Règlement de comptes.

Invité

Il était encore très tôt dans la capitale. Les premières portes commençaient à peine à s'ouvrir quand une jeune fille était déja présente dans les rues en train de faire sa promenade. Pour une fois, Shana avait fait des efforts en prenant un bon bain et en mettant une très belle robe qu'elle avait prévu pour les occasions qui lui auraient valuent la peine de bien s'habiller, afin de se balader dans les quartiers riches de Dénaros.

Peu après son entrainement matinale, elle qui s'entrainait toujours d'arrache-pieds a la lame pour réaliser son rêve de devenir un jour la plus forte, elle se dirigeait vers une petite boutique qui lui était assez familière, malgré qu'elle n'avait pas l'habitude de rentrer dans des lieux aussi luxueux. A l'entrée, le teneur de la boutique ne la remarqua pas tout de suite, encore en train de nager dans ses rêves du fait qu'il était encore tôt. Shana fit alors exprès de faire retentir ses pas en frappant fortement le sol lorsqu''elle s'avançait du vendeur, pour qu'il la remarqua. Tout d'abord surpris , le vendeur se releva d'un sursaut , puis leva la tête pour remarquer la jeune fille qui ne lui était pas inconnu. Ils s'échangèrent d'abord des petits sourires, lorsqu'il annonça:

- Oh, mais ne serait-ce pas la petite Shana ! C'est un plaisir de te revoir ! On s'attendait pas a te revoir de si tôt. Merci d'avoir garder les enfants l'autre nuit !

Elle lui laissa alors un sourire très gai et lui répondit :

-Vu la somme que vous m'avez donné, quelqu'un comme moi qui a des difficultés auraient été bête de refuser votre offre, Etienne !

Etienne, le teneur de la boutique, lui fit signe alors de se rapprocher un peu, comme pour lui dire un secret. Shana tendit alors son oreille et il lui chuchota :

-Au fait, en temps normal, je ne t'aurai jamais demandé un tel service. Mais tu connais madame, avec le caractère de cochon qu'elle a, qui se plaint toujours que je ne fais pas attention a elle. Tu me comprends au moins, toi. Je passe les trois quarts de ma vie a tenir cette boutique, alors si je ne peut pas aller passer du bon temps a l'auberge du coin quand j'en ai...

Les deux regardèrent alors dans le fond de la boutique et apercevèrent la femme qui prenait son petit déjeuner, et qui jeta un regard noir a son mari qui se retourna très vite, ayant peur de la regarder dans les yeux. Il regarda alors Shana et remarqua un peu tard que la jeune fille était plus propre que d'habitude, s'était bien habillée malgré ses conditions et, par dessus-tout, était relativement calme, ce qui n'était pas une habitude chez la jeune fille.

-Ben dis-donc, qu'est-ce qui t'arrives ? Tu t'es fait bien belle aujourd'hui ! De plus, toi qui d'habitude me ferait presque aussi peur que ma femme, je te trouve très calme...

Il remarqua alors la bourse bien pleine dans la main de la jeune fille.

- ... Oh ! Ne dis rien, j'ai compris ! Et bien dis-donc, félicitations ! Pourrais-tu me dire le nom de l'heureux élu ?

Il laissa passer alors un petit rire et la jeune fille rougissa d'un coup et baissa les yeux.

-Oh non, ce n'est pas ce que vous croyez ! L'homme qui m'a offert cette bourse est quelqu'un de très gentil, c'est un simple ami. Mais il tenait vraiment a ce que je ...

- Oui, c'est bon, j'ai compris. Il faut que tu sois magnifique, c'est sa ? Allez, entre, je te laisse entre les mains de ma femme.

- Heuresement que tu me la laisses ! Toi, tu n'as aucun goût, je vais faire de cette jeune fille la plus belle que cette ville ai connue, tu vas voir !

Les deux filles s'en allèrent alors vers le fond du magasin et le mari tout de même un peu vexée, ne tarda pas a somnoler de nouveau. La vendeuse proposa alors des robes aussi belles les unes que les autres a Shana, mais la jeune fille hésitait vraiment, ne sachant pas trop si cela plairerait a la personne qui l'attendait. De longues minutes s'écoulèrent alors, quand la femme d'Etienne décida alors :

- Allez, si on continue comme sa, tu ne te décideras jamais ! Viens dans ma chambre, tu pourras te changer et toutes les essayer jusqu'a ce qu'on trouve la bonne !

De nouveau, de longues minutes s'écoulèrent quand la jeune fille trouva alors la robe parfaite. La femme partit alors a la rencontre de son mari a la boutique et Shana la suivait de près.

Chéri, je te présente la superbe Shana Masaho ! Qu'est-ce que tu en penses ?

Shana avait choisi une très belle robe blanche. Très mince, elle se terminait a partir des épaules, laissant deux jolies rubans a la fin pour tenir des deux cotés. Une ligne rouge s'élargissant de plus en plus du haut jusqu'au bas allaient magnifiquement avec les yeux et les cheveux de la jeune fille. De jolies petites roses blanches servaient de motifs sur la ligne et de longs gants blancs assorties avec la robe la rendait gracieuse. On aurait eu du mal a croire que Shana était pauvre dans cette tenue. Le mari resta tout d'abord bouche-bée sur la beauté de la jeune fille et quand il s'en remit alors, il lui dit :

Eh bien, si j'avais eu quelques années de moins et que je n'aurais pas été déja prit...

Sa femme qui souria comme si de rien était, se contenta de lui taper fortement sur le dos pour que le mari comprenne qu'il aurait du se taire. Shana commençait a devenir rouge comme une tomate, elle qui n'avait pas l'habitude de porter de tels vêtements, quand la vendeuse lui dit:

Eh bien, je n'ai plus qu'a t'attacher les cheveux et tu seras parfaite. Allez, viens .

Elle finit alors de préparer Shana qui la remercia du fond du coeur. Elle voulait payer toute la robe ainsi que les gants et la coiffure mais le couple insista, sachant qu'elle était pauvre et qu'elle avait été très gentil de les aider il y a quelques jours. Heureuse, Shana prit ses affaires et s'apprêta alors a quitter la boutique, mais c'est alors que quatres hommes louches se présentèrent devant la boutique de vêtements. Etienne se présenta alors pour les conseiller, mais l'un d'eux ne tarda pas a placer son couteau sous la gorge du vendeur. La femme cria alors et l'homme apeuré se mit a transpiré, mais le visage de l'agresseur n'était pas inconnu a la jeune fille.

* Lui... c'est celui qui m'avait volé ma robe. Ah, j'attendais qu'il se montre depuis un bon moment ! Je vais lui faire payer chère ! Ah, et dire que je viens d'acheter cette robe, sa serait si dommage que je ne la déchire déja ! Bon, tant pis, dans ces moments, il n'y a pas de question a se poser. Il ne m'a sûrement pas encore remarqué, ou alors pas reconnu. Je vais lui montrer ce que c'est de me faire du mal a moi et a mes proches ! *

Elle cachait son sabre tant bien que mal mais l'une des quatres personnes la remarqua très rapidement. Il était clair que dès qu'il s'approcherait, la jeune fille n'hésiterait pas a lui trancher la gorge, mais dans ce cas elle mettrait Etienne en danger. Quand soudain, un nouvel individu fit son apparition.

Après avoir passé le plus clair de mon temps en dehors de la civilisation, je me rendit compte que je devrais quand même songé a changer de vêtement... Ce ne serait quand même pas du luxe... Je connaissais une boutique un peu plus loin, qui pourrais me rendre ce genre de service...

Je décida donc de partir pour... Dénaros, dans le Royaume d'Alsaria...

Mes vêtement était taché par toute sorte de chose, sang, nourriture, boisson, etc... Et a quelques endroits, déchiré... Bon pour la poubelle quoi...

Il faisait nuit noir a cet instant ou je marchais dans la forêt pour me rendre chez un marchant, sachant que l'on me laissera peut être pas rentré, j'attendis jusqu'au petit matin, pour me rendre dans la ville, et ainsi revoir la civilisation, que j'appréandais tant...

Quelques heures suivirent, et le soleil commenca a se lever... Je me mit en route vers Dénaros, ma'arretant a quelques endroits pour voir deux, trois petits trucs, et me dirigea vers la boutique...

Juste au devant se trouvait quatre hommes, armé, dont l'un avec le couteau sous la gorge du gerant, le dénomé Etienne... Ils rentrèrent dans la boutique, un cris se fit s'entendre... Il y avait la femme, et une jeune et très belle fille, a en voir sa tenue, surement une noble...

Me disant que ce pseudo combat était un peu déloyal, je me dévouais a leur secour... Je pouvais faire peur d'apparence, je portais une sorte de manteau noir avec une capuche, cela m'aidais a ne pas être vu, et a cacher un peu la saleté...

Sans que les homme me voient, et pour ne pas que les autres personnes ne me trahissent du regard, je leur fit un signe pour leur dire de détourner le regard et de se taire...

Je m'occupais d'abord de celui qui avais l'otage, que je tua assez rapidement... Quant aux autres il se retourna vers leur ami mort... Puis sur moi... Mais juste avant, j'en décapita un assez vite... Un autre se dirigea vers la femme d'Etienne, quand a l'autre il commenca un combat avec moi...

Juste au moment ou j'allait mettre un coup fatale, son compagnons arreta le combat en menacant de tuer la femme... Aussitôt donc j'arreta, et je laissa l'homme en vie, qui se dirigea vers son copain...

Je remarquait au même instant que la jeune femme était armée, elle qui se trouvais a l'arrière pouvait les arreter, et les sauver... Je lui fit un signe discret, pour le lui demander...

"Je suis sur que vous n'aurez même pas le courage de le faire, deux jeunes personnes aussi faible, que se soit d'esprit ou de force..."

A ces paroles ont pourrait croire que je les poussait a tué, mais cela était tout du contraire, c'était pour les déstabiliser... Qui marchait fort....

Invité

A l'instant, un grand homme blond en manteau noir venait de faire son apparition dans le magasin. Les ennemis ne l'ayant pas aperçu, il fit signe a la jeune fille de ne pas le faire remarquer. D'un coup alors il tua l'homme qui tenait Etienne en otage d'un coup d'épée sec. Puis quand un autre l'attaqua, il l'élimina assez facilement. Enfin, un troisième s'avança vers lui tandis qu'un autre s'approcha vers la femme d'Etienne. Mais alors que l'homme au manteau noir décida d'en finir, l'autre s'avança vers la femme d'Etienne. L'homme en noir aurait très bien pu se débarasser de son adversaire, mais les ennemis avaient de nouveau un otage.

Menaçant de tuer la femme, l'homme s'arrêta de combattre et lança quelques paroles afin de déstabiliser les ennemis. Il fit alors un signe a Shana, qui se trouvait dèrrière l'agresseur, sabre en main. Elle comprit très rapidement et d'un geste rapide, trancha le bras de le l'ennemi , lui faisant lacher son arme. Elle le prit alors par son vêtement, bousculant la femme par la même occasion, et le plaqua contre le mur. Elle tenait son sabre au niveau de la gorge de l'homme et lui plaça son genou dans le ventre.

Toi... tu es Hugel, n'est-ce pas ? Tu te souviens de moi, j'espère !

L'homme transpirait, avait peur, et reconnu la jeune fille

Mais... tu es cette petite pouilleuse qui vendait des vêtements dans la rue marchande de l'autre jour ?!

Elle rapprocha alors un peu plus son sabre, qui touchait presque maintenant la gorge d'Hugel.

Ne joue pas le malin avec moi, rend-moi mon bien tout de suite !

Du calme, du calme ! Tenez, dans ma poche, il y a une bourse pleine de monnaie. Par pitié, prenez-la mais laissez-moi en vie ! Vous savez, vous vous attirerez de drôles d'ennuis si vous me tuer.

La jeune fille, toujours le sabre pendant a la gorge d'Hugel, le lacha pour tenter de glisser sa main dans sa poche afin de saisir la bourse, mais a peine avait-elle prit la main dessus et concentrer sur le butin que l'ennemi saisissa une autre dague dans son autre poche et la lui enfonça dans l'épaule de la jeune fille. Elle aurait très bien pu lui trancher la gorge par réflexe et éviter cela, mais elle qui n'avait jamais tué quelqu'un auparavant, n'avait pas eu le courage de le faire. La dague resta alors coincer dans son épaule et Hugel tenta de prendre la fuite, mais Etienne se jeta alors sur lui, maintenant qu'il était sans arme et avec un bras en moins.

Deux hommes qui courent dans les rues de la ville, de si bonne heure, ne passent pas inaperçu aux yeux de tous. Celui en tête de course était un très jeune homme âgé de 18 ans environ : les cheveux noirs, ébouriffés, une taille normale et pourtant très fin. L’autre n’était autre que Shiraku, à la poursuite de ce jeune homme qui venait de lui dérober un objet très précieux. Le voleur s’embusqua dans la première ruelle qu’il aperçu, toujours suivit de très près par Shiraku, qui ne le lâchait pas des yeux. Le sabre de celui-ci manquait, car c’était la seul chose sur lui qui avait une valeur pour cet homme, et pour Shiraku aussi. Pensait-il le revendre ? C’était pour cela qu’on lui avait volé, de toute évidence.

Le vagabond commença à perdre son souffle après cette longue course dans la cité, et sa cible s’éloignait de plus en plus. Son ventre gargouilla alors, signe qu’il devait trouver quelque chose à manger. Pourtant, ce n’était pas le moment de manger s’il souhaitait récupérer son bien, même si son estomac lui disait tout le contraire. Encore quelques minutes de poursuite s’ensuivirent, mais au bout du compte, le voleur parvînt à se dissimuler parmi la foule, et disparut du champ de vision de Shiraku. La sueur coulait sur le visage du jeune homme, pas de signe de déception sur son visage, juste une expression neutre. Il fit quelques pas en arrière, avant de percuter un mur et de tomber sur le sol, regardant le ciel bleu couvert de quelques nuages à l’horizon. Pour poursuivre cet homme, il avait du laisser sa bourse sur place, quelqu’un avait déjà du s’en emparer depuis ce temps, plus la peine de revenir en arrière pour la récupérer. Non, ce qu’il souhaitait maintenant, c’était de revenir en arrière et de ne pas se faire voler ce sabre, son bien qu’il chérissait le plus.

« Je vais faire quoi maintenant ? Ce petit salaud courait bien vite, ca doit pas être la première fois qu’il est poursuivit … Je n’ai plus d’arme sur moi mis à part quelques couteaux, il va falloir que je m’en trouve une … »

Il se remit vite de la perte de son arme quand il aperçut cette jeune femme, portant une très belle robe. C’était peut être une noble, ou simplement une fille très fortunée, allez-savoir ! En tout cas, elle était séduisante. Shiraku aurait très bien pu lui mendier quelques pièces pour … Non, plutôt mourir que de devoir se mettre à genoux pour de l’argent. Il devait se débrouiller, tout seul, comme d’habitude. La femme qu’il venait de voir s’introduit dans une boutique assez grande. Une boutique … il devait surement y avoir quelques armes à y acheter. Shiraku fit quelques pas, puis se frappa la tête avec la paume de sa main.

« J’oublie déjà que je n’ai pas le sou ! Tant pis, je retrouverais surement ce voleur dans cette ville, il n’a pas du aller bien loin … Mais c’est tout de même une capitale, fouiller toute cette cité risquerait d’être vraiment très long … »

Un autre personnage attira alors son attention : cette fois-ci, un homme, non plusieurs même, des personnes très louches, qui attendaient patiemment devant la boutique. Qu’attendaient t-ils ? L’un d’entre eux jeta un coup d’œil rapide aux environs, ils manigançaient quelque chose. Finalement, ce n’est qu’au bout de quelques minutes qu’ils entrèrent dans la boutique, tous ensembles. Un autre arriva, portant un long manteau noir, cheveux blonds, une arme à la main.

Shiraku n’entendit que quelques coups d’épées et un hurlement, il comprit vite ce qui se passait à l’intérieur. Lorsqu’il se décida enfin à voir le spectacle, un homme en sortit avec le bras coupé, encore en sang, et une femme se jeta dessus pour le retenir. Oui, tout c’était mal passé pour ces hommes … La femme l’empêchant de bouger, il lança des injures inutiles en espérant obtenir une réaction de sa part. Mais cela ne changea rien, il était dans une très mauvaise situation. Pour ne pas se mettre dans le même lot que ces idiots, le vagabond préféra ne pas intervenir, restant adossé au mur de la boutique, mais regardant encore la scène …

*Il s'en passe des choses dans cette ville ...*

Sujet: Re: Règlement de comptes. Mer 2 Sep 2009 - 14:22

Au moment ou l'otage fut libérer, et repousser de son ennemi, l'autre complice, voyant ce spectacle pris aussitôt la fuite... N'ayant pas une immense envie de massacrer tout le monde, je le laissa en vie, et peut-être que ses dirigeants se passeront l'envie d'attaquer de pauvre innocent, du moin, si tel était le cas...

La jeune femme, pris le dénomé Hugel, couteau sous la gorge elle réclamait un bien qui lui appartenait... Lui, ne voulant pas mourir, lui proposa une bourse qui se trouvait dans sa poche... Mais au moment de la prendre, elle se fit étonnement poignardée l'épaule, alors qu'elle aurait pu le tuer et l'esquiver... Il essayait de l'enfuir, mais Etienne l'en empêcha, et se jeta sur lui... Ne voulant pas qu'il soit, lui aussi, poignardé, je pris cet homme par le col, le plaqua au mur sans qu'il ne sache bouger...

"Ce n'est pas a moi a décider de son destin, mais a toi, je te le laisse... De toute façon, il ne pourra pas aller bien loin, avec ce bras en moin..."

J'attachais l'homme avec des couteau au mur, et me dirigeait vers Etienne et sa femme pour les relever... Puis je me retournais sur cette femme, pour attendre la décision...

Au moment ou je me tournait vers elle, je vit un homme qui regardait la scéne de l'entrée de la boutique...

"Toi, la bas, es-tu avec eux? Si oui, arrete de te cacher, et viens..."

Invité

L'homme en noir prit alors Huguel par le col, le plaqua au mur sans qu'il ne sache bouger. Il l'attacha avec des couteaux, laissant Shana décider de son sort. La jeune fille se releva avec effort, la dame de la boutique voulant nettoyer la blessure et lui faire un bandage, elle se rapprocha avant cela devant l'homme attaché au mur. Ils se regardèrent tous les deux un moment d'un air méprisable, puis Shana reprit de nouveau son sabre, faisant tenir la pointe tout près de la gorge d'Hugel.

Ecoute, je m'énerve peut-être rapidement, je ne suis pas du genre a tuer les gens comme sa, même si ils me font du mal. Cepandant, aujourd'hui tu as perdus un bras ainsi que tes compagnons, évite que je ne te recroise encore a faire du vol si tu ne veux pas perdre un autre bras ou une jambe.

Elle le relâcha alors et l'homme fit vite de déguerpir en courant. Shana s'approcha alors de ce mystérieux homme en noir qui venait de les sauver et lui fit une révérence et se présenta.

Je m'apelle Shana Masaho, je suis une vagabonde qui traverse le pays afin de vendre mes quelques marchandises, en quelque sorte une marchande ambulante. Merci de votre aide, je ne saurais pas ce que j'aurais fait sans vous.

Mais c'est quand il se retourna vers elle qu'il semblerait qu'il avait remarqué quelque chose de bizarre.

"Toi, la bas, es-tu avec eux? Si oui, arrete de te cacher, et viens..."

Shana se retourna alors et remarqua a son tour un homme, a l'entrée de la boutique, qui était en train d'observer la scène. Etait-ce un autre de ces voleurs ?

Sujet: Re: Règlement de comptes. Dim 13 Sep 2009 - 19:41

L’étrange homme entièrement vêtu de noir sortit de la boutique afin d’aider la femme au sol à se relever, et au moment ou celui-ci tourna la tête vers l’autre femme, il aperçut Shiraku, toujours blottit contre le mur du bâtiment. Bien que le vagabond n’avait encore jusque là pas bougé, il lui demanda si il faisait partit de la bande qui venait d’attaquer ce magasin. Même s’il en eu fait partit, il ne l’aurait jamais avoué, c’est évident, et il se serait enfuit en même temps que ses compagnons. Or, ce n’était pas un brigand, il n’avait donc rien à voir avec cette affaire.

« Non, excuse moi mais je ne suis pas avec ces hommes, je n’ai fais qu’assister à la scène. »

Maintenant, plusieurs regards étaient tournés vers lui, des expressions disant que ces gens étaient curieux de savoir ce qu’il faisait ici. Quand à lui, il tourna la tête en direction de la plus jeune des femmes, blessée à l’épaule. Ce ne semblait pas, en apparence, une grosse blessure, mais beaucoup de sang sortait de la plaie.

« Laissez-moi vous faire un bandage le temps de trouver un médecin, cette blessure pourrait s’infecter et devenir beaucoup plus grave qu’elle ne l’est ! »

Shiraku farfouilla dans ses poches pour sortir un morceau de tissu blanc avec lequel il lui entoura le bras, puis il lui fit un bandage très simple.

« J’ai assisté à votre petit combat, et je dois dire que vous avez trés bien gérer la situation. Je suis désolé de n’être pas intervenu, mais je ne pensais pas que ces hommes vous voulaient du mal. »

C'est à ce moment qu'une pensée lui vint à l’esprit. Ces voleurs, s’ils étaient un minimum organisés, faisaient surement partit d’un même groupe, et si cette hypothèse s’avérait être vraie, celui qui s’était emparé de son sabre était sans doute aussi des leurs …

« Je voudrais vous demander quelque chose. Que savez-vous à propos de ces voleurs ? Font-ils partit d’une organisation ? Ont-ils un chef ? »

Invité

Un autre homme venait de faire son apparition. Il était assez grand, avait une belle chevelure blonde et de jolis yeux verts, ce qui le rendait plûtot séduisant et ne laissait pas la jeune fille indifférente. Cepandant, elle avait été blessée, et elle n'était pas en condition de se laisser attirer par la beauté physique d'un homme. Tous les regards firent vite de se tourner vers lui aussitôt qu'il fit son apparition. Il annonça tout d'abord qu'il n'était pas un de ce hommes qui venait de les attaquer, puis, se tournant vers Shana. Il lui demanda alors de bien vouloir le laissez faire un bandage a sa blessure faite a l'épaule, et, la jeune fille, bien trop naïve, se laissa faire et ne dit pas un mot. Après tout, peut-être qu'il était en train de mentir. Prêt de la jeune fille, il dégainerait son arme et la trancherait pour venger ses camarades.

L'homme de la boutique se leva vite voir si sa femme n'avait pas été bléssé, mais celle-ci le rejeta, faisant signe a Shana qu'elle allait appeler un médecin. Le mari resta alors parmi les trois autres personnes a écouter la conversation sans dire un mot. Le jeune homme, tout d'un coup, demanda alors :

« Je voudrais vous demander quelque chose. Que savez-vous à propos de ces voleurs ? Font-ils partit d’une organisation ? Ont-ils un chef ? »

Shana, tout d'abord surprise, hésitante, chercha ses mots. Hugel faisait-il parti d'une organisation ? Il était vrai que le propriétaire de l'auberge dans laquelle elle séjournait, lui avait raconté il n'y a pas longtemps quelques informations sur lui et qu'il venait rarement seule.

-Eh bien.. en fait... l'homme que j'ai laissé partir s'appelle Hugel. Il y a quelques jours, il m'avait volé un vêtement que je tentais de lui vendre a un prix assez élevé. C'est pour cela que je l'ai tout de suite attaqué quand je l'ai reconnu. Ce jour-là, quand il m'avais volé cette robe, il a vite disparu dans la foule et je n'ai point pu le rattraper. Le soir venu, j'ai quand même essayé de retrouver sa trace, ce qui m'a mené dans une auberge. C'est le propriétaire de l'auberge qui m'a dit son prénom, et il semblerait qu'Hugel était un habitué des lieux, qu'il venait souvent boire avec ses amis la-bas. C'est tout ce que je sais. Si vous voulez plus d'informations, je pense que c'est a cet aubergiste que vous devez en demander. L'auberge en question s'apelle "l'auberge des trois chemins", dans la rue marchande. C'est d'ailleurs la-bas que je séjourne. Si vous le voulez, je peux vous y emm...

Elle s'arrêta tout d'un coup et émetta un petit gémissement. La blessure qu'elle avait a l'épaule semblait plus profonde qu'elle ne le croyait. On remarquait tout de suite sur son visage un petit soupir qui montrait qu'elle souffrait. Etienne s'empressa alors de l'aider.

-Voyons jeune fille, ne soit pas pressé, je sais a quel point tu es robuste, mais quand même, repose-toi un peu ! Le médecin arrivera bientôt !

Sujet: Re: Règlement de comptes. Dim 15 Nov 2009 - 15:30

Spoiler:

J'écouta attentivement ce que Shana dit a Hugel... Je pensais, peut-être trop fort, qu'elle était bien gentille avec celui-ci... Mais si elle le jugeait ainsi, c'était son droit... Quoi que j'étais pas spécialement d'accord, mais de toute façon cela ne me revenait pas....

Suivi de son jugement elle s'approcha près de moi, et se présenta en me remerciant... Je ne fit rien, mis a part un signe de tête... En même temps j'avais apperçu l'homme au fond la bas....

Cet homme, s'excusa et expliqua qu'il ne faisait qu'assisté à la scéne... Perplexe de savoir que sa curiosité ne nous ai pas aidé, il le regarda étrangement.... Mais passa vite a autre chose et notamment a la blessure de Shana...

Mais avant qu'il n'intervienne, le nouveau venu s'en chargeait lui-même... Il commenca par lui faire un bandage très simple, juste pour attendre un médecin....

Je me retourna sur lui après ses paroles qui m'ont parue un peu bizarre... Il ne pensait pas que l'on était en mini combat? pourtant l'ambiance et le ton était bien froid, enfin... Je décidais de passer par au dessus, et lui répondait par un simple "merci"...
Mais soudain, il prononca une phrase:

« Je voudrais vous demander quelque chose. Que savez-vous à propos de ces voleurs ? Font-ils partit d’une organisation ? Ont-ils un chef ? »

Je me retourna vers Shana qui était la mieux placée pour répondre a cela... Elle prépondait, elle expliqua ou elle vivait et la petite partie de l'histoire de sa rencontre... Je m'en foutais un peu, vu que je ne voulais que de nouveaux vêtement, mais j'avais une impression bizarre comme si j'allais être impliqué la dedans...

Vers la fin, elle s'arrêta tout d'un coup et émetta un petit gémissement. La blessure qu'elle avait a l'épaule semblait plus profonde qu'elle ne le croyait. On remarquait tout de suite sur son visage un petit soupir qui montrait qu'elle souffrait. Etienne s'empressa alors de l'aider.

-Voyons jeune fille, ne soit pas pressé, je sais a quel point tu es robuste, mais quand même, repose-toi un peu ! Le médecin arrivera bientôt !

Kiba souffla un moment, retira son capuchon qui couvrait 3/4 de sa tête, laissant apparaitre mieux son visage... Il enleva son manteau, pris une petite bouteille qui contenait un onguent réparateur...

"Laisse, je vais la guérir, ce médecin prend trop son temps, elle n'aura plus une goutte de sang si ca continue...."

Sans se soucier des avis, il placa l'onguent, refit le bandage en le serrant un peu plus...

"Voila se sera mieux... Tu peux rester 3heure 30' environ comme ca... Au fait, mon nom est Kiba Wolf's... J'ai oublier de me présenter..."