avec quelques cheveux, et qui poussait de petits cris, il rentrait dans notre monde, il prenait vie, et cet enfant, c’était Fregor, Fregor Veronak. La mère était toute joyeuse de voir son petit, Kirek Veronak, le duc, prit son fils dans ses bras, heureux.

Le couple se jura alors de faire de leur fils un grand homme, digne de ses ancêtres. Ils lui assimilèrent un précepteur, un maître d’armes, des savants pour instruire et éduquer leur fils. A peine âgé de 4 ans, on initia le petit Fregor aux manières de la cour. Dès qu’il put tenir une arme, on lui apprit à les manier. Son précepteur lui apprit à gouverner un royaume, et le petit garçon s’intéressait à tout. Il commençait déjà à jouer aux échecs, et il devenait de plus en plus doué. Avec les échecs, il apprit la stratégie, il apprit les valeurs d’un bon général : Patienter, Analyser, Elaborer, Agir et Surprendre.

Avec son maître d’armes, il apprit le nom des armes, et apprit à s’en servir. Avec les savants, il apprit les sciences, l’art, l’histoire, et auprès de son père, il apprit à aimer, à chérir, à respecter. Mais déjà son charisme grandissait, dans la cour, les autres enfants de nobles le respectaient, il savait s’imposer en tant que chef, et aimait organiser de petites batailles avec ses amis. Tout cela annonçait donc un avenir radieux.

Chapitre 3 : Main de fer

A 17 ans, Fregor prit le pouvoir, et ce, parce que ses parents périrent, emportés par une maladie incurable. Se sachant jeune pour une telle responsabilité, Fregor savait qu’il subirait de nombreuses critiques, et qu’il devrait faire en sorte qu’on le respecte. Cela devint presque une obsession chez lui, se faire respecter. A cette époque, malgré la réforme Regarl qui permettait de mieux contrôler la population, de nombreux bandits pillaient les villes les moins défendues, des raids étaient constamment organisés sur le port, et pour imposer sa puissance et montrer son autorité, Fregor décida de prendre les armes. Ses hommes étaient bien armés, et le charisme de Fregor fit que tous lui obéirent sans problème. Alors, pendant près de trois ans, Fregor fit prisonnier presque tous les bandits du duché. Ses stratégies sagement élaborées eurent raison de ces mécréants. Pour montrer le sort réservé aux hors-la loi, Fregor organisa une grande cérémonie, rassemblant plusieurs milliers de personnes, au cours de laquelle il fit pendre et brûler tous les bandits fait prisonniers.

Depuis ce jour, on dit que plus aucun bandit n’osa fouler ces terres, et que les âmes de ces bandits brûlés souffrent à jamais de leur enfermement dans ce monde, sans jamais trouver de répits. Mais le jeune duc ne s’arrêta pas là, et augmenta les effectifs des forces de l’ordre au sein des villes. Il mit au point un couvre-feu que tous le monde devait respecter, et rendit les sanctions encore plus sévères. Ainsi la population vécu presque dans la peur, et la délinquance baissa à un point considérable, personne n’osait froisser le nouveau duc.

Cependant, Fregor ne voulait pas que la population le déteste ou autre, et mit au point un système d’entraide envers les pauvres, développa le commerce, ce qui développa l’économie. Il fit construire de nombreux thermes pour la population, et ouvrit de nombreuses écoles pour les enfants. Il encouragea la population à aider au développement de la ville, et pour embellir son duché, Fregor fit rénover des quartiers entiers dans les villes. Pour bien se préparer au guerre, souhaitant que sa population vivent dans la sécurité, Fregor fit réparer les anciennes tour de guet, organisa une milice efficace, augmenta les effectifs de l’armée, fortifia les villes, et organisa des groupes d’éclaireurs et de sentinelles pour surveiller le territoire. Il créa une force de sécurité marchande, afin de protéger les convois et encourager d’autres territoires à commerce avec Veronak.

Chapitre 4 : La scission d’Alsaria

Lorsque le roi d’Alsaria mourut, et qu’il élit sa fille pour lui succéder, Azirith, le fils, le prit mal et décida de partir, afin de préparer sa revanche, et de reprendre le pouvoir. Mais avant cela, Fregor était déjà quelqu’un de renommé sur Tosya, dont l’avis était très important et était pris en compte. Au moment de la fuite d’Azirith, Fregor était chez lui, il avait invité d’autres nobles qui souhaitaient commercer avec le grand duché de Veronak. Mais en plain milieu de la cérémonie, un émissaire vint à la rencontre de son duc pour l’informer de la nouvelle. A ces mots, Fregor resta stupéfait, pour deux choses.

La première chose qui l’avait surpris, c’était la mort du roi, qu’il avait servi pendant près de 20 ans, et le voilà désormais mort, laissant tous son royaume derrière lui. Fregor ne lui avait pas rendu visite depuis de nombreuses années, il n’avait donc pas vu la dégradation de la santé du roi. C’était déjà un coup dur pour le royaume, mais il avait deux successeurs potentiels, et c’est là que se posa le problème.

Fregor était né dans une famille où les hommes commandaient. Alors, pour le duc, il était logique que ce fût Azirith qui succède au roi. De plus, Fregor avait déjà eu l’honneur de rencontrer le fils du roi, et l’avait fort bien apprécié, quant à la fille, Fregor ne l’avait aperçu que de loin, et ne lui semblait pas digne d’un tel rang.

Quelques jours plus tard, on le prévint de la disparition d’Azirith, et le duc de Veronak organisa plusieurs régiments pour retrouver ce qui était pour lui le détenteur légitime du trône. En vain… Il ne le trouva point, tout comme d’autres de ses confrères.

Une semaine après, des messagers de la reine vinrent voir Fregor, pour que celui-ci viennent à la cour, pour prêter allégeance à la reine. Et alors déjà plusieurs nobles lui avait juré loyauté, Fregor, à la stupéfaction de tous, fut le premier à renier ce pouvoir, cette reine. Il n’accepta pas, et étant un duc très influent sur Alsaria, cela eut encore plus de répercussion. Dans les villes, beaucoup parlait de çà, ne comprenant pas pourquoi un homme comme Fregor voudrait renier la reine. On lui avait redemandé une dernière fois de se rendre à cette cérémonie, mais agacé, Fregor fit carrément exécuté les deux messagers. Cet acte fut pris comme un acte de trahison en Alsaria.

Mais les habitants de Veronak étaient d’accord avec leur duc, quoiqu’ils n’aient pas vraiment le choix. Craignant une attaque, Fregor prépara ses hommes, fit accélérer la production de fer afin d’équiper une armée qui ne cessait de grandir. L’expérience de Fregor dans l’art de la guerre était connue, et une guerre contre lui serait dure à gagner.

Plusieurs années après, le fils qui devait être sur le trône réapparu, plus fort. A la tête de bandits et de mécréants, Azirith captura plusieurs villages, décima les milices, et rassembla autour de lui d’autres hommes. Chaque jour, il devenait de plus en plus fort, et considérant cet homme comme un homme digne de prendre le pouvoir, Fregor partit à la rencontre d’Azirith, et lui jura allégeance, à LUI. Le duc de Veronak prépara son armée, et de son côté, attaqua les forces restées fidèles à la reine. Avec ses hommes, Fregor parvint à prendre de nouvelles terres au nom d’Azirith. Pour affaiblir encore plus l’adversaire, Fregor fit fermer les routes commerciales avec les territoires sous la coupe de la reine, le précieux métal des Veronak n’était donc plus dans leur camp, mais servait désormais Azirith.

Avec le temps, Fregor, avec l’aide d’Azirith et de ses hommes, et bien sûr d’autres nobles venus aider le véritable roi d’Alsaria, put prendre de nouvelles terres, capturer de nouveaux territoires, et Azirith créa ainsi Dinak, une royauté sous ses ordres, dans laquelle se trouvait le duché de Veronak.

Chapitre 5 : Maintenant :

Désormais, Fregor obéit à Azirith, Main de fer a préparer ses hommes, prêts à faire la guerre à Alsaria, car officiellement, ce n’est qu’un conflit, mais officieusement, c’est une véritable guerre, où Fregor compte bine mettre sur le trône Azirith…

*-_A part ça…_-*

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