Tosya
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 Quand les souvenirs reviennent, où l'appel d'Erkus (CanHunir)

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Merkus de la Violette

Merkus de la Violette


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MessageSujet: Quand les souvenirs reviennent, où l'appel d'Erkus (CanHunir)   Quand les souvenirs reviennent, où l'appel d'Erkus (CanHunir) Icon_minitimeSam 21 Nov 2009 - 15:30

CanHunir, ville de la beauté et de l'art, la puissante comme on la nomme, la grande, la mystérieuse, l'impénétrable. Ses hauts murs de pierre la gardé bien caché et protégé des différents envahisseurs. Jadis la ville avais appartenu au duché de la Violette, mais lorsque Dan entreprit sa conquête, ses terres furent brûlé, pillé, et Ellandys ne réagis pas à cela préférant resté neutre. C'est pour cela, que le Seigneur de CanHunir avais décidé de devenir indépendant.

Aujourd'hui, Erkus marchait sur la ville, non pour l'assiéger, mais pour la faire revenir à leurs cotés. Il disposait pour cela d'une lettre, que Merkus lui avais donné, et qu'il n'avais pas encore ouvert, attendant le bon moment, soit lorsqu'il sera sur la grande place de la ville,e t que tous l'écouterait.

L'armée portait les étendards d'Erkus, l'homme était apprécié, car il était jadis le meilleur ami du fils de Philibert de CanHunir, Arthur. L'histoire de ce dernier était bien triste, et Erkus reçut une pique au cœur quand il arriva près de la ville, en repensant à son ancien ami mort au combat. Mais il avais une mission à remplir, et il devait réussir, la victoire en dépendait.

Erkus pus entrer dans la ville avec dix hommes, tandis que son armée attendrait devant la ville, prenant un repos bien méritait. La ville était magnifique, la pierre blanche était sculpté avec un art qu'on ne trouvait qu'ici, des gravure, petit sculpture apparaissait sur chaque maison, enseigne,... c'était un bonheur de passait dans ses rues.

L'artisan continuait de frapper son marteau sur l'enclume, les femmes ramener de l'eau, les enfants couraient dans la rue, ici la vie semblait vivre en parfaite indifférence de tout ce qui se passait autour de les murailles. Un autre monde, au sein de la Yarkollie.

Une petite troupe suivait Erkus, des curieux pour la plupart, reconnaissant l'étendard du clan CanGerts. Erkus restait droit et totalement impassible avant d'arriver sur la grande place. Cette dernière se trouvait devant le palais de CanHunir. Le moment était venu, et les dès roulés sur la table du destin.

-Je suis Erkus CanGerts, beaucoup me connaisse ici, j'ai jadis défendu ses terres, et j'y ai perdu un ami, comme vous vous avez perdu le fils de votre seigneur. Mais ce que j'ai aujourd'hui à vous proposez, ce que j'ai aujourd'hui à vous dire, doit tous vous faire réfléchir, car le monde change et bouge.

Erkus s'arrêta, et décacheta la lettre de Merkus avant de commencer à la lire. Philibert de Canhunir apparut au même moment devant son palais, accompagné de ses ministres et de bien d'autres.

-Moi, Merkus de la Violette, Duc de la Yarkollie, j'ai aujourd'hui pris la décision de faire payer à Dinak ses crimes, j'ai aujourd'hui décidé de montrer que le monde ne leur appartient pas, devant Notre Seigneur à tous, devant mes ancêtres et devant mon peuple, j'ai promit de ne jamais m'arrêter tant que nos terres ne serons pas récupérer.
Hommes de CanHunir, nous avons besoin de vous. Jadis vous avez dus lutter seul contre Dinak, et vous avez perdu beaucoup, mais mon père vous as soutenu dans votre combat, sans pour autant envoyé d'homme, que Dieu lui pardonne.
Mais aujourd'hui, je lave son erreur, et je pars en croisade contre le tyran, vous joindrez-vous à moi ? Rejoindrez-vous nos rangs ? Hommes de CanHunir vengez Arthur de CanHunir, tomber dans une embuscade de l'ennemi, vengez le, et faites payer à Dinak le prix de nos morts. Nous avons besoin de vous.


Le silence s'installa dans la foule, des murmures passèrent, des gestes, et puis un homme s'avança. Erkus le reconnut comme étant Robert de Gan, un de ses anciens compagnons d'armes. Ce dernier sortit son épée, et s'agenouilla devant Erkus.

-Mon épée vengera nos morts et libérera nos terres

Erkus descendit de cheval et pris son ancien ami dans les bras. D'autres se joignirent à Erkus, mais la plupart attendait une réaction du vieux roi
Philibert.
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MessageSujet: Re: Quand les souvenirs reviennent, où l'appel d'Erkus (CanHunir)   Quand les souvenirs reviennent, où l'appel d'Erkus (CanHunir) Icon_minitimeSam 21 Nov 2009 - 21:31

[CanHunir est une petite ville de province, donc on va éviter le palais, et toutes ces choses dignes des capitales]

Et le long de l'échine de Philibert, l'homme qui s'était proclamé roi, après qu'Ellandy l'eut abandonné, et que Dinak n'ait daigné de l'envahir, une grosse goute de sueur perla. Car lui savait, à la différence d'Erkus, que sa vie ne tenait plus qu'à un fil.

Dans d'autres circonstances, il aurait sûrement accepté, timidement certes, la proposition du vassal du Duc de la Violette ; il aurait mis son orgueil et sa rancœur envers Ellandy de côté, et il se serait aligné aux côtés de ces derniers. En effet, le roi autoproclamé savait que son modeste domaine ne survivait que difficilement, seul, aussi faible qu'une fourmis, comparé à la puissance Dinakienne.

L'homme avança de quelques pas, et s'adressa à Erkus :


"Je suis désolé, brave homme... Mais d'autres personnes sont arrivées avant. Je pardonne ton maître Merkus, tu pourras lui dire cela, quand tu le verras... Dans l'au-delà."

Des cliquetis d'armure se firent entendre, et aussitôt, une centaine de Dinakiens se firent voir ; des hallebardiers cernèrent Erkus et ses gardes, tandis que des arbalétriers, postés sur les toits et les remparts, mirent en joue les Ellandiens.
Un Dinakien sortit du logis seigneurial. L'homme revêtait les couleurs d'Azyrith Dan, par dessus son équipement de guerre. Il avança vers Philibert, qu'il poussa en avant d'un coup de pied dans l'arrière train. Le "roi" s'étala de toute sa hauteur dans la boue, et se releva péniblement, pour sentir une lame sur sa gorge.
Le Dinakien, Théodéric de Puiviel, un noble de basse lignée, avait en effet dégainé son épée, et l'appuyait désormais sur le cou de Philibert.


"Rassure toi, petit roi, tu pourra transmettre tes salutations à Merkus... En personne." Après quoi, il égorgea le roi, et se tourna vers Erkus.

"Je savais bien que vous tenteriez de ramener ce pourceau dans votre giron, pourritures Ellandiennes. Mon roi s'en fichait comme d'un guigne, à juste titre, vu l'état de cette cité, mais j'ai vu là une belle opportunité de frapper les forces de La Violette dans le flanc. Vous auriez du vous douter que Criméa était au courant de vos mouvements."

Le chef de guerre Dinakien, après avoir eut vent des agissements de La Violette, avait en effet mobilisé, sans demander l'avis de son roi, ses troupes, et avait gagné CanHunir, par bateau, depuis le port de Barnows. Il ne s'était pas trop aventuré au large, mais cela lui avait quand même permis d'arriver avant les Ellandiens, et de se rendre maître de la ville.

"Ligotez moi cette charogne, et tuez sa suite ! Hissez leurs étendard à la porte principale, et allez vous mettre en place, comme il est convenu ! Exécution !"

Les soldats ne se firent pas prier ; impitoyables, il abattirent d'une seule salve d'arbalète les gardes d'Erkus, tandis qu'un soldat assomma ce dernier à l'aide d'un carreau à pointe contondante. Avec force, ils dispersèrent la foule, qui avait tant espéré à leur salut.
Ils emportèrent les cadavres et les chevaux, hissèrent l'étendard des CanGerts à la hampe, sonnèrent des coups de la trompe que portait un des feu gardes, et partirent vite se cacher.
Théodéric regagna le logis seigneurial, content de lui. Il serait bientôt grandement récompensé par son roi... Une fois que les forces Ellandiennes se seraient engouffrées dans la ville...
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MessageSujet: Re: Quand les souvenirs reviennent, où l'appel d'Erkus (CanHunir)   Quand les souvenirs reviennent, où l'appel d'Erkus (CanHunir) Icon_minitimeDim 22 Nov 2009 - 1:27

Erkus resta pétrifié, tant de basses humaine, tant de faiblesse, tant de … il ne trouvait pas de mot pour exprimer ce qu'il ressentait, la colère l'aveuglait, la rage, la déception. Il avais envie de pleurer et de crier, il repensa à Arthur, et à comment son père avais oublié sa mort, il était en pleine crise de rage. Ce qui s'arrêta bientôt avec un coup qui l'assomma.
La situation était catastrophique, même totalement affreuse. Une chance, les Dinakiens étaient bien trop sûr d'eux, et il oubliait trop de détail. La population soumise à la force de l'occupant, ne pouvait rien faire, mais certain était déjà en train d'agir, l'honneur était encore sauf dans cette ville envahit par le mal, et ce bien là était une chose si belle qu'un espoir était encore possible pour l'armée d'Erkus.
Deux personne pouvaient encore inversé la donne, la première était Eloise de CanHnir, la fille de Philibert. Une beauté terrienne, toute petite, elle ressemblait à une poupée, et depuis le peuple, elle avait vu toute la scène, pour comprendre il fallait revenir légèrement en arrière. A l'arrivé des Dinakiens, la petite princesse s'était échappé et caché dans la ville. Ne supportant pas la basses de son père et la honte faite à son frère.
Eloise avais jadis était fiancé à Erkus, les deux s'étaient aimé d'un profond et tendre amour, un amour mystique et puissant, mais l'appel des armes avais éloigné Erkus, et le couple s'était divisé. L'homme ne pouvant retrouver sa promise pendant qu'il servait dans l'armée. C'est pour cela qu'a son arrivé, la petite princesse, avais déjà su ce qu'il allais se passer, et se décida a prendre les choses en main, de sa petite taille et sa lèvre retroussé par un fin duvet, elle était allé trouver son hôte de fortune, Turiel MacHaon.
C'est ce deuxième personnage qui apporta un relent d'espoir pour les Yarkolliens. Il dépêcha rapidement des hommes fidèles en qui il avais une total confiance, des anciens combattants qui avais assister à la mort d'Arthur.
Un homme fut envoyé vers l'Ost (il devait finir tuer par des Dinakiens alors qu'il essayais de passer la porte), et d'autres prenaient les armes, en allant réveiller des vrais patriotes à l'appel et au soulèvement. En tout une vingtaine de gaillard, bien armé et la rage au ventre.
Erkus était enfermé dans le logis seigneuriale, sous bonne garde, Tureil estimait à a peu près cinq cent les Dinakiens, peut être un peu moins. Les vingt hommes ne ferons rien seul, mais il serait d'une importance crucial. Ils se placèrent près de l'entré et attendirent, en se cachant sous la forme de simple mendiant.

Du coté de l'Ost, c'était Usel GunHir, qui dirigé, un homme proche de la trentaine, et un très bon chef d'armée. Quand on hissa l'étendard, il fut d'abord surpris, il s'attendait à ce qu'on dépêche un messager pour lui dire quoi faire. Il ne sut d'abord pas s'il devait entrer ou restait dehors. Mais il s'avisa d'entrer avec quelques hommes pour voir de quoi il en retournait.
Pour l'accompagner, Usel décida de prendre les hommes du clan Kirst, soit huit cent hommes, les autres attendrons d'autres ordres en attente de clarification de la situation. La compagnie se mis en mouvement, en rang ordonné, les hommes était heureux de pouvoir enfin se reposer, ne se doutant pas du piège qui les attendait.
La porte était gardé par des hommes inconnus d'Usel, ce qui l'inquiéta encore plus, il avais un désagréable sentiment, mais se décida à passer outre et s'engouffra dans la ville. Il ne fit aucun signe de la suite d'Erkus, et la ville semblait calme, trop calme. Pourtant un mendiant s'approcha de lui.
Ce dernier se pencha vers lui.
-Mon seigneur, une petite pièce (il chuta et se rattrapa sur la jambe d'Usel alors que celui-ci se baissait pour prendre sa bourse, ce qui amena l'oreille du Yarkollien très proche de la bouche du mendiant) c'est un piège, les Dinakiens retiennent Erkus dans le Logis, et sont sur les remparts.
Usel ne bougea pas, et ne se retourna pas, il fallait continuer à jouer le jeu. Il prouva une fois de plus qu'il était un homme très doué pour la guerre, et se contenta de jeter quelques pièce à Turiel, qui disparu aussitôt.
Il continua d'avancer, avant de s'arrêter, une fois que tout les hallebardiers étaient entré, les Dinakiens allaient surement les attaquer une fois que l'armée serais entré pour éviter de voir les arbalétriers encore dehors les prendre en tenaille.
Usel s'arrêta et se tourna vers ses hommes derrière lui, jetant un regard sur les remparts, les hommes armées là haut allait bientôt les arrosaient de trait, Usel était prêt à jouer à un jeu dangeureux.
-Hommes de Yarkol sur les remparts, peuples de CanHunir aux armes.
Après avoir crier cela, Usel sauta de cheval, et se rua vers les rempart entrainant avec lui les Hallebardiers encore étonné de l'ordre, mais obéissant à leur chef. La bataille commencé, le sang coulerait, et les femmes pleureraient.
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MessageSujet: Re: Quand les souvenirs reviennent, où l'appel d'Erkus (CanHunir)   Quand les souvenirs reviennent, où l'appel d'Erkus (CanHunir) Icon_minitimeDim 22 Nov 2009 - 2:21

Ce furent une huit-centaine d'hommes qui pénétrèrent dans la ville. Théodéric, ravi, contempla toute cette masse humaine, qui s'était précipité, pensant avoir gagné la ville. En vérité, la ville ne serait gagnée par personne, pas même par les Dinakiens. Dès que les derniers hommes d'Ellandy eurent passé les remparts, Théodéric tira sa corne, dans laquelle il souffla à trois reprises.
À la stupéfaction des soldats d'Erkus, la herse s'abattit soudainement, leur bloquant toute retraite. Un des chefs de la troupe Ellandienne comprit qu'il s'agissait là d'un piège, et ordonna que les soldats gagnent les remparts de la cité.

Tenter de vaincre les 800 hommes d'Erkus aurait été une folie, avec le peu de force dont disposait Théodéric, au grand maximum 400 soldats, dont seulement une centaine sachant vraiment se battre. Mais il était prêt à sacrifier la cité, dans le but d'infliger de lourdes pertes aux Ellandiens, et d'ainsi les empêcher de rejoindre le gros de l'armée de Merkus de la Violette.
Et ce sacrifice, il l'avait prévu. Il était dans la ville depuis deux jours, et avait maté la population, en lui promettant la vie sauve... Les pauvres naïfs, s'ils savaient.

Tandis que des soldats Ellandiens bougeaient déjà vers les escaliers des remparts, Théodéric sonna un dernier coup de corne, avant de passer sa tête par une des fenêtre du manoir, et de hurler à ses adversaires :


"À feu et à sang ! Que cette ville ne soit plus, pour la gloire d'Azyrith Dan !"

Aussitôt, plusieurs archers, placés en haut de l'unique tour de la ville, plongèrent leurs flèches dans un des braseros. La tête emplie de poix s'embrasa aussitôt, et les hommes visèrent, et lâchèrent la corde.
L'ensemble des flèches fusa sur quelques baraque, qui jouxtait la place principale, là où était massée le gros des troupes Ellandiennes.
Dès que les projectiles enflammés percutèrent les masures, celles-ci s'embrasèrent en quelques secondes. En effet, Théodéric avait ordonné à ce qu'on use du feu grégeois, qu'il avait apporté avec ses navires. Ce liquide, terriblement inflammable, s'utilisait pour les combats maritimes, mais également à terre.
Le feu démarra avec une intensité affolante, se propageant instantanément le long des lignes de feu grégeois, qui avait été répandu à même le sol. Ainsi, une prison de feu se mit en place, cernant la plupart des hommes d'Erkus. Les flammes gagnait l'ensemble des bâtisses qui les cernait, et ils finiraient bientôt rôtis à point.

Pour pimenter tout cela, les arbalétriers Dinakiens commencèrent à harceler la troupe d'Ellandy. Des hallebardiers les chargèrent, mais furent confrontés à leurs homologues de Dinak, sur les escaliers, engageant ainsi une violente mêlée.
Théodéric, quant à lui, descendit dans la pièce principale du manoir, et, avec l'aide de soldats, barricada la porte. Il rassembla l'ensemble des troupes présent dans le logis, la centaine d'homme étant vraiment des militaires, et ordona une formation défensive.

Il avait réussi à retourner la situation, et il se préparait désormais à la contre-offensive du gros des troupes, celles qui n'étaient pas en train de brûler dans l'incendie général..
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MessageSujet: Re: Quand les souvenirs reviennent, où l'appel d'Erkus (CanHunir)   Quand les souvenirs reviennent, où l'appel d'Erkus (CanHunir) Icon_minitimeDim 22 Nov 2009 - 5:24

Le feu s'allia avec le sang pour former ce que l'histoire retiendras comme la bassesse de Dinak, après la trahison, le mensonge, maintenant la mort d'innocent, cela était trop pour Usel. Le noble de trente ans entra dans ce qu'on appela plus tard « la folie Uselienne ». Il jeta son épée sur un pauvre Dinakien qui la reçut au niveau de la gorge et poussa un cri assez étrange avant de mourir dans des petits tressaillements qui rappelait un poisson essayant de s'échapper des mains d'un pêcheur.
Il préféra s'armer de sa glorieuse Claymore, « la grosse Usel » qu'on la nommait d'ailleurs. Une hache à double tranchant, que seul les bras sur-musclé d'Usel pouvait sans doute soulever. Et c'est armé de cette instrument de mort que l'homme s'engagea dans un escalier menant au rempart. Frapapnt les Dinakiens, les fauchant par deux ou trois (ou par dizaines dans les endroits les plus serrés) les jetant des marches ou les écrasant.
Rapidement, les Yarkolliens rendus fou par le feu le suivirent, et ce fut du sang, du sang et encore du sang qui éclaboussa les marches des remparts. La folie meurtrière n'avait aucune limite, et les Yarkolliens se jetèrent sur les remparts comme des furibonds (pour éviter les flammes). Submergés par le nombre, les Dinakiens ne pouvait guère résister bien longtemps.
La herse fut rapidement relevé, et la ville était en proie aux flammes et à la panique. On aurait pus se souvenir de ce jour, comme celui ou CanHunir aurait était rayé de la carte, mais Turiel et ses hommes veillaient à ce que le feu ne se propage pas trop. Les maisons pas encore enflammer était détruite (à grand coup de masse), ce qui semblait ridicule en un premier aperçus, mais s'avéra néanmoins une excellente idée une fois que d'autre homme rallièrent ceux qu'on nommait « Les folles masses de CanHunir ».
Le reste de l'Ost reçut l'ordre de ne pas bouger, tandis que le les piquiers et arbalétriers eux entrèrent dans la ville. Le chaos était présent partout, et les centaines de Yarkolliens courraient au milieu des rues pour éviter les flammes en se ruant vers le Logis.
La porte était barricadé, et symbole de la folie guerrière qui atteignait les Yarkolliens, certains se jetèrent contre les barricade essayant de les forcer avec leurs propre corps. Usel avec une vingtaine d'hommes d'armes ayant sortit des hallebarde, se mirent à frapper contre ses barricades, pour les réduire rapidement en petit morceaux.
Et ce fut la ruade, les Yarkolliens se jetaient contre les Dinakiens par dizaines, ne cherchant plus à éviter d'être tué, mais à tuer ! Frapper, tuer et se venger, voilà ce qui occupait leur esprit. On entendit même Usel crier (et il cria fort pour couvrir le bruit du combat)
-Au diable Dinak, je me torcherais avec la cape d'Azarith Dan.
Oui, Usel n'était pas un homme d'esprit quand il se battait, mais une de ses bêtes qui se jettent dans la mélé sans réfléchir sous l'emprise de la folie, cherchant à pourfendre de la chair ennemie (on ne savait pas trop ce qui le retenait de mordre ses adversaires d'ailleurs).
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MessageSujet: Re: Quand les souvenirs reviennent, où l'appel d'Erkus (CanHunir)   Quand les souvenirs reviennent, où l'appel d'Erkus (CanHunir) Icon_minitimeDim 22 Nov 2009 - 15:43

Contre toute attente, la vaillance des hommes d'Ellandy commençait à prendre le dessus sur le stratagème Dinakien. Théodéric, d'abord confiant, considéra alors qu'il était temps d'évacuer la ville ; par son action, il avait cherché à faire une diversion, et à entamer fortement les effectifs d'Erkus, par de s'enliser dans un conflit face à face, où il n'aurait eut aucune chance.

Heureusement pour lui, le chef de guerre Dinakien avait encore quelques tours dans son sac. Il avait minutieusement prévu son embuscade, et avait anticipé une hypothétique retraite.
Si la défense des remparts était peine perdue, car défendus par des bleus, et complètement impropre à une bataille, le logis seigneurial, lui, tenait bon. Les soldats Ellandiens avaient réussi à enfoncer la porte, mais ils chargeaient désormais une formation en rangs serrés de hallebardiers Dinakiens, et ceux-ci étaient des soldats expérimentés, rompus aux techniques de guerre, et de contre-charge.
En maintenant la formation de trois rang de hallebardiers, ils réussirent à contenir la fureur Ellandienne, donnant ainsi à Théodéric le temps de mettre en place sa contre-offensive.
Le chef de guerre, un brin pyromane, était d'une ingéniosité folle, quand il s'agissait d'utiliser le feu ; cela avait commencé tout petit, pour débusquer les renards, et cela se poursuivait maintenant, pour calciner une troupe entière. Et, complètement impitoyable, il avait fanatisé un groupe d'homme, dans le but que ceux-ci se fassent flamber sur l'ennemi, en utilisant de gros pots en céramique, remplis à ras-bord de feu grégeois... De quoi faire flamber un navire en entier, alors les bâtisses n'y résisteraient pas, détruites où non.


Dans la salle principale du logis, les Dinakiens brisèrent le premier assaut ; le rang intermédiaire des hallebardiers s'ouvrit subitement, et une ligne d'arbalétriers tira de là. À bout portant, cette salve meurtrière donna le répit nécessaire aux Dinakiens pour charger, et repousser les hommes d'Erkus hors du bâtiment. Là, exposés, les ennemis reçurent des projectiles sur la figure, lancés depuis le bâtiment. Des pierres furent lancées, mais surtout, des grenades en terre cuite, contenant une fois de plus du feu grégeois [l'usage de ces "grenades" remonte aux byzantins, à partir de ~600, c'est pas moi qui invente, ndlr] , ce qui transforma les premiers rangs d'Ellandiens en torches humaines, et fit ainsi reculer les forces d'Erkus.
La rage retombant légèrement, après l'échec de leur assaut sur le logis, certains Ellandiens, notamment l'arrière garde, se retournèrent, et prirent leurs jambes à leur cou. La peur s'était insinué en eux, après que la colère ne leur ait pas apporté la victoire.
Ne voulant pas que le gros des troupes rapplique, Théodéric fit signe aux derniers hommes présents sur la porte de saboter la herse. Tant bien que mal, les soldats Dinakiens frappèrent le chevalet de remontée de la herse, qui finit par se briser. La lourde grille de métal s'effondra, et les derniers hommes de Dinak furent rapidement massacrés.
Désormais enfermés, les troupes d'Erkus allaient finir calcinées. En effet, le feu grégeois, cette diabolique invention, arrivait même à brûler sur l'eau... Et la cité devenait à présent un brasier ardent. Seuls les parties arrière n'étaient pas touchées par les flammes, ou que peu. Mais le vent du Nord qui soufflait remédierait rapidement cela.

Ne voulant pas finir lui non plus roussi, Théodéric ordonna à ses hommes de se replier ; il savait que ses navires l'attendait au port, amarres détachées, prêts à filer.


"Aux bateaux !! Par la poterne !"

Les troupes Dinakiennes rompirent, et opérèrent un mouvement de retraite, par la porte arrière du logis. Dans toute cette embuscade, Thédoric avait engagé deux centaines d'hommes, et en avait perdu une petite moitié, quasiment que des bleus, sur les remparts. Le reste de sa troupe attendait aux navires, prêts à couvrir leur retraite. Il estima son bilan positif, alors que lui et ses hommes courraient à toutes jambes vers le port. Une vingtaine d'homme trépassa durant cette fuite, mais le reste atteignit les bateaux, et embarquèrent. Une cinquantaine d'hommes restèrent à terre, prêts à encaisser l'assaut Ellandien, qui auraient contourné le logis d'ici quelques secondes... Ces hommes étaient condamnés, ils le savaient, et aussi commencèrent ils à mettre le feu à l'arrière de la cité.

Théodéric, hors de portée, désormais en sécurité sur son navire, donna les ordres au capitaine :


"Cap sur Darnows ! J'ai hâte d'informer le Roi de notre réussite !"
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MessageSujet: Re: Quand les souvenirs reviennent, où l'appel d'Erkus (CanHunir)   Quand les souvenirs reviennent, où l'appel d'Erkus (CanHunir) Icon_minitimeDim 22 Nov 2009 - 17:26

Les Yarkolliens chargaient comme des bœufs, et encore des bœufs auraient étais moins agressifs on vit même un Yarkolien en proie aux flammes crier et se jeter sur trois Dinakiens. Mais la technique de combat d'Usel n'était pas la meilleur, le but étant de prendre la ville, il avais échouer, la ville était en pleine destruction. Ce qu'il ne savait pas c'est que ça l'aiderais plus à sa mission final.
La bataille étais gagné, mais tout cela n'était pas finit, car derrière les rangs de barbares que représentait les Yarkolliens c'était l'intelligence de quelques hommes qui allaient montrer au Yarkollien que rien n'est jamais acquis même lorsque l'on croit avoir gagné.
Turiel, avais eut connaissance des installation des Dinakiens, la vile étant comme sa maison, dès qu'il se passait quelque chose il le savait. L'homme de CanHunir n'avais pus arrivé à trafiquer ou enlever les installations, mais il avais réussi à en piquer quelques une (même beaucoup). Et son génie se manifesta avec une grandeur sans semblable.
Les bateaux de Dinak ignoré que leurs cales avais était armée de leur tendre explosif, leurs voiles arrosé de poix, et le bateaux armés en différent endroit facilement atteignable de matière explosif. La surprise serais surement très bonne pour leur chefs, le feu se retournant contre leur propriétaire.
Mais le plus dur était de pouvoir allumer les bateaux au bon moment, et là ce fut facilement faisable. Les régiments devant la ville, ne tardèrent pas à recevoir l'ordre de se mettre sur le coté de la ville, près de la côte, avec arc bandé, et feu allumé. Le jeu était enclenché, il ne restait plus qu'a attendre.

Dans la ville, la situation s'améliora, les remparts était totalement prise, les quelques prisonniers faits, furent rapidement jeté aux flammes par la folie guerrière. Les Dinakiens avais réussi à briser le chevaler de la herse, mais ce n'était pas ça qui allait empêcher les Yarkolliens de vivre. Les hommes se regroupèrent et à la force de leur main tirèrent sur les lourds chaînes de l'entré, la levant doucement, pour finalement qu'elle soit totalement levé.
On amena un chariot qu'on remplit de pierre juste dessous la herse ce qui permit de la maintenir ouverte, en réduisant néanmoins le passage, mais cela permit d'organiser le sauvetage. On organisa la sortie du peuple, qui se passa très bien, avec quelques petit problème du à des hommes qui voulait sortir le plus vite possible.
Avec les civils, on fit sortir aussi tout ce qui était nourriture, équipement, chevaux, et tout ce qui pourrait servir. Le but n'était plus d'éteindre ce feu diabolique qui résisté à l'eau, mais de sauver ce qui pouvait l'être.
Le logis fut une bataille très sanglante, les Yarkolliens se jetant sur les rangs d'hallebardiers sans crainte avais néanmoins du mal à percer ces dits rangs, ce fut encore une fois Usel qui avec sa Hache de guerre, perça les rangs et parvint à divisé les troupes Dinakiennes, la bataille était gagné, cela il en était sûr, mais ce qu'il voulait c'était la tête du commandant Dinakien (celle du roi de CanHunir étant déjà coupé).
Il ne lui pas, mais eut la joie de pouvoir voir Erkus en vie. Ce dernier pendant l'affrontement avais réussi à se libérer, prendre une arme et à tapé du Dinakien. Il avais par contre reçu un vilain coup au bras, qui saignait méchamment, il seront bon pour le fer rouge.
Les Dinakiens se mirent à fuir, et ceux qui restèrent pour permettre la fuite des autres furent massacré effroyablement par une horde d'homme enclin à une folie total. Mais les Yarkolliens ne réussirent pas à éliminer le chef Dinakien, et durent sortir de la ville précipitamment.

Du coté des archers, le moment était venu, flèche embrasser, arc bandé, regard pointé, des dizaine de dizaines de trait enflammé à la poix fendirent l'air pour s'abattre sur les navires, enflammant d'abord les voiles, puis les endroits trafiqués, et finalement le feu grégeois et les matières explosifs. Ce fut cri, flammes, sangs, et morts qui se propagea sur l'eau. La vengeance des Yarkolliens qui renvoyer l'arme au forgeron, comme il le disait.
Erkus pus contempler du haut du petit colline la ville en flamme, les derniers habitants et marchandises qui en sortaient, les bateaux qui brulait, et il en pleura, il pleura de voir la mort, la basses humaine, et regretta le temps ou une bataille affronter des adversaires voulant se battre sur un simple champ de bataille, il regretta tout cela.
Usel reçut la Croix de PentaMont, une décoration que seul vingt Yarkolliens avais reçut, la deuxième plus honorable, après le Sceau de MonFort. Turiel fut nommé aide de camp d'Erkus, et adouber devant la ville en flamme. Ses compagnons furent nommé Garde de Yarkollie, un titre prestigieux, qui équivalait celui de chevalier, et leur valait le droit de se battre parmi la Garde Violette.
Le Bilan était effroyable, CanHunir était détruit, il faudrait des années pour reconstruire la ville, les morts était beaucoup trop nombreux, parmi les survivants on compta seulement trois milles personnes, ce qui signifié des milliers de morts. Parmi les rangs armée, l'Ost d'Erkus avais perdu plus de trois cent hommes.
Eloise, était la dernière descendante de sa ligné, et de ce fait devenait reine de CanHunir, reine d'une ville détruite, et reine d'un peuple totalement détruit. Mais là ou le malheur frappe, c'est la vengeance qui sonne.
Erkus, accompagné et soutenu par son ancienne promise, l'appel aux armes, et à la vengeance reçut plus de réponse que le premier effectué. Les hommes étaient détruit, et beaucoup avais perdu leur familles, ils voulaient aller se battre et mourir s'il le valait, ceux ayant encore leur familles, voulaient montrer qu'il était des vrais hommes et laver leur déshonneur. En tout on compta Huit cent hommes ralliant l'Ost. On appela ces hommes, la compagnie vengeresse de CanHunir.
L'armée resta un jour entier à s'organiser, et partit vers le nord, en envoyant un messager à Merkus. La première bataille était achevé, et le goût de la victoire avait un goût amer.
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