Tosya
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Lorsque une ancienne légende ressurgit du passé...
 
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 Représailles dans une auberge ...

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Shiraku Kenseï




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MessageSujet: Représailles dans une auberge ...   Représailles dans une auberge ... Icon_minitimeLun 3 Aoû 2009 - 1:14

Cela faisait plusieurs jours déjà que le jeune Shiraku arpentait une route conduisant à Dénaros, la plus grande ville du royaume d‘Alsaria. L’avantage qu’il trouvait à être un vagabond était sans nul doute la liberté, même si les habitants de la cité n’en étaient pas privés eux aussi. Mais étant donné qu’il n’avait pas de domicile ni de bien en sa possession, il n’était pas tourmenté à l’idée de s’en défaire. Le jeune homme pouvait donc aller et revenir à sa guise. Au bout de quelques minutes il put enfin apercevoir, non loin de là, la fumée que dégageaient les maisonnettes avoisinant Dénaros. Elles n’étaient pas un grand nombre, pas assez pour former un village en tout cas. De loin, Shiraku pu s’apercevoir que l’une d’entre elles était légèrement plus grande que les autres. L’auberge, peut être ? Cela faisait un bon moment qu’il n’avait plus dormit dans un lit douillet. Mais ce qui lui manquait le plus, c’était l’odeur de la nourriture mélangée à celle de la bière… Il ne se freina pas pour autant, car il désirait continuer son chemin pour ne s’arrêter que lorsqu’il aurait atteint la ville.

Finalement, il n’eut pas à marcher bien longtemps pour atteindre les remparts de la cité, ou étaient postés plusieurs gardes très attentifs. Ils jetèrent un mauvais regard au vagabond lorsqu’ils virent le sabre de celui-ci, mais le laissèrent tout de même passer sans l’interpeller. Lorsqu’il s’engagea finalement sur la ruelle principale, il eut un aperçu de la grandeur de la ville : le château, pourtant si loin, était très visible même de là ou il se tenait. Plusieurs personnes le bousculèrent par inattention, s’excusant aussitôt même, mais ignorés par Shiraku. Les yeux toujours rivé sur l’immense construction, il fut néanmoins attiré par une bâtisse beaucoup moins prestigieuse que la précédente, mais qui était pour lui sans doute plus importante. C’est avec un sourire triomphal qu’il se dirigea vers l’auberge qu’il venait d’apercevoir. Lorsqu’il fut finalement à quelques pas de la porte, celle-ci s’ouvrit avant qu’un homme ne soit éjecté devant lui.

« Tiens, tu réfléchiras deux secondes désormais avant de t’en prendre à moi … Abrutis ! », et la porte se referma. D’un air bête, Shiraku passa sa main dans ses cheveux et regarda l’homme au sol.

« Pas très costaud comme gars, on dirait … M’enfin, l’autre avait l’air plus robuste. »

Il poussa la porte sans attendre un instant de plus, et après que celle-ci ait émit un grincement strident, il s’avança de quelques pas, faisant tourner certaines têtes dans sa direction. La taverne était bruyante. Les tables étaient presque toutes déplacées vers le milieu de la pièce principale, et les personnes y étant installées devaient être des soiffards … Rien de bien rassurant.

« Aubergiste ! Prépare-moi quelque chose à manger, je meurs de faim. Réserve-moi une chambre pour la nuit … Et ne t’inquiète pas, malgré mon apparence, j’ai de quoi payer. »

« Très bien, tu désires manger quelque chose de particulier ? »

« Donne-moi simplement de quoi me rassasier de plusieurs jours de marche. »


« Entendu ! »

Dés que l’aubergiste fut partit, Shiraku déposa ses deux pieds sur la table et plaça ses mains derrière sa tête, dans une position plus confortable histoire de piquer un somme. Mais il fut vite perturber par un homme, un homme plutôt trapu mais semblant ne pas avoir bien plus d’intelligence qu’une huître.

« Eh toi … Tu ne chercherais pas un peu les embrouilles avec ton sabre ? »


L’homme mit une main dans sa poche, en sortit une pièce et la lâcha de sa hauteur sur le sol. Il souri, un sourire qui le rendait particulièrement répulsif.

« Ramasse la pièce, veux-tu ? »

Fier de lui ! Il était fier de son geste d’imbécile. Il en souriait encore plus, et ses camarades ne tardèrent pas à faire de même. Ensemble, ils rirent de la situation grotesque dans laquelle Shiraku semblait être. Le vagabond se leva alors, s’abaissa près du sol et attrapa la pièce, accompagné dans ses gestes par les rires de plus en plus lourds.

« Merci merci ! C’est très sympathique de ta part de payer à ma place. »


Le jeune homme déposa, sur de lui, la pièce sur sa table et parla à voix haute.

« Ne te dérange pas, Aubergiste ! Je crois que je vais trouver un autre endroit pour dormir. »

Avec un sourire arrogant, il se dirigea vers la porte, saisit la poignée, mais avant qu’il n’ait pu faire un geste de plus, un couteau de lancer vint se planter dans celle-ci.

« Attend, reste ici. Tu crois que je vais te laisser partir comme ça après ce que tu viens de faire ? »


Les autres hommes se levèrent, le fixèrent tous, et avancèrent d’un pas.

« Je pense que tu va regretter d’avoir fait ca ! »
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MessageSujet: Re: Représailles dans une auberge ...   Représailles dans une auberge ... Icon_minitimeLun 3 Aoû 2009 - 3:56

L’armure d’Hikiwa reluisant dans les reflets que le bénéfique soleil qui semblais bientôt vouloir se coucher après ses nombreuses heures et c’était pourtant dans cette heure étrange que le ciel et le soleil ne semble que faire un. C’était l’heure que le crépuscule laissait place à la nuit.

Il était déjà une heure avancé au temps que normalement qu’il serait chez lui, la journée avait été quand même pénible, comme à l’habitude, Hikiwa devais patrouiller la ville de font en combe pour aidez les nombreux voyageurs et citoyens. Il voulait terminer sa semaine et débuté ses congés avec l’habituel hydromel. Pourtant, sur sont chemin il remarqua une petite auberge, qui était fort différent de celui qu’Hikiwa allais d’habitude, la bâtisse semblais quand même endommagé par ce qui semblais des briguant ou voir même le fait qu’ils ne fassent pas assez de revenu. La maisonnette d’environ la même largeur qu’une maison dans le quartier pauvre, ne semblais pas très accueillante effectivement. Mais, Hikiwa avais l’impression que si il devait manger à sa faim et boire jusqu’à se saouler se serais dans un endroit ou les propriétaires pourrais en profiter. Il retira sont heaume qui l’intérieur était mouillé par la sueur de cette très chaude journée d’été, il plaça celle-ci sous sont épaule et utilisa sont autre main pour pouvoir entre ouvrir la porte. Une odeur de ragout et de vin blanc embaumait la pièce. Il continua à ouvrir la porte grandement quand tout-à-coup un son assourdissant frappa le bois à gauche de la porte.

C’était une dague qui avait fracassé avec force la porte, est-ce que Hikiwa était la cible ? Il pouvait voir ricané un groupement hommes et à sa gauche un étranger, probablement un visiteur, sinon un mercenaire. Hikiwa entra dans la pièce et tout le monde se tue. Tout le monde dans la salle savait qui Il était et ses exploit. Néanmoins, la réaction la plus surprenante était celle des hommes qui était tous levé, leurs regards était remplis de peur et de haine. Hikiwa prit sont courage à deux main et voulu élever la voix pour exiger des réponses aux gestes des minables de la table. Mais à la place, il regarda l’étranger dans les yeux et demanda :

« Citoyens, est-ce qu’il y a un problème ici ? »
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Mélora N’ha Shaya
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MessageSujet: Re: Représailles dans une auberge ...   Représailles dans une auberge ... Icon_minitimeLun 3 Aoû 2009 - 21:03

Dénaros, ville de tout et de rien, enfin. La convergence de tout les commerçants, des inventeurs, des penseurs, des riches, des âmes perdues ou extravagantes, des désœuvrés, de ceux qui avaient quitté le non-lieu de la campagne dans l’espérance de trouver une vie meilleure dans l’urbanité. Des fous aussi, qui n’avaient plus rien à croire et plus de certitude. Les êtres étaient tels qu’ils avaient besoin de convictions pour vivre, ou ils étaient plus démunis que le plus pauvre des orphelins. Et alors, ils étaient prêts à croire à n’importe quoi, à comprendre plus largement ce qu’on leur disait, pour sortir de cette existence sans buts ni raisons. Parmi ce quidam, il y avait Mélora qui cherchait à redécouvrir ce qu’était l’activité de cette faune. Oh bien sur elle n’avait eu que l’embarras du choix pour la ville à découvrir. Mais sa curiosité l’avait poussé vers Dénaros, la grande, la belle, celle dont ses souvenirs d’enfant était jalonné d’allusion.

Journée jalonnée d’allée et venue dans ce lieu, plein d’observation attentive. Gravant, redécouvrant cela dans sa mémoire. Les ruelles coïncidaient parfaitement à l'imagination de la pauvre existence. Des pavés beaucoup moins lisses, couvraient inégalement les différents chemins, et des gens longeaient l'ambiance chaleureuse d’une fin d’après midi.
Des enfants. Ils courraient, gazouillant avec joie comme les oiseaux du paradis. Les marches glissantes ne les inquiétaient nullement, après tout ils ne faisaient que jouer. Ces insouciantes petites âmes dévalaient les vallées de pierre avant de passer devant Mélora, enveloppée pour l’heure dans sa mante, capuche rabattues sur son visage, lui permettant ainsi d’observer tout son saoul les lieux. Ces petits bouts de chou faisait sourire Melo, son regard se voilant quelque instant, son esprit errant de ci de là.

Mouvement brusque du visage, sortant de cette douce rêverie. Marche qui se reprend et dura ainsi de suite toute la journée, exténuée par cette déambulation, la jeune fille décidait de s’assoir un moment puis il serait temps d’aviser pour trouver de quoi se nourrir. Pourquoi pas une taverne ?

Son regard se baladant sur l’étendue qui l’entourait. Les yeux de la poupée appréciaient, sans le dire, sans l’exprimer d’aucune sorte, ce dégradé de teintes chaude et envoutante, ce camaïeu au goût divin. Les murs grenat de la muraille, les eaux vermeil de l’eau rependue sur les galets, les quelques nuages pâlis par la lumière, les collines couleur terre qu’on entre apercevait au loin,… tout, absolument tout, se mariait sous le regard chaleureux du soleil couchant. Seul au regard des gens la tenue de Mélora, offraient un contraste dénaturé, comme s’il avait tenu à souligner l’étrangère qu’était la jeune femme dans cette ville. Cette douce quiétude sera brisé par des cris typique de personne ayant bu plus que de leur compte, qui dit personne saoul dit lieu où on peut s’abreuver et manger un bout.


« Et bien allons-y ! »

La journée chaude prenait doucement congé dans la solitude du paysage. C’est sous cette heure qu’elle avançait, laissant les cris guider ses pas jusqu’au lieu de son envie. Et quel ne sera pas sa surprise, quand devant la porte de l’auberge elle verra un homme des plus imposants. Ses yeux s’écarquillant de surprise mais celle-ci fut de courte durée car l’attention de la jeune femme fut attirée par l’agitation qui se trouvait au-dedans de la taverne. Un pas et puis l’autre, les derniers de son avancée, se glissant discrètement sur le côté gauche du géant, observant les lieux. La voix du chevalier s’élèvera alors brisant le tumulte ambiant.


« Citoyens, est-ce qu’il y a un problème ici ? »

En tout cas si la présence des plus imposante du chevalier n’avait pas calmé quelque instant du moins l’assistance, les paroles de celui-ci eurent l’heureux succès de rendre stoïque quelque centième de seconde la bande de soiffard qui avait prit l’homme blond pour bouc émissaire. Profitant de cette brève accalmie Mélora, passa son minois par la porte, sa curiosité la poussant plus en avant. Elle qui voulait quelque chose d’intéressant pour lui changer de son ancienne vie, elle était servie sur un plateau d’argent…


« D’accord…. »


Laissera-t-elle échapper dans un souffle, doux murmure qui se perdront dans le brouhara ambiant.
Moment d’étonnement qui passait, regard qui examinait cette assemblée des plus folichonnes, sourcils qui s’élevaient légèrement fasse au dépit que ces êtres lui inspirait. Les arbres sont eux aussi immobile mais mille fois plus beaux et intéressant…. C'était affligeant de voir comme l'alcool pouvait rendre sot. Les moribonds du bar s'égosillaient dans leur rire, rire qui avait été provoqué par l’intervention des autres protagonistes de la situation. Les saoulards trop abrutit par leur consommation quotidienne pour se rendre vraiment compte de la situation dans laquelle ils se trouvaient. Car a vu de nez le chevalier qui se trouvaient à son côté faisait respecter l’ordre dans cette ville.



« Tien on lance des couteaux maintenant dans les tavernes ? Je pensais que le lancer de chaise était l’activité la plus commune dans ce genre d’endroit »
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MessageSujet: Re: Représailles dans une auberge ...   Représailles dans une auberge ... Icon_minitimeMar 4 Aoû 2009 - 0:10

Des rires, des cris, de bruyantes conversations, une forte d'odeur d'alcool, le son des verres brutalement posées sur les tables, le son des verres se remplissant, le son des verres glissant le long du comptoir, le son d'un verre qui se brise; l'auberge de ce village avoisinant Dénaros avait, certes, de l'ambiance mais c'était plutôt une ambiance de folie. Il n'y avait aucune femme digne de ce nom. Celles qui étaient présentes sur les lieux étaient les femmes les plus stupides qu'on n'ait jamais vu, à part la femme de l'aubergiste. Même les filles des vieux villageois du coin affichaient un charme plus attirant, plus intéressant, moins provoquant.
Au centre de la pièce, un groupe plutôt élevé d'hommes avait réuni des tables et des chaises pour profiter au mieux de leur confort. Ils semblaient tous être dans le même sac hormis quelques-uns. Ceux qui ne faisaient pas parti de ce lot étaient répartis sur les côtés, sur les rares tables qui restaient encore libres. C'était le cas d'un jeune homme aux cheveux blonds et aux yeux verts, portant sur lui une cape de voyage jaune comme le sable du désert. Il s'appelait Dante Kyoshai et était membre de l'organisation des Mercenaires.

En effet, cela faisait quelques jours qu'il était en route pour Alsaria. Au départ, il s'était installé en toute "légalité" dans un convois de marchandise avant d'être découvert et éjecté par dessus bord. Peu après, il avait fait connaissance d'Ashitaka Kyuushi, un jeune chasseur et cavalier, qui eut le noble geste d'emmener Dante jusqu'à la prochaine taverne qu'ils croiseraient. Quand il aperçut alors les hautes murailles ainsi que les hautes tours de la cité de Dénaros après avoir dépassé les derniers arbres du bois de Moniek, un sourire de satisfaction s'était dessiné sur les lèvres du jeune Mercenaire. Il allait enfin pouvoir profiter d'une bonne nuit de sommeil. Cependant, son regard s'était planté sur la quantité invraisemblables de villages, d'hameaux, de cottages, entourant les fortifications de la cité. Son sourire avait alors disparu aussi vite qu'il était apparu. Sa déception étant immense, il poussa un cri de désespoir, oubliant la présence d'Ashitaka ainsi que du cheval de ce dernier, qui leur valut une pluie de flèches de la part des fermiers qui s'étaient entrainés au tir à l'arc pour éloigner les loups de leur bétail. Ils s'en sortirent néanmoins avec chance.

Arrivés dans le premier village après quelques temps, dans la fin de l'après-midi, Dante et Ashitaka trouvèrent l'auberge du coin. Celui-ci était encore vide, calme, silencieux et ils n'eurent aucun problème à commander de quoi boire et manger. Le jeune homme aux yeux verts remercia ensuite son compagnon de voyage pour sa générosité avant de s'installer avec son repas.

Ce fut une heure plus tard que ces ivrognes arrivèrent, accompagnés de quelques demoiselles complètement folles et dingues qui gloussaient comme des dindons qu'on égorgeait. Ces hommes rassemblèrent ensuite un grand nombre de tables encore inoccupées et festoyèrent sans doute une nouvelle fois de plus.
La nuit commençait à tomber tandis que la taverne se remplissait de plus en plus. Malgré l'ambiance, Dante restait silencieux et surtout attentif. Il n'avait pas vraiment envie de se faire voler dans cette auberge. Il avait déjà remarqué les regards hostiles que lui portaient la plupart de ces hommes qui ressemblaient à des bandits quand il avait baillé et, avec le mouvement de son dos, avait fait "trembler" son épée. Cependant, ils n'osèrent pas le déranger pour le moment et s'occupaient plutôt à s'enivrer et à rigoler comme des hyènes. On assistait parfois à des disputes autour d'une table où on pariait les jeux de cartes et autres jeux de hasard. L'une de ces disputes tourna à la bagarre. N'ayant pas vraiment eu la volonté d'écouter ce qui se passait, Dante avait entendu une sorte de problèmes d'argent entre deux de ces malheureux personnages et avait soudain entendu un
"RENDS-MOI MON ARGENT !" puis le son d'un verre qu'on brisait contre le visage de quelqu'un. Ce quelqu'un était cependant beaucoup plus fort et avait dégagé l'autre client hors du bâtiment. Ce petit spectacle fit rire tous les autres, se moquant de celui qui venait de se faire laminer.

Quelques secondes plus tard, un jeune homme aux cheveux blonds, oui, des cheveux blonds comme Dante, entra à son tour. Il commanda à manger et demanda à ce qu'on lui offre une chambre. Ensuite, un homme plutôt trapu le dérangea, le ridiculisa devant tous les autres qui s'amusaient et explosaient comme des chacals. Néanmoins, le jeune homme fit belle figure face à cette agitation et préféra même être dans une autre taverne plus tranquille et avec une ambiance plus paisible.

Cependant, à peine eut-il touché la porte que celle-ci s'ouvrit en même temps qu'une dague fut envoyée d'on ne sait où pour se planter dans le bois de l'ouverture. Un homme en armure, sans doute un représentant de l'ordre, venait lui aussi d'arriver, son heaume ôté pour être placé sous son bras, ses cheveux blonds arrivant un peu plus bas que sa nuque, son regard habitué à des situations comme celle-ci. Il gardait son calme et demanda d'une voix qui se voulait sûre au jeune homme s'il n'y aurait un problème. Les clients de la taverne qui s'étaient levés après avoir menacé le vagabond se calmèrent comme pris sur le fait. L'expression de leurs regards était partagée entre la peur, la surprise, la haine. Malheureusement, il n'y avait qu'un seul chevalier face à toute cette horde.


*Soupir* *Je sens que ça va chauffer dans pas longtemps...*

Dante s'était lui aussi levé, non pas pour la même raison que tous les autres imbéciles, mais il devait au moins prêter main forte au jeune homme qui lui ressemblait un peu et qui n'allait sans doute pas survivre s'il se faisait pièger et tabasser par ces brutes. L'arrivée d'un chevalier le rassura légèrement mais cette assurance fut oubliée quand il remarqua que tous les autres fixaient le représentant de l'ordre comme une cible à abattre sur-le-champ.

Soudain, passant par la porte, juste derrière l'homme en armure, les yeux de Dante se posèrent sur un miracle de la vie qui attira son attention, plus que tout ce petit spectacle. Une jeune femme, une jeune demie-elfe plutôt, de son âge venait d'arriver et examinait les alentours. Elle était assez petite à côté du grand soldat et elle paraissait si fragile, si douce. Ses cheveux noirs, bouclés, tombaient avec élégance le long de son dos jusqu'à ses reins tandis que ses beaux yeux bleus envoutaient quiconque croisait son regard. Elle était très belle, tout simplement, et Dante remarqua bien évidemment qu'il n'était pas le seul à l'avoir remarquée. La plupart de ces idiots qui la soutenaient du regard bombaient le torse d'un air important et mon personnage aurait juré en avoir vu un qui tentait vraiment de la déshabiller du regard.

Elle parla ensuite d'une belle voix.


Tien on lance des couteaux maintenant dans les tavernes ? Je pensais que le lancer de chaise était l'activité la plus commune dans ce genre d'endroit.

Personne ne sembla prononcer un mot parmis la foule de ces barbares. Dante s'aperçut que le silence était assez inquiétant. Ses yeux parcoururent toute la pièce : l'aubergiste n'était plus là. Quelle était donc cette ambiance ? On aurait dit que les choses allaient prendre une tournure désagréable, autant pour le chevalier que le jeune homme et la jeune femme.

*Tiens ? Qu'est-ce qu'il fait lui là ?*

Un homme vêtu de noir sortit discrètement de sa poche un couteau. Etait-ce donc ce type-là qui a jeté la dague de tout à l'heure ? Et il allait à présent tenter d'assassiner le chevalier ? A cette pensée, le Mercenaire qui faisait son devoir surgit dans la personnalité de Dante. La confirmation de son mauvais pressentiment était enfin arrivée : le mystérieux personnage brandissait le poignard, bien caché derrière la foule.

BAISSEZ-VOUS !!!

Dante avait averti les trois personnages qui se tenaient près de la sortie mais il n'eut pas le temps d'agir pour arrêter le brigand avant qu'il ne jette son projectile. Il espérait intérieurement que le chevalier et le vagabond et la demie-elfe n'aient été blessés par la lame de ce nouveau couteau. De son côté, plusieurs regards furieux s'étaient tournés vers lui et il attrappa alors sa bouteille d'hydromel et la lança sans attendre sur le crâne du lanceur de couteaux. La bouteille le frappa en plein visage et se brisa tandis que, assommé, il tomba à terre avec un grognement de douleur. Les autres regardèrent leur "ami" tomber à plat ventre, créant un trou dans la foule, puis ils tournèrent tous, absolument TOUS, leurs regards vers le jeune Kyoshai. Une voix misérable et pleine de rage retentit.

Tu vas le payer !!!

Quelques-uns se dirigèrent vers Dante tandis que les autres continuaient de fixer le chevalier et les deux autres clients, se méfiant de chacun de leur geste face à cette délicate situation. Quant au Mercenaire, il avait encore deux issues de secours possibles : une fenêtre et une porte menant dans les cuisines. Sinon, il allait devoir se frayer un chemin nécessairement par la force.
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Shiraku Kenseï




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MessageSujet: Re: Représailles dans une auberge ...   Représailles dans une auberge ... Icon_minitimeMar 4 Aoû 2009 - 15:57

La dague c’était enfoncée dans la large porte en bois, à quelques centimètres du visage de Shiraku. Pourtant, il ne changea pas d’expression, sourire au visage et toujours fier de la façon dont il avait ridiculisé cet homme. Pourtant, le jeune homme savait très bien qu’il n’aurait pas, de lui-même, réussit à esquiver cette dague si le lanceur avait été plus précis. Malgré tout, ce genre de situation lui était plus que familière. Il déposa sa main sur la poignée de son sabre, mais fut interrompu par l’arrivée d’un géant en armure. Un silence s’imposa alors, tous les regards étaient portés sur cet homme … Des regards sombre, haineux. Ce dernier tourna la tête en direction de Shiraku, et demanda s’il y avait un quelconque problème dans cette auberge. C’était une question inutile, la situation parlait d’elle-même. Au même moment, une tête se faufila discrètement sur les cotés du grand homme, pour observer la scène … C’était, cette fois ci, une charmante demoiselle … Elle était sans aucun doute plus jeune que lui, et c’était une très jolie jeune femme. Le vagabond n’écouta pas ce qu’elle avait à dire, son visage c’était dirigé vers un homme aux habits sombres, sortant de sa poche un couteau de lancer.

*Ces gars … Je sens qu’on va devoir se battre !*

« BAISSEZ-VOUS !!! »

Le lanceur de couteaux ne prit pas le temps de viser, il lança son arme en direction des deux hommes et de la jeune femme. Shiraku s’abaissa au bon moment, laissant le couteau percuter l’armure de l’homme derrière lui. Tout les hommes présents, aussitôt, ravalèrent leur salive et reculèrent d’un pas. Ce geste était pour lui comme un signal de départ, et il n’attendit pas avant de poser sa main sur son sabre, prêt à le dégainer.

*M’ouais … Avec un chevalier d’Alsaria derrière moi, il ne vaut mieux pas que j’en fasse trop …*

Ainsi, il rangea son arme légèrement sortie du fourreau, et soupira. Il s’abaissa au niveau du sol et saisit le couteau, avant de le relancer à quelques mètres, devant la bande de poivrots.

« Bande d’idiots … Vous avez de la chance que cet homme soit entré ici, sinon je n’aurais fais qu’une bouchée de vous. Au plaisir de vous revoir ! »


Shiraku fit un discret signe de la main en sortant de l’auberge, sans regarder le chevalier en armure ni la fillette qui étaient entrés ici il y a quelques instants. Le jour avait totalement disparut, la lune était haute dans le ciel, et les étoiles n’allaient pas tarder à faire leur apparition.

« Et voila, moi qui pensait dormir au chaud cette nuit, j’ai été servis. Bah … Une soirée de plus passé à dormir à la belle étoile ! Finalement, ça ne peut pas me faire de mal. Je pense que je devrais éviter les tavernes des capitales, ça ne m'apportera que des ennuis ...»


A ces mots, il se remit à marcher à un plus grand rythme, sans doute à la recherche du "bon coin", d'un endroit idéal pour s'endormir.
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MessageSujet: Re: Représailles dans une auberge ...   Représailles dans une auberge ... Icon_minitimeMar 4 Aoû 2009 - 16:27

Le vagabond avec le sabre qui pendouille lâchement à ses côté s’avais abaissé pour ne pas recevoir le projectile, ce qui avais pour effet d’avoir Hikiwa comme seule et unique cible, pourtant c’était la nuit, l’éclairage était tellement faible qu’il ne pouvait absolument rien distingué dans tout cette obscurité. C’était quelque seconde qu’il devait absolument mettre à arrêter la dague… Il avait quand même peur, mais c’était comme cette nuit… Avec le mercenaire Rennac.

C’était quelque années avant qu’Hikiwa embarque comme chevalier, c’était lorsqu’il était une recrus. Rennac désirais partir de l’ordre des chevaliers, devenir un mercenaire car l’ambiance était trop stressante, il n’a pas la liberté de dormis quand il désire. Hikiwa trouvais cette acte incroyablement stupide de sa part, c’était un manque de volonté, Rennac avais toujours été le meilleur de toutes les recrus du royaume. Pourtant, ses yeux remplit d’espoir vis-à-vis à l’explore le vaste monde qui s’offrais à lui. Le désire de s’enrichir qui l’animais à refusé ses droits et privilèges. Hikiwa refusa pourtant de laisser, à l’époque, sont ami partir, il lança un défit à Rennac, s’il était capable de le vaincre à un duel un contre un. Rennac accepta, il dégaina une hache de sont dos et Hikiwa, lui agrippa de toutes ses forces au manche de la Claymore qui pendouillais dans un étui dans sont dos. C’était, très tard le soir au sommet d’un baraque de la milice de la ville qu’à l’époque ils avaient été envoyé en stage.

Ils échangèrent plusieurs coups avec une passion pour leur combat, mais c’est malgré l’avantage que Rennac avais d’avoir une arme moins lourd que celle d’Hikiwa, il n’avait pas le dessus sur sont ami. Rennac était prêt à tout pour suivre ses rêves, ce n’était pas le manque de foie qui ne l’animais pas et c’est dans un geste de euphorie totale qu’il dégaina une dague et la lança vers la poitrine d’Hikiwa, mourir pour ses rêves.
C’était l’un de ses moments ou le temps fige. Hikiwa ne pouvais qu’entendre le bruit perçant de la dague qui pourfend l’air elle-même… Il pouvait le sentir, la dague allais foncer dans sont abdomen, quel idée de ne pas avoir mis sont armure. D’un geste de chance il tourna sur lui-même et pouvais sentir la lame de la dague laisser une épaisse fente dans sont dos. Hikiwa tomba sur le sol sur ses jambes, la douleur était tel qu’il laissa tombé sont arme bruyamment sur le toit de la baraque, mais celle-ci accrocha l’œil de Rennac et il poussa un grand cri. Ce qui avais probablement alerté les recrus. La vision d’Hikiwa était floue par vaste moment, jusqu’à temps qu’il s’effondra sur le sol.


À son réveil, il apprit que Rennac avais parti de la ville et déserté les chevaliers. Mais, Hikiwa avais appris que les dagues pouvais être un atout clef dans un combat et depuis se jour maudit, il s’avait entrainé pendant des semaines à pouvoir arrêter une dague en plein vole, cela avais résulté à une quantité énorme de blessure aux jambes, dos et mains.

Autant d’années avais passé, ce déshonneur qu’il avait subit d’avoir laissé sont ami gâcher sa vie pour aussi peu que l’envie de l’aventure, c’était comme avant, il doit absolument arrêter le projectile. Mais, il y’avais si peu de temps, dans un mouvement de pure folie, qu’il essaye le tout pour le tout encore, il pivota sur lui-même et senti la lame percuté sa Claymore qui était là dans sont dos. C’était de la chance d’avoir arrêter un projectile avec cette arme. Pourtant, il vu que la dague retomba sur le sole. Mais, Hikiwa était désormais fâché, c’était un de ses moments ou Hikiwa n’a pas peur d’affirmé ses émotions, il balbutia un peu au début, mais se repris et arrêta d’être nerveux.

« J’octrois que la totalité des citoyens reste debout, nous allons faire un arrêt temporaire de toutes les festivités qu’il occlurait dans cette auberge de fortune... »

Le jeune vagabond prit le couteau et le lança sur la table des mécréants qui avais causé tout cela, puis parti par la route de la porte, avec toujours la première dague planté dans le cadrage puis il se parlait à lui-même en contemplant le ciel étoilé.

« Bande d’idiots … Vous avez de la chance que cet homme soit entré ici, sinon je n’aurais fais qu’une bouchée de vous. Au plaisir de vous revoir ! »


« … Nous allons aussi faire un petit interrogatoire pour savoir les coupables, même si nous avons plusieurs témoins oculaire. »

C’était calme, tout le monde dévisageais le groupe d’ivrogne dans le coin. Hikiwa avança dans la pièce avec des lent pas, qui fessaient vibré et sonné l’armure dans toute la pièce et regarda fixement l’homme à la capuche noir et les autres ivrognes. Pourtant, Hikiwa était sincèrement attristé d’avoir gâché la soirée à tous les civiles et il espérait qu’ils pouvaient bien comprendre ce qu’il était arrivé. Il songea qu’il allait probablement payer une boisson à tous les citoyens.

Le jeune vagabond… Pourquoi quitte t-il ses lieux, a-t-il quel que chose à se reprocher de toute façon? S’il il s’avérais qu’il ait un rôle supérieur à n’être qu’un provocateur, se ne serais pas long qu’Hikiwa lancerais un manda d’arrêt à travers tout Alsaria.
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Mélora N’ha Shaya
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MessageSujet: Re: Représailles dans une auberge ...   Représailles dans une auberge ... Icon_minitimeJeu 6 Aoû 2009 - 15:46

[là voilà la réponse, désolé pour l'attente ]



Lorsque ses paroles s’évadèrent de ses lèvres, elle ressentit plus qu’elle ne vit les caresses intrusives, portées à son attention, des regards de la gente masculine présente en ce lieu. Bénissant en elle-même la bonne idée qu’elle avait eue de garder sa cape, celle-ci étant assez évasée masquait le plus gros de sa silhouette. C’est vraie, elle ne l’élargissait pas d’un Yota, lui donnant un air plus élancé, mais masquait ce qu’il fallait au regard indiscret. Laissant leur imagination faire ce qu’il voulait de ce qu’il voyait. En somme pas grand-chose mis a par le visage. Mais même si elle était un temps soi peu à l’abri, ce type d’attitude l’ulcérait. Bien sur on peut détailler une nouvelle personne, s’imprégner de sa personne, mais cela dans une mesure de politesse que la majorité des gens présent semblait totalement dépourvu.
Poing qui se referme, poigne qui se ressert sur elle-même, jointures qui blanchissent sous la pression exercée.
Elle ouvrit la bouche légèrement pour dire sa manière de penser...Mais aucun son ne renforça le champ infranchissable, entre ses lèvres et l'atmosphère. Quelqu’un l’avait devancé dans son expression, coupant son élan d’humeur. Faisant l’effet, pendant quelque centième de seconde, d’un poisson qu’on a sortit de l’eau.


« BAISSEZ-VOUS !!! »


A l’entente de ces deux mots, le premier réflexe de la demi-elfe sera d’écouter les exhortations du second blondinet du groupe. N’attendant ni une, ni deux. Elle se baissera. Articulations des jambes qui se plient pour finir leur course au sol, haut du corps qui s’abaisse prenant appuie sur les genoux, dos qui se courbe. Ses fines mains de chaque côté d’elle pour maintenir une certaine forme de stabilité.
Boucle nocturne qui suivent le mouvement, mèches folles qui viennent faire une dance sur le visage de Mélora. Regard qui se redressera à temps pour voir la fin de la scène : Le chevalier, ce géant, qui se retourne pour parer le lancer de couteau avec son épée. Astucieux dans son genre, mais pas pratique car s’il avait été sans armure et pas assez rapide cela aurait pu lui couter très cher.
Les paroles d’Hiki résonnèrent alors dans la salle, pleine de colère contenue. Maintenant alors un silence presque total sur cette assemblée d’ivrogne, seul quelques uns ricanaient bêtement ne réalisant pas toute la portée qu’avait cette situation.



« J’octrois que la totalité des citoyens reste debout, nous allons faire un arrêt temporaire de toutes les festivités qu’il occlurait dans cette auberge de fortune... »

« Restez debout, restez debout faudrait qu’on soit tous debout….. »


Murmura-t-elle légèrement pour elle-même. Tout se redressant de toute sa petitesse, pas bien grande mais quand même il y avait une différence entre elle à genoux et elle debout. Ses doigts effleurant le bois du mur de l’auberge, doux frottement au touché, moyen comme un autre de retrouvé ses repaires. Sur ces entre fait, le bouc émissaire de l’origine de cette histoire passa à côté d’elle, disant dans sa « barbe » des phrases typiquement masculine…

« Bande d’idiots … Vous avez de la chance que cet homme soit entré ici, sinon je n’aurais fais qu’une bouchée de vous. Au plaisir de vous revoir ! »
« … Nous allons aussi faire un petit interrogatoire pour savoir les coupables, même si nous avons plusieurs témoins oculaire. »

« Pardon ? …. »


Regard qui s’agrandit sous la surprise des paroles, paupières qui battent rapidement. Mais avant que toute la teneur des paroles du sire ne pénètre dans son cerveau, une autre pensée germa dans son esprit. Pourquoi l’homme quittait il ainsi l’auberge ? C’était stupide, maintenant que le trouble était passé il ne risquait plus rien !
D’un mouvement vif partant de sa taille, la jeune fille fit un demi-tour sur elle-même. Allant vers l’étranger.


« Et voila, moi qui pensait dormir au chaud cette nuit, j’ai été servis. Bah … Une soirée de plus passé à dormir à la belle étoile ! Finalement, ça ne peut pas me faire de mal. Je pense que je devrais éviter les tavernes des capitales, ça ne m'apportera que des ennuis ...»

Main qui se pose sur l’épaule de celui-ci, regard qui l’observe quelque peu.

« Restez ce serait idiot de partir alors que la tranquillité est assurée vu que le chevalier s’occupe de cette histoire. »
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MessageSujet: Re: Représailles dans une auberge ...   Représailles dans une auberge ... Icon_minitimeVen 7 Aoû 2009 - 14:34

Les hommes s'arrêtèrent nets quand ils entendirent l'annonce du représentant de l'ordre. Rassuré par cette intervention, Kazuya exprima un léger sourire narquois puis il s'adossa contre le mur. L'homme en noir allait être pris sur le fait ou du moins, quelqu'un allait reconnaître le coupable. Cependant, il s'aperçut que le bouc émissaire de tout à l'heure avait quitté l'auberge après avoir lancé quelques répliques aux clients de cette taverne avec orgueil et arrogance. Néanmoins, la jeune femme aussi venait de sortir, sans doute pour rattrapper ce jeune homme aux cheveux blonds, sous les multiples regards qui s'étaient collés à elle.
Le Mercenaire se réinstalla sur sa chaise, auprès de la même table que tout à l'heure, et attendit avec patience ce qui allait se passer ensuite. Il était clair que la bande des ivrognes allait prendre chère, ou non, selon l'indulgence du noble chevalier qui s'était avancé, son armure faisant un bruit métallique et mécanique à chacun de ses pas. Dante le fixa un bref instant puis il ferma les yeux, se balançant sur sa chaise avec lassitude. Pour une fois qu'il n'avait pas à se mouiller dans cette affaire, pour une fois qu'il pouvait se reposer et laisser son statut de Mercenaire dans un petit coin sombre de cet établissement, il était assez satisfait de sa soirée, riche en évènements et en rebondissements. Malgré cela, il gardait toujours un oeil sur les environs. Les membres de l'organisation agissaient toujours dans l'ombre, sans que quiconque ne s'aperçoive de leurs actions. Enfin... C'était plutôt raté sur ce coup-ci mais cette situation était banale comparée à certaines autres beaucoup plus délicates et plus importantes. Caressant le fourreau de son épée comme s'il le nettoyait, ses yeux verts parcouraient le bar et les tables du coin, examinant chacun des clients. Le silence venait d'être à son comble.

Le plus drôle dans tout ça était qu'il était le seul assis alors que tout le monde était debout. Dante n'avait même pas remarqué cela, il avait remarqué le grain de poussière dans les yeux des autres mais n'avait pas remarqué la poutre sur sa rétine. Quoi qu'il en soit, il choisira de se lever le moment venu. Il n'était pas vraiment pressé et, après tout, il n'avait absolument rien à voir avec cette histoire mis à part qu'il avait presque assommé l'homme en noir.

Les autres clients de l'auberge qui n'avait eux non plus rien à voir avec cette affaire murmurait entre eux et on voyait bien qu'ils étaient sidérés, lassés, qu'ils en avaient un peu marre de leur soirée gâchée par cette intervention. Néanmoins, Dante pensait bien qu'il ne s'agissait pas de la première fois de leur vie.


*Bon alors, vous renoncez déjà hein ?*

Il s'adressait pensivement aux hommes qui s'étaient approchés de lui d'une marche sinistre, hostile. Ceux-ci lui jetèrent un dernier regard glacial avant de se retourner vers l'homme en armure qui allait interroger chacun des clients du bâtiment. Il pensa hâtivement à quitter cette taverne. Mieux valait s'éloigner de cette bande de brutes qui n'avait en tête que de lui refaire la figure avec un peu de bleu par ici et du rouge par là et quelques petites déformations ici ou là. Bien entendu, il se défendrait aisément mais ilne voulait guère attirer l'attention sur lui, surtout en ces temps difficiles de conflits.
Soudain, à cette pensée, il lui vint une idée plutôt intéressante mais il fallait tout d'abord gagner la confiance de ce chevalier.


*Je sens que je vais pouvoir m'informer un peu plus par ici héhé... Au final, c'est plutôt bien pour moi d'être tombé ici.*

Il se leva alors et se dirigea droit vers la sortie où il s'adossa contre le mur, juste à côté de la porte. Si jamais le chevalier lui demandait pourquoi il comptait sortir alors qu'il procédait à l'interrogatoire, il lui répondrait par un signe bienveillant de la main avec un sourire avant de se poser contre ce même mur, près de la sortie, montrant bien qu'il n'avait point l'intention de déguerpir d'ici. Il voyait bien dans le regard du guerrier que celui-ci était bien plus indulgent que la plupart de ses congénères, au moins, c'était déjà une bonne chose. Le respect pour le respect, la courtoisie pour la courtoisie, la gentillesse pour la gentillesse, et tout allait pour le mieux et tout fonctionnait pour le mieux, autant pour les discussions que les renseignements nécessaires à sa pseudo-mission.

Après un instant d'hésitation, il tourna la tête sur le côté pour voir ce que faisait la jeune demie-elfe et aperçut qu'elle était effectivement en train de convaincre, ou de persuader, le vagabond de revenir, étant donné que l'ambiance était apaisée suite à l'entrée du chevalier. Avec un sourire niais, Dante soupira un bon coup avant de se retourner vers cette clientèle si peu disposée à lui accorder la moindre faveur dès que le chevalier sera reparti.
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MessageSujet: Re: Représailles dans une auberge ...   Représailles dans une auberge ... Icon_minitimeVen 7 Aoû 2009 - 15:38

(Shiraku Kenseï, m'a demander de poster avant lui)

L’ambiance charmante qu’avais le bar avais disparut, il était très calme désormais après l’intervention d’Hikiwa, même si les citoyens était peu courtois et cria leur désarrois et incompréhension, Hikiwa pouvais fort bien les comprendre, c’est un début de fin de semaine qui avais été pénible pour tous. Peut importe les motivations, il y a faillit y avoir des morts, ça Hikiwa ne peut totalement pas tolérer cela. La justice doit toujours avoir lieu.

Hikiwa se souvient d’une autre journée lorsqu’il était une recrût parmi les chevaliers, dans le temps ou sont ‘frère’ était toujours en 'vie'. C’était dans la campagne, ils devaient retrouver les voleurs qui avaient dérobé tous le matériel d’une auberge très fortunée de la ville de Dénaros. Rennac se sentais très mal à l’idée de chasser des voleurs pour des raisons personnel et Hikiwa ne voulais que justice parmi les infidèle de la loi. Dans se qui semblais une grotte normal, il y’avais diverse installation pour permettre à une habitation humaine. Hikiwa dégaina sa Claymore et se mis dans une position de furtivité. Les gens qui vivaient dans la grotte avais des objets très luxueux ce qui mis Hikiwa dans une rage. Mais, au fond de la grotte ils entendirent des cris d’enfants et les voleurs qui s’en occupaient fidèlement. C’était des parents et Rennac se mis à sangloter avec un regard noir et dit à Hikiwa :

- Pourquoi la justice n’a pas pitié des parents qui n’essaye que de vivre?

À ses mots, Hikiwa resta silencieux et rangea sa Claymore dans sont dos, il s’avança des parents et dû s’expliquer qu’ils avaient été démasqué et justice doit avoir lieu malgré les compliquassions qu’ils doivent avoir lieu. La justice doit toujours avoir lieu. Mais est-ce que c’était la meilleure solution? Hikiwa ne le sût jamais, mais dans sont cœur, seul les lâches se résoudre à vivres sous les mérites des autres… Hikiwa sorti de sa conscience et cria à la foule qui ne semblais pas se calmer :

« Je demande à tous les citoyens de se lever et faire une ligne droite devant moi, immédiatement. »

La foule exécuta sans trop de désaccords malgré le brouhaha de chuchotements qui fini en hurlement bien entendu, ils souhaitaient continuer leurs boissons le plus rapidement possibles, mais dans la foule, Hikiwa remarqua un jeune homme de la même âge qu’Hikiwa qui voulais s’en aller dehors, il eu un petit moment de panique sauf quand ce même homme fit un sourire et un mouvement de main pour dire qu’il ne fessais que prendre un autre appuis… Comme se vagabond et demi-elfe. Mais, un homme encapuchonné dans une robe très noir semblais se distingué le plus des autres, pourquoi Hikiwa ne l’avais pas ‘bien’ remarqué, il semblait très louche.
Après quelque minutes d’interrogatoire qui semblais sans fin et irrevalent à sa noble cause, Hikiwa allais finalement interroger un groupe de pillards qui semblais les coupables et ils étaient positif à être enclin à la loi.

- On l’a vu ! Ce n’est pas nous qui à commencer ! dit le premier lambin
- Tais-toi, Moloch ! C-c’est ce vagabond! Cria ce qui semblais le patron

Hikiwa avais enfin un coupable, mais ces minables pouvais très bien mentir… Il ne reste qu’une dizaine d’individu à interroger, ses villageois étaient tous dans la catégorie des bourgeois et étrangement, un ton de peur régnais dans leurs voix, ils furent très enclin à dire le coupable, c’était le vagabond.

Hikiwa sursauta sur place, pourquoi n’avais t-il pas garder un œil sur le vagabond, il est trop tard pour les remords, la parole des dix bourgeois était supérieure à n’importe quel étranger. C’était triste de savoir que la vie était ainsi faite. Il regarda les bourgeois qui regardaient les bons-à-rien à leur table avec un air de ravissement, mais les bourgeois ne semblaient pas heureux de leur témoignage, mais Hikiwa l’ignorais.
Il se leva de la chaise qu’il avait prise pour l’interrogatoire, prit quelque pièce de monnaie sur le comptoir et ordonna de la boisson pour tous dans l’auberge. Hikiwa était maintenant sûre de la vérité. Il était temps de faire la justice, il sorti du pub et pensa à ce qu’il allait dire, si le vagabond était toujours là, sinon il serait temps de faire une visite à la caserne de la milice et faire passer un mandat d’arrêt à travers tout Alsaria.
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Mélora N’ha Shaya
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MessageSujet: Re: Représailles dans une auberge ...   Représailles dans une auberge ... Icon_minitimeSam 8 Aoû 2009 - 20:57

[Shika m’a dit de posté, Il m’a demandé de faire sa sortie rp pour lui]


L’astre lunaire commençait sa course folle dans le ciel nocturne, proche de son levé et au vu de la couleur violette du ciel, le soleil venait juste de finir de disparaitre dans les horizons. Commençant son combat avec les ténèbres des esprits de la nuit. L’obscurité recouvrait la cité …
Cette cité, Dénaros. Une ville qui vivait trop, et pas assez. Une ville toujours en ébullition, avec ses habitants persuadés d’être le centre du monde. Une cité qui un jour risquait d’être rasée à cause de cette guerre, avec des habitants surpris par la mort avant même d’avoir pu le comprendre. Ces gens qui ne savent pas qu’un jour il leur faudra mourir, de vieillesse, de maladie, d’accidents, d’assassinats… Non ils ne le savaient pas. Pour eux la vie n’avait pas de fin. Ils profitaient de chaque moment présent comme un don qui se répète inlassablement. Dénaros. Ville des Rois. Du haut de leur Domaine, qui s’inquiétaient des remous qui menaçaient leur pouvoir et l’unité du pays, surtout depuis c’est huit dernières années, pouvoir de plus en plus chancelant.
Pourtant malgré les risques imminents de désastre, ce peuple croyait encore en leur souverain, et plus précisément en leur souveraine. Symbole de leur fierté.

Les deux êtres se trouvaient au milieu de la rue, entouré de ces peuples confiant, entre les derniers badauds qui marchait le plus vite possible pour rentrer chez eux, faire leurs derniers achats, ou encore ranger leur stand. Quidam plus que vivant à cette heure-ci. Les vols sont courants dans ces environs. Simplement parce que les divers marchands épuisés par une longue journée de travail étaient trop exténué pour faire attention et ranger leur affaires. Cette heure était l’heure des voleurs, trop sombre pour tout distinguer, assez clair pour être efficace quand on est habitué à fonctionner dans l’ombre.
Un jeune homme et une jeune femme, face à face, se regardant quelque instant dans les yeux. Puis il dira d’une voix qui n’admettait aucune objection.


"Désolé, je ne préfère pas rester ici. Rien que la vue de leur visage me donnerais envie de les frapper"

Sur ces mots qui seront tout à fait explicite, le jeune vagabond n’attendit pas une réponse de la jeune femme, la coupant dans son élan, il fila, se faufilant dans la foule. Disparaissant pour de bon pour sa vue, être parmi tant d’autre, plus qu’un souffle, un souvenir, un sentiment,….
Les bras ballant de chaque côté de son corps, minois qui s’inclinera sur le côté, sourcils qui se froncent un instant, cascadent de boucle de jaie qui viendront masquer en partie la contrariété de son visage. Ce n’était pas la première fois aujourd’hui qu’elle se faisait interrompre, elle aimait s’exprimer ou tout du moins dire sa manière de penser. Et on lui avait cloué le bec deux fois en moins d’un quart d’heure de temps. Autant la première fois elle pouvait accepter le pourquoi sans rechigner, autant cette fois-ci elle se retrouvait plantée là comme une idiote dans la foule qui l’observait de côté.


« Moui….. »


Elle ne resta pas planté là une seconde de plus, paressant déjà assez imbécile a son gout comme ça. Elle marchera rapidement vers l’auberge, retournant là vu qu’elle n’avait rien à se reprocher. Et c’est au moment où elle rentrait qu’elle se retrouva de nouveau nez à nez au chevalier, le cognant, sa main gauche allant s’accrocher au chambranle de porte pour garder son équilibre. Il venait de terminer son interrogatoire.


« Oh ! Re bonjour messire…Vous avez découvert le coupable ? »


Si Hikiwa ne voulait pas être impoli en ne lui faisant l’affront de ne pas lui répondre et de la bousculer, il allait vraiment avoir aucune chance de retrouver le jeune homme qui était déjà loin. Ainsi il n’avait qu’une seul alternative …..
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MessageSujet: Re: Représailles dans une auberge ...   Représailles dans une auberge ... Icon_minitimeDim 9 Aoû 2009 - 1:10

C'est ainsi que tous les clients de l'auberge se mirent en file en d'indienne, face au Chevalier tranquillement assis à une unique table. La clientèle passa, doucement mais sûrment. Chaque personne était interrogée. Cependant, il arriva le moment où tout le monde commença alors à accuser le même bouc émissaire : le vagabond qui avait disparu. En effet, toutes les preuves étaient là : la majorité des clients, y compris ceux qui n'avaient rien à voir avec la bande d'ivrognes, avait accusé le jeune homme de tout à l'heure et, en plus, ce dernier avait pris la poudre d'escampette. Dante sentait la peur dans les voix des bourgeois. Etait-ce sous l'influence du chevalier ou sous l'influence de cette bande d'imbéciles complètement enivrés par la boisson ? La réponse était logique, du moins pour le Mercenaire.
Avec une indignation évidente, Dante vit alors le représentant de l'ordre aller payer une tournée générale, ce qui entraina de grands cris de joie, surtout parmi la foule de ces ivrognes qui flattaient alors le chevalier. Le jeune homme aux yeux verts aurait aimé leur plaquer son poing contre leurs dents mais avec l'expérience et la sagesse, il se retint tant bien que mal. L'homme en armure se dirigea ensuite vers la sortie. Alors qu'il était au seuil de la porte, il heurta la jeune femme qui faillit tomber à terre si elle ne s'était pas retenue elle-même sur la portière. Elle demanda ensuite d'une voix polie au chevalier s'il n'aurait pas découvert le coupable. Avant que celui-ci ne lui réponde, Dante avait pris la parole.


Ce n'est pas lui. Ne croyez pas que c'est parce que tout le monde a tort que tout le monde a raison ! C'est moi qui vous ai dit de vous baisser et j'ai très bien vu qui était le lanceur de couteaux... Si vous prenez la peine de considérer mes dires...

Il s'était adressé au représentant de l'ordre avec une voix oppressante mais avec une pointe de respect derrière la langue. Il ne pensait pas qu'il allait répliquer comme cela à un noble chevalier : peut-être était-ce dû à son entrainement de Mercenaire et à son début de carrière ? Quoi qu'il en soit, il n'avait vraiment rien fait de mal. Ce n'était pas un crime.

Je puis vous assurer que vous faîtes fausse route si vous continuez votre chemin Chevalier. Ne soyez pas aveuglé par ce que vous dit la haine et la peur des autres.

Derrière lui, il sentait qu'on l'épiait. Des regards sournois étaient sans doute tournés vers lui avec des sourires mauvais. De dos, il ne pouvait pas voir si quelqu'un allait tenter de lui lancer un poignard. Aussi prit-il la peine de sortir et de se placer derrière la jeune femme aux cheveux noirs, face à ce géant en armure, ayant pour excuse de vouloir lui barrer la route juste pour lui faire entrer ces mots bien dans son crâne.
Malgré son intervention, Dante ignorait s'il allait réussir à influencer ce grand gaillard. Le vagabond était un étranger, un homme venu de nulle part tandis que les autres étaient quasiment tous des Alsarianiens ou du moins des personnes du coin. Il espérait tout de même qu'il avait pu déclencher un mécanisme dans le cerveau de cette grande boîte de conserve. Oui oui, en effet, il venait de finir son repas et bizarrement, à la vue de cette armure, notre protagoniste n'avait trouvé rien d'autre à faire que d'avoir une allusion aux boîtes de conserve.


Si vous voulez continuez votre chemin... Je ne vous retiendrai pas plus longtemps.
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Phyrahël E. Lünhonasse

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MessageSujet: Re: Représailles dans une auberge ...   Représailles dans une auberge ... Icon_minitimeMer 12 Aoû 2009 - 22:36

[Dante tu as lu le mystère des dieux de bernard werber? Parce que j'en ai l'impression^^]

Phyraël avait pris place à une table du fond de l'auberge et observait la scène qui se déroulait sous ses yeux. Il venait à peine de descendre, alerté par des brouhahas médisants.

Ces hommes, nobles ou pas semblait bien nerveux... Ils semblaient s'affollés à propos d'un vagabond à propos de je ne sais quoi.
Étant nouveau dans la région il ne savait pas grand chose des habitants et de leur style de vie.
Mais il avait choisi, choisi de s'installer dans un endroit où il ne connaîtrait rien ni personne. Ayant décidé de s'imposer la contrainte de l'inconnu il avait réussi à négocier une chambre à l'étage. Habitué depuis peu au bruit que dégageait les festivités du rez de chaussé, il s'en était accoutumé comme d'une douce berceuse jusqu'à aujourd'hui. Les rires et fanfaronnades avait laissé place à des bruits alarmants.
Et cet homme au yeux vert.. Il lui a semblé qu'il sentait son regard dans son dos juste avant de se dirigé vers la sortie.
C'était sans doute son imaginaire, mais quand même...

Sortant sa plume de son étui et un livret d'une de ses poches, il entreprit de noter les quelques événements qui semblait l'avoir interpellé.

Une auberge tranquille et assez bien fréquenté qui s'agite, des nobles qui se laissait trahir par la peur, un vagabond inconnu, et, et cet homme...

Après avoir terminé son cocktail, remis en place ses affaires, Phyrahël retourna dans sa chambre. La nuit anème bien des choses... pensa-t-il.
Le regard rivé sur le plafond, les paupières se refermant peu à peu, il savourait les prémisses de douceur que lui offrait Madame Morphée avant qu'elle ne lui offre le baisé qui le ferait rêver...

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